Google Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

17/10/2013

Pauvre Leonarda

Depuis deux jours c’est la grande indignation, la vallée de larmes : de méchants policiers ont osé expulser Leonarda, Kosovare de 15 ans, clandestine depuis 4 ans, avec ses parents et ses 5 frères et sœurs. Cette expulsion faisait suite à 5 refus d’asile et de séjour. Il n’y a donc pas eu vraiment d’effet de surprise et à l’évidence aucune mesure de coercition n’a été prise contre Leonarda pour qu’elle rejoigne sa famille pour expulsion.

Les parents ne travaillaient pas n’avaient pas appris le français et visiblement n’avaient fait aucun effort d’intégration.

Fallait il garder en France tous ces cas sociaux qui depuis quatre ans vivaient en France d’aides publiques, bien évidemment non.

Bien entendu le buzz est mené par les organisations habituelles dont RESF, un comité de soutien, la gauche et l’ultra gauche, Harlem Désir, Mehdi Ouraoui, Pouria Amirshahi. Tous poussent des cris d’orfraie demandant la démission de Valls.

Et croyez bien qu’on va les faire revenir ces Kosovars inassimilables qui vont rester à la charge de la France ad vitam aeternam.

Il y a au moins une personne qui doit se réjouir de toute cette agitation, c’est Marine Le Pen.

16/10/2013

Le "Camp des Saints", le retour

On ne peut qu’être effaré du tour que prend l’affaire des naufragés de Lampedusa : après avoir porté secours aux naufragés plus ou moins volontaires à Lampedusa et au large de Malte, voilà que l’on va rechercher les bateaux d’immigrants pour les conduire à bon port en Europe.

Il est bien évident que ce comportement irresponsable va déclencher une recrudescence de tentatives et que l’Europe va se trouver confrontée à une invasion digne du Camp des Saints de Raspail.

Or dans le cas général, il ne s’agit pas de réfugiés politiques menacés pour leurs opinions mais de populations cherchant un avenir meilleur en Europe où elles voient l’eldorado.

L’Europe est en crise économique, le chômage règne partout et nous n’avons nul besoin de cette immigration.

Si on en croit la presse l’Afrique est en plein développement, la croissance du PIB y est plus forte qu’ailleurs de l’ordre de 5% par an. Mais la croissance démographique à peu près partout incontrôlée est supérieure à la croissance économique. De plus celle ci est due à l’augmentation de la production pétrolière et d’autres matières premières, mais à cause de la corruption généralisée cette richesse n’est pas répartie si bien que la misère s’étend au lieu de se réduire.

Les 54 pays du continent comptent depuis 2012 un total de 1,04 milliard d'habitants. Un chiffre qui devrait doubler d'ici vingt ans, représentant alors 20 % de la population mondiale.

L’Afrique serait parfaitement capable de les nourrir si elle était mise en valeur et exploitée d’une façon efficace. Ce n’est pas le cas, on pourrait compter sur les doigts d’une main le nombre de pays africains dotés d’un gouvernement digne de ce nom, je ne dis pas démocratique, là n’est pas le problème, mais capable d’assurer le développement économique du pays, d’instruire les populations et de maintenir la paix civile.

Partout s’étend le désordre, du au tribalisme, aux conflits religieux, au pillage et à la corruption. L’exploitation des richesses se fait au profit de potentats locaux et de compagnies étrangères sans évoquer la location de terres agricoles par les Chinois et autres exploitant les travailleurs locaux.

De tout cela l’Europe n’est pas responsable, les indépendances datent de cinquante ans et c’eut du être un temps suffisant pour acquérir l’autonomie nécessaire et se développer.

Il n’empêche que le surplus de population va se déverser sur nos côtes et apporter, désordre, ces populations étant largement inassimilables, et pauvreté. Il faut réagir.

Ce n’est pas le long de nos côtes qu’il faut attendre les embarcations surchargées, il faut d’abord négocier, comme on l’avait fait avec Kadhafi, avec les pays côtiers pour qu’ils empêchent les départs, et ensuite patrouiller à l’aide de bateaux et d’avions près des points de départ et y reconduire les bateaux interceptés. Pour des pays comme la Libye, qui à la suite de notre malheureuse intervention, a sombré dans le chaos il faudra probablement imposer ce retour. Qu’importe, plus les chances de réussite seront faibles moins le flux d’immigrants sera fort. Nous n’avons pas à subir cette invasion, les grandes âmes et les donneurs de leçon nous conduisent au malheur.

06/10/2013

Les crocodiles

Une écoeurante  opération de désinformation et d’intoxication est en cours pour faire croire aux Européens qu’ile sont responsables de la noyade d’immigrants au large de Lampedusa.

Voilà 500 immigrés  venus de Somalie ou d’Erythrée, où règnent les luttes ethniques et religieuses et de ce fait le malheur et la famine, pays où l’intolérance empêche tout vivre-ensemble. Ils quittent cet enfer attirés par le mirage d’une Europe où on est prêt à les accueillir , à leur donner du travail, des conditions de vie rêvée.

En fait les Européens n’en veulent pas, incapables qu’ils sont de donner du travail à leurs ressortissants, ils ne veulent pas de cette charge supplémentaire, de cette invasion qui créera insécurité et misère en plus.

Et maintenant on veut culpabiliser les Européens qui ne sont pour rien dans cette tragédie sauf de s’être encore occupés de nourrir, de soigner, d’éduquer des populations qu’au fond il vaudrait mieux laisser régler eux mêmes leurs problèmes. On verse des larmes de crocodile.

L’Europe avec ses problèmes n’a plus les moyens d’accueillir la misère du monde, et importer les problèmes des autres ne fera que compliquer la solution des nôtres. Il faut défendre nos frontières et expulser les clandestins.

Sait-t-on qu’à Mayotte, département français, où 60% de la population est constituée de clandestins venus des autres Comores et d’Afrique de l’est, on n’arrive plus à les soigner et à les instruire. Sait-t-on que chaque année des centaines de clandestins, y compris des femmes et des enfants, se noient en tentant la traversée d’Anjouan à Mayotte à bord de kwassa, embarcations de fortune,  surchargés. On les expulse immédiatement, 26 000, l’année dernière. Procédure expéditive sans quoi ce serait l’invasion, la submersion.

Il faut avoir le courage de le dire et refuser toute immigration supplémentaire. L’Afrique est un continent riche qui ne se développe pas pour raison de guerres ethniques et religieuses, de mal-gouvernance et de concussion. Ce n’est pas notre problème.

 

03/10/2013

les cancres et les anciens combattants

Le gouvernement aux abois vient de s’en prendre à une population à laquelle personne n’avait jusqu’ à ce jour osé s’attaquer : las anciens combattants, victimes de guerre et pupilles de la nation. Ils ont droit à une pension d’un niveau modeste, 1739€ en 2013 au maximum, pour laquelle l’Etat contribue à un niveau allant de 12,5% à 60%. Le projet  de loi de finances pour 2014 ramène à 20% cette majoration. Il fallait oser…

On en attend 10 millions d’économie en 2014 et 30 millions en 2015.

Parallèlement  on vient d’inventer  une nouvelle alloc’ de 434€ par mois au profit des cancres de moins de 25 ans trop illettrés pour pouvoir postuler à un « emploi d’avenir » (emploi aidé par des fonds publics) pour lesquels il convient de manier la langue correctement, les chiffres, l’orientation géographique, et donc une claire expression orale afin de satisfaire aux demandes, même basiques.

On expérimente sur 10 000, si je calcule bien cela fait quand même quelque 52 millions d’euros.

Les anciens combattants et les pupilles de la nation n’y suffiront pas.

27/09/2013

Roms et gens du voyage

Il est un amalgame qui paraît assez fréquent et qui ne devrait pas être toléré par les ligues de bien pensants à la recherche de tout présupposé et stéréotype : Il ne faut pas confondre nos gens du voyage et les roms.

Nos gens du voyage, qu’ils soient tziganes, gitans ou manouches, vont libres au gré du vent dans des caravanes confortables tractées par de puissantes voitures et si parfois ils gênent à l’heure des pélerinages aux Saintes Marie ou ailleurs où les appelle leur foi, c’est qu’on ne met pas à leur disposition un terrain apte à accueillir dignement 150 caravanes dans des zones touristiques. Alors que voulez vous ? ils s’installent où ils peuvent sur un terrain de foot-ball ou un pré qu’ils acceptent gentiment de libérer au bout de quinze jours sur ordre du préfet. Ils sont Français, bénéficient de toutes les aides sociales, et assurent leur subsistance en recyclant des matériaux trouvés sur des chantiers ou du cuivre de la SNCF. Bien sur les cambriolages augmentent parfois là où ils se trouvent mais qu’y peuvent-t-ils ? ce n’est pas à eux d’assurer la police.

Les Roms par contre, pauvres hères installés depuis des siècles en Roumanie et en Bulgarie où ils n’ont jamais pu s’assimiler, rejetés et honnis par tous, leur dignité les empêchant d’accepter le sort commun et le travail, arrivent en France attirés par une richesse insolente à laquelle ils veulent participer. Ils s’installent où ils peuvent dans leurs caravanes pourries ou des bidonvilles et envoient leurs enfants écumer les métros et les musées ou ils mendient auprès de chaque distributeur de billets et près des porches des églises. Les bonnes âmes disent qu’il faut en faire de bons Gaulois habitants des HLM et pointant le matin au turbin. Pourquoi le feraient-t-ils en France s’ils ne le font pas en Roumanie ?