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25/05/2016

Insurrection.

Nous sommes en état d’urgence pour une menace terroriste, 10 000 militaires de Sentinelle arpentent les rues, les gares, les aéroports, gardent les synagogues. Et pendant ce temps là un syndicat irresponsable, la CGT, a engagé une épreuve de force, soi disant pour faire abroger la loi « El Khomri », en fait pour montrer qu’il existe encore malgré une baisse constante de ses adhérents.

En temps normal ce serait un mouvement social, dans les circonstances actuelles c’est une insurrection. La CGT veut mettre à bas l’économie française pour imposer ses vues. En France 8% des salariés sont syndiqués dont un quart à la GGT, en constante décroissance. La CGT ne représente donc pas grand monde.

Mr Martinez le secrétaire général de la CGT annonce la couleur : il juge que ”le rapport de force peut avoir raison de tout, même d’une loi votée”. Alors il se sert des secteurs où il a encore quelque influence pour bloquer le pays : l’industrie pétrolière à tous les niveaux : ports, raffineries, dépôts. - les raffineries sont bloquées, soi disant après un vote des travailleurs. On sait ce qu’il en est : vote à main levée sous pression - , les transports, et les centrales nucléaires.

On prend les Français en otages à tous les niveaux, ils ne peuvent plus aller travailler.

En démocratie un tel comportement est inadmissible, encore plus en « état d’urgence ».

Le gouvernement ne doit pas céder sinon toute réforme deviendra impossible : il faut aller au plus pressé, débloquer les dépôts de carburant en faisant appel aux forces de l’ordre contre une action illégale, puis les faire garder par l’armée.

Débloquer les ports au besoin en réquisitionnant le personnel nécessaire, faire voter à vote secret la continuation du mouvement dans les raffineries.

Autre moyen d’action : la CGT bénéficie de 145 millions d’euros de subventions diverses. Il faut les supprimer, ce devrait être efficace.

Il est inadmissible qu’un syndicat essaie d’imposer ses choix à un pays comme la France.

 

http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com

 

20/05/2016

Mayotte, situation "extrèmement préoccupante"

Quand Sarkozy a voulu départementaliser Mayotte, j’ai eu l’impression d’être le seul à voir les conséquences catastrophiques prévisibles de cette décision. J’ai eu beau alerter les hommes politiques, les élus, les médias, j’ai prêché dans le désert et maintenant le drame n’est pas loin.

Vouloir sortir Mayotte de son environnement et développer l’île à grand pas, lui appliquer des mesures sociales, des allocations, des subventions qui font que le niveau de vie est maintenant treize fois supérieur à celui des autres îles de l’archipel des Comores et encore plus par rapport à Madagascar, ne pouvait qu’attirer les populations avides de profiter de l’aubaine.

D’autre part les Mahorais qui reçoivent la télévision française s’indignent de n’être pas alignés au moins sur la Réunion. Il en est résulté des grèves bloquant l’île plusieurs semaines et des manifestations tournant à l’émeute. Maintenant la situation devient incontrôlable. Il y a à Mayotte plus d’étrangers que de Mahorais dont beaucoup de clandestins. En particulier on estime à 6000 le nombre des enfants livrés à eux mêmes laissés là par leur famille, qui, pour beaucoup déscolarisés, vivent de rapines et d’expédients. Beaucoup de clandestins sont logés dans des bidonvilles indignes à la limite des villages.

Le président de la République juge la situation « extrêmement préoccupante » c’est le moins qu’on puisse dire : sans grande réaction des autorités, rejetant la responsabilité sur les municipalités, la chasse aux Comoriens a commencé. En situation régulière ou clandestins, ils sont expulsés par les Mahorais qui les accusent d’occuper des terrains illégalement et d’être des voleurs, tout en les faisant travailler au noir. Leurs « bangas » - habitations de fortune - sont détruites et ils sont souvent contraints à camper sur le bord de la route, avant d’être relogés d’une façon temporaire dans d’autres villages avec l’aide d’associations.

Selon la Cimade , au moins un millier de personnes ont été victimes de ces actions.

Il faut voir que Mayotte est surpeuplée – de l’ordre de 500 habitants au km2- et au bord de l’explosion.

Et pendant ce temps là l’arrivée de clandestins continue venant principalement des Comores mais aussi de Madagascar à partir de Nosy Be d’où un trafic est maintenant organisé. Récemment une embarcation qui transportait 17 personnes a chaviré en voulant fuir la vedette des douanes, seules dix personnes ont été récupérées vivantes. Qui en a parlé dans les médias internationaux ?

On expulse pourtant 20000 clandestins par an sans grande procédure.

Autre conséquence de l’immigration clandestine, l’hôpital de Mamoudzou est saturé - prévu pour 300 malades il en accueille 900 - en particulier la maternité où viennent accoucher les Comoriennes venues des autres îles mais aussi des Malgaches, pour y trouver des conditions sanitaires bien meilleures, et pensant que du fait du droit du sol, leur enfant sera Français. En 2015, 9000 bébés sont nés dans le département, 3400 depuis le début de l’année. Beaucoup de mères n’ont aucune couverture sociale et on ne les garde qu’une journée après l’accouchement.

Du coup l’hôpital est en grève depuis le 11 mai, certaines sages-femmes venues de France ont décidé de quitter l’île. Sur 70 sages femmes seules 10 sont titulaires dont 8 ont décidé de quitter la maternité. Malgré des incitations financières leur remplacement sera bien difficile. Il en est de même des médecins dont beaucoup ont préféré renvoyer leur famille en métropole.

C’est la même chose dans l’enseignement où la construction des écoles et des collèges n’arrive pas à suivre la croissance de la population. La plupart des professeurs du secondaire viennent de métropole, mais on forme en 2 ans des instituteurs qui ne pourront enseigner que sur l’île et on recrute des contractuels dont le niveau de qualification est très variable.

Malgré une situation financière enviable, 750 enseignants venus de métropole ont décidé de quitter l’île en raison des conditions de travail mais aussi de l’insécurité qui règne à Mayotte.

Devant cette situation l’Etat impuissant fait le dos rond, le préfet vient de partir muté en métropole, laissant à son successeur une situation explosive. Le réunionnais Jean-Paul Virapoullé, maire de St André et 3° vice-président de la région juge l’Etat français « lâche » pour ne pas avoir instauré le droit du sang à Mayotte depuis 10 ans.

Y a-t-il un autre département français où tout cela serait possible sans provoquer beaucoup d’intérêt ? Il est vrai que Mayotte n’a rien de français et sa départementalisation a été une erreur largement à la charge des autorités politiques, les conséquences étant entièrement prévisibles. Le maintien du statut actuel conduit à la catastrophe, le changer est extrêmement difficile, et nos gouvernants déjà incapables de maintenir l’ordre en métropole n’auront certainement pas le courage nécessaire.

 

http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com

05/05/2016

Etat d'urgence et chienlit.

Il paraît que la France est en état d’urgence.

Dix mille militaires font le pied de grue devant des synagogues, arpentent les salles des pas-perdus des gares, ou tournent autour de la tour Eiffel. Il est bien entendu que cela ne sert pas à grand-chose, il reste suffisamment de cibles pour les terroristes, on ne peut tout garder. Par contre cette tâche qui n’est pas la sienne désorganise l’entrainement de l’armée.

Pendant ce temps là, des centaines de paléo-soixante-huitards, se rassemblent le soir place de la République, avec une bande de casseurs, conchient la place, exaspèrent les riverains, cassent vitrines des commerçants, mobilier urbain, et affrontent à coup de pavés et de cocktails Molotov, les centaines de policiers, tentant de les contenir, en en blessant des dizaines.

Le 1° Mai des défilés divers et des manifestations réunissaient des milliers de participants qui auraient fait un magnifique objectif aux terroristes. Imaginez quelques voitures piégées le long du parcours : combien de victimes y aurait-il eu ?

Il faut savoir ce que l’on veut : ou on lève l’état d’urgence, considérant que la menace terroriste n’est pas importante ou on interdit toutes manifestations ou cortèges accroissant les risques.

Si on arrête la grotesque « Nuit debout », la France ne s’en portera pas plus mal. Ces discussions infinies, d’anars, de bobos et de gauchistes n’aboutiront à l’évidence à rien. Les forces de l’ordre, policiers et gendarmes, ont bien autre chose à faire que se faire caillasser par des irresponsables.

http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com

27/04/2016

COP 21.La vraie menace.

Le 22 avril quelque 160 pays se sont réunis à New York pour signer l’accord survenu à la fin de la COP21 à Paris. Signer mais pas ratifier, il faudra plusieurs années, l’accord n’entrera en vigueur que quand 55 pays représentant 55% des émissions des gaz à effet de serre l’auront ratifié.

A un climato-sceptique, la COP21 apparaît comme une grande kermesse, un peu vaine et trompeuse.

D’abord que l’accord ait recueilli l’unanimité des 197 participants, aux intérêts si divergents, allant de Nauru et des Kiribati, à la Chine et aux Etats Unis, montre ce qu’il contient de promesses non tenues et d’espoirs déçus. Ensuite parce que l’origine anthropique du réchauffement climatique n’est absolument pas prouvée, le GIEC lui même n’étant sur qu’à 95%, ce qui laisse de la place au doute.

Pour la Société du Calcul Mathématique la lutte contre le réchauffement climatique est « une croisade absurde, coûteuse et inutile », il n’existe aucune donnée objective qui permette d’affirmer que le climat soit « détraqué », il est variable comme il l’a toujours été, bien avant l’ère industrielle.

Le Suisse Werner Munter lui pense que l’homme n’est pour rien dans le réchauffement climatique, dans les 10.000 dernières années, il y a eu cinq pics de températures comparables à celui que nous vivons.

Les causes des variations climatiques peuvent être les variations d’activité du soleil, ou des instabilités à grande constante de temps de la circulation des océans. D’ailleurs si les glaces arctiques fondent, il n’en est rien en antarctique.

Alors pourquoi n’entend-t-on pas les climato-sceptiques ? Il y a une telle pression médiatique qui frise le terrorisme qu’ils préfèrent probablement se taire, surs qu’ils sont de n’être pas crus et d’être cloués au pilori. La lutte contre le réchauffement climatique est devenue une religion et le silence des climato-sceptiques est celui des catacombes, rappelons nous Claude Allègre.

D’ailleurs comment peut-on croire que la Chine, l’Inde ou les Etats Unis puissent sacrifier leur économie, opter pour la décroissance pour économiser l’énergie ? L’accord n’est pas contraignant et à long terme, on a bien le temps pour ne pas l’appliquer.

Rien ne prouve que le climat actuel soit un optimum, un réchauffement de 2° de la température en France, serait agréable et la nature s’adapterait, cela entrainerait en plus des économies sur le chauffage.

Entre 9000 et 6000 avant notre ère les températures moyennes africaines étaient de 2° supérieures à aujourd’hui ce qui provoqua une augmentation des pluies, le Sahara était une savane avec des lacs, des arbres et des éléphants.

Quoi qu’il en soit la température exceptionnellement élevée constatée en 2015, est plus due à un phénomène El Nino exceptionnel qu’au réchauffement climatique.

Mais cette fixation sur le réchauffement climatique détourne l’attention de la vraie menace qui pèse sur la planète et en particulier sur la vieille Europe. Il s’agit de la croissance de la population mondiale.

Pour l’Europe la menace d’invasion vient de l’Afrique maghrébine et sub-saharienne, le déferlement a déjà commencé principalement à partir de la Libye via Lampedusa, Malte, l’Italie, mais aussi par Gibraltar, les enclaves espagnoles et même l’Europe de l’Est. L’actuelle, immigration venue du Moyen Orient détourne l’attention de l’émigration africaine potentiellement beaucoup plus importante et non liée à des causes circonstancielles, guerres, insécurité, persécutions politiques ou religieuses. La croissance démographique africaine est une tendance lourde qui va durer. Le taux de fécondité africain est de 4,5 enfants par femme contre 2,5 pour le reste du monde et moins de 2 en Europe. La population africaine augmente de 2,5 à 3% par an, si bien qu’elle va passer de 1.1 milliard aujourd‘hui, à 2,4 milliards en 2050 et à 4 milliards en 2100. Or si la population croit de 3% par an les ressources agricoles augmentent de 1% seulement. La première conséquence est l’exode rural de populations qui ne trouvent plus de quoi se nourrir et l’urbanisation galopante qui engendre des conurbations monstrueuses qui ne parviennent pas à maitriser leurs problèmes alimentaires, énergétiques, sanitaires, environnementaux. En 1950, 14% des Africains vivaient en ville, ils devraient être 60% en 2050. Lagos devrait en 2030 regrouper 24 millions d’habitants et Le Caire 25 millions.

Si l’Afrique ne se développe pas à un rythme suffisant, ce qui est probable – il faudrait atteindre un taux de croissance de 7% - et ne maîtrise pas sa démographie, c’est par millions que les Africains vont déferler vers les pays développés et en particulier l’Eldorado européen. Et il ne s’agira pas de populations instruites, formées mais de pauvres hères, déracinés culturellement qu’il ne sera pas possible d’assimiler.

Pour que l’Afrique se développe, il faudrait privilégier l’éducation et la formation, investir dans les infrastructures nécessaires, passer de l’intérêt tribal à l’intérêt national et surtout contrôler la démographie, ce n’est pas la tendance actuelle. 

Ce n’est pas la COP 21 qui règlera cette menace.

 

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20/04/2016

Mayotte, une poudrière.

Il ne fallait pas être grand clerc pour qui connaissait l’île, pour prévoir que la départementalisation de Mayotte conduirait à la catastrophe : nous y voilà.

Mayotte sort de 15 jours de grève générale ayant entrainé un blocage total de l’île et accompagnée de violences tournant à l’émeute.

La grève était motivée par une demande d'alignement immédiat de l’île sur la Réunion, ses incomparables subventions, allocations et prestations sociales.

Dans la naïveté des dirigeants de l’époque, le vote négatif de Mayotte au référendum sur l’indépendance en 1974 était du à un attachement indéfectible au drapeau tricolore alors qu’il était du en fait à deux raisons : une rancœur ancestrale vis à vis des autres îles et le désir de bénéficier du sort enviable de la Réunion.

Au moment des négociations pour la départementalisation, le « pacte de départementalisation » prévoyait un délai de 20 à 25 ans pour aligner Mayotte sur la Réunion. Après 5 ans ce délai semble insupportable, malgré une situation déjà très favorable par rapport à l’environnement : le revenu est 13 fois supérieur à celui des autres Comores. Mais les Mahorais reçoivent la télévision de métropole et ne peuvent que constater qu’ils ne vivent pas de la même façon. C’est pourquoi les syndicats décident de bloquer l’île avec l’appui des élus locaux avec comme slogan «pour l’égalité réelle ». Après 15 jours de blocage de la circulation et d’arrêt de toute vie sociale et économique et aussi en raison des violences et déprédations, le gouvernement finit pa donner gain de cause aux syndicats pour acheter la paix sociale.

Une sur-rémunération de 40% est accordée aux fonctionnaires, ainsi qu’une amélioration de carrière. On va étudier l’application du Code du Travail, l’extension des conventions collectives et des droits sociaux.

Les grands gagnants sont les fonctionnaires, qui sont pléthores à Mayotte, le premier employeur de l’île est le conseil départemental qui emploie 3000 agents dont beaucoup recrutés pour des raisons sociales ou électorales. Le conseil départemental a voté un budget en déficit de 46 millions d’euros et la plupart des communes sont sous tutelle. Il faut dire que faute de cadastre les impôts locaux ne rentrent pas.

Un fonctionnaire mahorais va donc toucher un traitement majoré de 40% par rapport à son homologue de métropole : le pactole. Ce salaire entrainera à la hausse les coûts du travail dans le privé qui sont déjà excessifs par rapport à la région, si bien que Mayotte ne produit déjà strictement plus rien, plus de ylang-ylang, de vanille, l’agriculture ne se développe pas et la pisciculture périclite : tout est importé. Quant au tourisme il stagne, trop cher, sans infrastructures ni personnel formé et aussi en raison de l’insécurité. La seule activité c’est le béton pour construire des routes, des écoles, des hôpitaux, des bâtiments administratifs, sans qu’on arrive pour autant à suivre la croissance démographique.

Tout cela ne passe pas inaperçu des îles voisines et Mayotte est devenu un trou noir aspirant les populations de la région, surtout des Comores, mais aussi de Madagascar et d’Afrique de l’est. Une immigration incontrôlable s’est développée au point qu’on expulse bon an mal an, 20 000 clandestins sans grande procédure. Néanmoins on estime à 40% la part des étrangers, clandestins ou non, dans la population actuelle, plus probablement 60%. Parallèlement la population croit au rythme annuel de quelque 3% par accroissement naturel, si bien que la Mayotte atteint maintenant probablement 300 000 habitants soit près de 800 au km2, on en prévoit 500 000 en 2050.

Et c’est là la raison des violences, une véritable émeute, qui ont accompagné la grève générale. A coté des nantis que sont les fonctionnaires, il y a des dizaines de milliers de précaires, d’exclus qui n’ont aucun espoir.

Le chômage explose : il y a 35 000 emplois à Mayotte dont le nombre n’augmente pas avec la croissance de la population, les jeunes sortant du système scolaire avec un bacc généreusement attribué, ne trouvent pas d’emplois sur l’ile et partent vers la métropole, la Réunion ou grossissent le nombre des chômeurs..

Les étrangers sont probablement majoritaires, dont une grande part de clandestins qui vivent dans des bidonvilles, travaillent au noir, fuient la police et provoquent l’insécurité, agressions, cambriolages, vols, pillages, détériorations de véhicule.

Les violences sont surtout imputables aux milliers de mineurs désoeuvrés et déscolarisés, il y aurait à Mayotte 6 000 enfants isolés, laissés par leurs familles expulsées dont beaucoup n’ont personne pour s’occuper d’eux. Un métropolitain vient même d’être tué par des mineurs au cours d’une agression.

Mayotte vit sous perfusion, salaires des 20 000 fonctionnaires venus de métropole, dotations, subventions, allocations et crédits européens.

La situation ne peut que s’aggraver en fonction de l’accroissement de l’immigration, des durcissements prévisibles des procédures d’expulsion, et de la croissance démographique. Avec le coût du travail on ne peut espérer aucun développement économique.

La situation sociale va finir par exploser étant donné l’écart des revenus entre les plus riches, les fonctionnaires métropolitains et locaux et les plus pauvres, les clandestins.

Il faudrait revenir à un statut moins contraignant permettant à Mayotte de regagner son environnement, les Comores, Madagascar, l’Afrique de l’Est.

Pour cela on pourrait évoquer les nombreuses condamnations de l’ONU et de l’Union africaine contre l’annexion de Mayotte ou sur le fait que la départementalisation, votée à la sauvette par le Parlement sans consultation des Français, était contraire à la Constitution. Qui aura ce courage ?

Enfin remarquons que les médias s’intéressent soudain à Mayotte au bord de la guerre civile, alors qu’il était impossible de les faire réagir avant le vote de la départementalisation quand on les informait des conséquences évidentes de cette décision irresponsable. Mayotte est une poudrière qui va un jour exploser.

 

 

http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com