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29/10/2014

Couille molle.

 

Je suis d’une génération où on baisait la main des dames et où on leur cédait sa place dans le métro quel que soit leur âge. On leur offrait  des roses et jamais je n’aurais accepté qu’elles payent leur écot au restaurant.

C’est dire que je ne me sens pas à ma place dans le monde actuel où le féminisme triomphe sans entrainer la moindre réaction de mes congénères masculins.
Il paraît qu’une femme est un homme comme les autres et que toute différence entre les sexes provient de « stéréotypes » contre lesquels il convient de lutter.

Si bien que l’Education nationale a pris en main nos chères « têtes blondes » pour leur apprendre le « vivre ensemble », la vilenie de l’homophobie, voire les différentes façons de copuler. Personnellement j’ai été instruit dans un cadre strictement masculin, à une époque où il y avait des « écoles de filles » et des « écoles de garçons », ce qui présentait l’avantage de se consacrer à ses études sans autres idées déstabilisatrices. Moyennant quoi,  je sais lire et écrire sans plus de fautes d’orthographe que raisonnable, et même calculer mentalement.

Ceci pour dire que pour moi le féminisme est une de ces lubies basées sur une idée fausse comme malheureusement il y en a beaucoup de nos jours, non que je considère les femmes comme inférieures mais comme différentes et dignes d’égards et de prévenances qui n’ont plus cours, ce qui me paraît regrettable.

Aussi quand on me prétend que toutes les professions doivent être également accessibles aux deux sexes, j’affirme qu’un policier femelle ne rendra jamais les mêmes services qu’un policier mâle, que la place des femmes n’est pas sur les champs de bataille sauf pour soigner et ainsi de suite.

Je voyais l’autre jour une classe de préparation à un bac professionnel genre « aide à la personne » et je constatais qu’il n’y avait que des demoiselles. Cela ne m’a pas étonné ; je fais appel à une association qui procure des employées de maison, on ne m’a jamais proposé que des femmes et je ne connais pas grand monde qui fasse appel à une nounou mâle.

On me dira qu’il s’agit aussi de stéréotypes qu’il faut déconstruire et de même devrais je m’insurger à ma boulangerie où il n’y a que des hommes à la fabrication et des femmes à la vente. Personnellement je pense que c’est très bien comme ça et que chacun a ses appétences et ses compétences, et qu’il n’est nullement nécessaire d’établir la parité.

Il conviendrait par contre de lutter contre l’appropriation de certaines professions par l’un ou l’autre sexe quand ce n’est pas sans conséquence. Par exemple, que tous les enseignants du primaire soient des femmes prive les enfants d’une présence masculine nécessaire à l’équilibre de leur éducation, de même il n’est pas neutre que la justice soit maintenant colonisée par les femmes ce qui n’assure pas une justice impartiale et équitable pour certains délits.

Pour en revenir à l’éducation des enfants j’estime qu’une mère est bien plus apte à s’occuper de jeunes enfants que le père, qu’elles en ont besoin et y éprouvent du plaisir et que l’égal partage entre les parents est un non sens et une idée de socialiste. Du reste tout le monde sait que l’égal partage du congé parental entre les parents revient à diviser par deux le congé de la mère.

Le but de tout ça est de pousser les femmes vers le monde du travail alors que souvent elles préfèreraient s’occuper de leurs enfants ce qui, dans notre monde de chômage permanent, rendrait service à la société mais ferait de la peine aux sectaires qui nous gouvernent.

Maintenant, les femmes « sans profession » se sentent déconsidérées ; il est vrai que tout est fait pour déstabiliser les familles, créer des familles monoparentales, recomposées,voire homoparentales ce qui prive les mères de famille de toute garantie et les enfants de tout repère.

Mais pour en revenir à ce qui a motivé cet article, j’ai constaté récemment que les conducteurs les plus agressifs, ne supportant pas la moindre entrave à la progression de leur véhicule sont maintenant des femmes, jeunes, modèle « femme active » qui semblent considérer qu’une seconde perdue nuirait à la marche du monde. Elles n’hésitent à faire des gestes dont elles ne connaissent pas, j’espère sans en être sur, la signification, qui doivent être accompagnés, heureusement derrière leurs vitres, d’injures que je pense déplacées dans la bouche d’une femme. Elles semblent se venger du temps où on les renvoyait à leur vaisselle.

Il est vrai qu’à une époque où des entreprises proposent à leurs employées de mettre leurs ovocytes au congélateur, pour qu’elles ne perdent pas de temps à faire des enfants, on peut s’attendre à tout, même qu’à ce que ces dames en chargent d’autres de porter leurs enfants et de les mettre au monde pour ne pas être gênées pendant 9 mois.

Pour finir comment peut on admettre les déclarations ordurières de beaucoup de femmes politiques – je n’ose dire de femmes publiques - comme Martine Aubry qui estime que « Hollande est un incapable et une couille molle ». A la rigueur on pourrait comprendre ce jugement de la part de Ségolène Royale qui fut à même de juger sur pièces, mais venant de « la  maire de Lille » je trouve ça choquant.

 

 

 

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13/03/2014

Incohérence féministe

Le 8 mars on a célébré la journée internationale de la femme ; remarquons tout d’abord que cette journée a été instaurée par Lenine en 1921, ce qui, étant donné la situation des femmes en URSS, soumises au plus durs travaux, disqualifie au moins le choix de la date.

Mais dans un monde où on prétend que le sexe est un choix personnel, l’existence d’une journée de la femme est totalement incohérente et relève, comme on dit maintenant, de stéréotypes.

Personnellement, ayant le plus grand respect pour les femmes et le rôle éminent qu’elles jouent, ne serait ce qu’en mettant les enfants au monde, je suis prêt à toutes les célébrations et même à l’envoi d’un bouquet de roses, si on cesse de me bassiner avec de soi-disant inégalités qui sont en fait la conséquences de choix et d’aptitudes différentes.

Il ne me choque pas que les femmes consacrent beaucoup de temps à « se faire belles », à choisir vêtements et sous-vêtements, à condition qu’elles reconnaissent qu’elles sacrifient là à un besoin de séduction dont il ne faudrait pas qu’elles se plaignent après qu’elles aient réussi.

Un livre récent intitulé : « La guerre invisible » (Les Arènes et Causette, 256 p., 19,80 euros), affirmait que dans l' armée française qui « s’honore d’être l’une des plus féminisées » (!) avec 15% d’engagées, les femmes militaires sont l’objet de fréquentes agressions sexuelles.

Les deux « auteures » dont le parti pris est évident, s’intéressent à une quarantaine de cas ce qui, étant donné les effectifs, n’est guère significatif.

Quoi qu’il en soit je suis prêt à croire à des « dérapages » et ce me semble inévitable, voire normal. La présence de nombreuses femmes souvent fessues et mamelues arpentant les couloirs du boulevard St Germain en brodequins et tenue camouflée peut prêter à sourire et est sans grandes conséquences mais engager des femmes dans des Opérations Extérieures dans des territoires exotiques ou les embarquer pour plusieurs mois dans la promiscuité d’un bateau de 100m de long entraine forcément des tentatives qui d’ailleurs décevraient probablement leurs victimes si elles n’avaient pas lieu.

Il faut vivre dans le monde des bisounours, pour croire que des mâles normalement constitués ne vont pas tenter leur chance : la femme a été longtemps considérée comme le « repos du guerrier ». Il fut un temps où le problème était résolu par des BMC  (bordel militaire en campagne), je doute que dans ce monde hypocrite on en rencontre encore, maintenant on livre le « repos » à domicile, étonnez vous.

On peut voir dans cette histoire les illusions de ces braves dames féministes qui nient la réalité physique du sexe, rêvent de guerriers émasculés, tout en prônant la liberté sexuelle, pour croire qu’il n’y a pas là un problème et que tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles.

Récemment les militaires allemands protestaient contre la féminisation de la Bundeswehr, affirmant qu’elle perdrait sa valeur militaire. Ils n’ont pas tort car il est peu probable que les femmes militaires n’aient à combattre que des personnes du même sexe comme dans les confrontations sportives et leur infériorité physique ne peut que les desservir. La présence de femmes dans les unités combattantes pose forcément des problèmes.Ces remarques valent aussi pour la police et la gendarmerie.

Malheureusement nous vivons dans un monde où on veut faire croire que les hommes et les femmes ont les mêmes compétences et les mêmes aspirations au point de doubler le nombre des ministres pour de bizarres raisons de parité et d’obliger les conseillers généraux à faire campagne en couple.

Je lisais il y a peu un article où on se lamentait qu’il n’y ait que 14,5% de filles admises à Polytechnique, une fille sur 21 à l’Ecole Normale Supérieure en Physique-Chimie, une sur 28 en maths, ces proportions étant qualifiées de « catastrophe », rien moins. Les filles disparaissent aussi comme professeurs de maths.

L’explication de cette carence : « La réponse passe évidemment par le spectre des stéréotypes de genre ». Evidemment ce sont les stéréotypes.

« Il y a urgence à ce que les filles investissent la filière scientifique. Il est économiquement non viable de se priver de la moitié des cerveaux. » Urgence : on ne suppose pas que les filles puissent avoir peu d’attirances ou même d’aptitudes pour les sciences dures. Par contre personne ne s’étonne ni ne regrette que 80% des élèves de l’Ecole de la Magistrature soient des filles et que l’enseignement dans le primaire soit féminisé à 82%, deux choses qui ne sont pas sans conséquences d’une part sur la façon dont est rendue la justice, d’autre part sur l’éducation de jeunes qui, à l’époque actuelle sont surtout sensibles au rapport de force.

J’aimerais qu’on laisse chacun libre de son choix et qu’on ne considère pas que les hommes et les femmes sont interchangeables. On cherche à culpabiliser les femmes qui se consacrent à l’éducation de leurs enfants, on voit le résultat, divorces, familles monoparentales, enfants à l’abandon. Un état conscient de ses devoirs ferait tout pour  les encourager et leur faciliter la vie.

 



 

16/02/2014

ABCD et lavage de cerveau

Les « ABCD de l’égalité » qui prétendent établir l’égalité entre filles et garçons et pour ce faire n’hésitent pas à projeter des films ambigus prônant la normalité de l’homosexualité auraient semble-t-il eu des précédents depuis 30 ans.

Le Monde du 14 février publie l’interview d’un directeur d’école maternelle qui affirme que cela dure depuis l’élection de Mitterand en1981 sous l’impulsion de mouvements féministes. Des textes auraient été publiés régulièrement pour demander aux enseignants  « de lutter contre les stéréotypes du sexe ». Pour ce qui est de la lutte contre l’homophobie, l’impulsion est venue dans les années 1990, des associations homosexuelles comme Act Up puis des syndicats d’enseignants. Apparemment les associations de parents n’ont pas été consultées.

« Jusqu'à présent, la lutte contre les inégalités était essentiellement le fait d'initiatives individuelles d'enseignants, de chefs d'établissement ou d'inspecteurs. Le ministère semble avoir pris acte de cette situation dénoncée depuis plusieurs années par les chercheurs en éducation, les mouvements féministes, et plus récemment l'inspection Générale de l'éducation Nationale. Cette dernière a dressé, en 2013, un bilan extrêmement sévère de la situation. L'objectif des ABCD est d'engager une dynamique en créant des outils nationaux et en proposant une formation - encore insuffisante - afin d'aider les enseignants à interroger leurs pratiques à l'aune de l'exigence d'égalité des sexes. » Prétendre comme le fait le ministre et sa collègue Khmère Rose, qu’il ne s’agit que de fantasmes est donc un mensonge éhonté, il y a bien une volonté de reconditionner les enfants.

Et notre directeur d’école de continuer : « L'erreur est de croire qu'une école qui se préoccuperait uniquement du « lire-écrire-compter » est possible. Le genre est déjà là lorsque vous apprenez la règle de grammaire qui veut que les pluriels mixtes s'accordent au masculin. Et les enfants le perçoivent ! »

L’apprentissage de la grammaire est donc sexiste, heureusement qu’elle n’est plus guère enseignée.

Mais il y a un autre aspect de la question qui n’est jamais évoqué : le métier d’enseignant est quasi totalement féminisé dans le primaire : 82% et 91% en prenant le privé en compte. On peut se demander, dans ces conditions, comment il se ferait que les garçons soient mieux traités que les filles. Ces dames ont tous les moyens de redresser la situation si toutefois elle a besoin de l’être, sans procéder à des lavages de cerveau dignes d’un régime totalitaire.

Le formateur Jean-Louis Auduc qui a écrit un essai: « Sauvons les garçons! » affirme pour sa part qu’avec la féminisation des métiers d’enseignement, les garçons ne rencontrent plus de modèles masculins auxquels ils peuvent s’identifier.

Il y a là un autre aspect des choses qu’il conviendrait de prendre en compte. La féminisation vient du système de recrutement après une formation universitaire plus longue ; Or à l’université on trouve jusqu’à 70% de femmes dans les filières lettres ou langues, sciences humaines et sociales. De plus ce métier permet de concilier vie professionnelle et vie familiale.

Il conviendrait de revenir aux errements antérieurs, quand on recrutait les instituteurs par concours après le bac et qu’on les formait à ce métier difficile en deux ans dans une Ecole Normale. On pourrait là aussi exiger la parité, pour une fois au profit des hommes.

 

 

 

 

 

02/02/2014

stéréotypes

Il y a peu un reportage dans une maternelle touchée par le programme ABCD, nous montrait deux bambins de quelque trois ans en train de baigner, apparemment sans grande conviction, chacun une poupée dans une baignoire en plastique. L’amusant était d’ailleurs qu’une des poupées était noire et l’autre de type asiatique. A l’évidence on voulait les convaincre que malgré les stéréotypes, des garçons pouvaient jouer à la poupée. Visiblement les gamins, pas très convaincus, agissaient sur ordre.

Des stéréotypes chez des enfants de trois ans, mais où vont ils chercher ça ? Ils les auraient acquis où et quand ? Il n’empêche les institutrices très excitées avaient l’air convaincues de la menace et de la nécessité de réagir.

On ne peut qualifier ça que de lavage de cerveau, et laver le cerveau d’enfants de maternelle, c‘est grave, genre totalitaire, Goebels n’est pas loin.

On me dira que j’ai des fantasmes et que tout ça c’est anodin et pour le bien des enfants qui pourront apprécier plus tard les joies des « tâches ménagères (qui) ne sont pas sans noblesse. »

Peut être mais avec un ministre qui veut remplacer la religion catholique qui s’oppose à tout « progrès », par une religion qui défende les valeurs de la république, je me méfie. D’autant que l’autre, la jeune Najat Belkacem, me semble un mauvais exemple question stéréotype, car, à la voir toujours pomponnée, elle doit en passer du temps chez son coiffeur et devant son miroir. Autre chose que Mélenchon qui n’a pas du suivre en son temps le programme ABCD.

Il n’est que de feuilleter la presse féminine, on voit bien que ces dames n’ont pas les mêmes préoccupations  que les lecteurs de l’ Equipe, de Paris Turf et de l’Auto Journal.

Ce qui est remarquable avec les socialistes c’est qu’ils veulent faire le bonheur de gens qui ne leur ont rien demandé. Croit-t-on que la préoccupation actuelle du menu peuple est le mariage pour tous, la libéralisation de l’avortement et les langues régionales ? Au contraire comment peut-t-on faciliter l’avortement dans un pays qui se dépeuple, pousser les mères de famille au travail avec trois millions de chômeurs, et enseigner le ch’ti quand personne n’écrit plus correctement le français.

Il est faux de prétendre que l’égalité c’est l’identité : il est bien évident que les hommes et les femmes n’ont ni les mêmes aptitudes ni les mêmes appétences : si une fille, veut être policière, il me semble évident qu’elle ne rendra pas les mêmes services qu’un homme. C’est ce que l’on peut constater d’ailleurs, les patrouilles sont maintenant de trois au lieu de deux autrefois, la norme étant maintenant deux hommes et une femme. Par contre je le dis tout net, j’aime mieux me faire soigner par une infirmière, les femmes sont beaucoup plus douces, patientes et gentilles.

Il faudrait quand même se préoccuper de certains domaines monopolisés par les femmes, l’enseignement d’abord et surtout la justice – 80% de filles à l’Ecole de la Magistrature - car être jugé par une femme ou par un homme, pour certains délits et crimes, n’est pas indifférent.

Du reste la libération de la femme n’a guère eu de conséquences bénéfiques sur la société, multiplication des divorces, des familles monoparentales ou recomposées, enfants livrés à eux mêmes et pas élevés. Quand on voit ce qui se passe dans les établissements scolaires de « quartiers sensibles », on se dit que c’est plus à ce niveau qu’il y aurait lieu de reprendre en main l’enseignement du « vivre ensemble » et de la discipline.

 

02/12/2012

Lavage de cerveau

Elle s’appellerait Claudine Dupont, elle ne serait pas ministre, c’est du moins l’avis de Ségolène Royal. J’ajouterais que si elle n’était pas femme, Najat Vallaud-Belkacem, dans ce pays où on choisit les ministres en fonction de leur sexe et de leur origine, ne le serait pas non plus.

Quoiqu’il en soit cette féministe à tous crins veut lutter « contre les stéréotypes et le sexisme d’habitude »  et pour cela «  il faut agir sur les mentalités ».  C’est le retour de la Propagandastaffel et du lavage de cerveau.

Sont visés les enfants en maternelle et en primaire. D’abord on va former (?) les enseignants : « un module de formation à l’égalité et à la déconstruction des stéréotypes sera obligatoire dans les futures écoles supérieures du professorat ». Il paraît que les enseignants « créent plus d’interactions avec les garçons, développant chez eux davantage que chez les filles des qualités précieuses dans le monde du travail ». C’est grave docteur ?

L’autre jour on nous montrait un petit garçon, noir, baignant consciencieusement une poupée, noire. Ca sentait le montage mais c’était beau comme l’antique. Parents ! Voilà ce qui attend vos enfants.

« Enfin l’éducation à la sexualité deviendra effective : il ne s’agit pas de pratiques, (espérons le) mais d’apprendre l’égale dignité et le respect entre les sexes ».

A mon avis le mieux serait d’abandonner la mixité à l’école, on s’éviterait bien des ennuis.

 

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