Google Analytics

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

10/03/2015

Journée de la femme, ad nauseam.

Comme tous les 8 mars nous avons eu à subir la journée de la femme, célébration inventée par Staline à la gloire des ouvrières soviétiques, tout un symbole.

Toute la journée on nous a montré des femmes qui font ce que font habituellement des hommes : être commandant de bord chez Air France, être militaire… La belle affaire, le font elles mieux que les hommes ? Tout cela me semble bien contradictoire avec la théorie du Genre, avec laquelle on nous bassine à longueur de temps et selon laquelle chacun peut choisir s’il se sent fille ou garçon.

On nous a ressorti tous les malheurs des femmes, mal-payées, sous-employées, battues, agressées en permanence.  Leurs carrières seraient barrées, elles sont exclues des études scientifiques…

Bien entendu dans tout ce larmoiement personne ne parle des domaines que les femmes ont monopolisés, la Justice - 80% de femmes à l’Ecole de la magistrature -, l’enseignement primaire - 82% et même 91% dans le privé.

Mais ce que je trouve de plus navrant c’est que certaines en profitent pour réclamer plus de droits pour ce qui va à l’encontre de leur nature, la libéralisation toujours plus grande de l’avortement.

Bien sur je vais être encore traité de macho ; je pense que chacun a son rôle et je ne vois pas la nécessité d’aller contre la nature des choses. J’admire les femmes pour leur dévouement à leurs enfants, leur gentillesse, leur beauté et je ne vois en rien la nécessité de les comparer ou de les confronter aux hommes.

Ceci étant je n’empêche aucune d’elles de faire ce qu’elle a envie de faire, mais qu’elle assume son choix et ses conséquences.

Prenons un exemple : on admet les filles à l’Ecole Navale depuis vingt ans, on leur en facilite même l’accès en abaissant pour elles les normes physiques et le barème des épreuves sportives, et bien, cette année sur 60 admis il y avait 3 filles. Mais on veut embarquer d’autorité des femmes à bord des sous-marins, au risque de créer des problèmes évidents.

Il faut quand même avoir l’esprit tordu comme un socialiste, pour imposer la parité obligatoire aux élections en présentant un faux ménage dans chaque canton.

Puis je faire une suggestion ? Je pense que l’on devrait fusionner le fête des mères et la journée de la femme. On va me qualifier de pétainiste, encore un stéréotype.

 

http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com 

 

05/03/2015

Mesdames les juges

La justice est colonisée par les femmes, comme l’enseignement. Alors qu’on exige partout la parité, il y a maintenant 80% de femmes à l’Ecole de la Magistrature. Bien entendu cela n’est pas indifférent pour la justice rendue pour certains délits, mais en plus si j’en crois une article du Monde du 4 mars, des juges se plaignent du comportement sexiste de leur supérieur masculin. Surtout les femmes enceintes ou avec des enfants en bas âge,

« Ainsi, tel président de juridiction fait preuve « d’un manque de tact qui frise souvent la grossièreté, témoigne un magistrat. Il a pu interpeller une collègue venant lui annoncer sa seconde grossesse en lui indiquant qu’il existait des moyens de contraception, ou une autre, en lui signalant à chaque rencontre qu’elle avait grossi ». Une vice-procureure a encore en travers de la gorge le dernier discours de rentrée « qui a directement mis en cause les magistrates, lesquelles, par leurs grossesses, sont à l’origine de dysfonctionnements graves », avec toute l’année, « un manque constant de considération et des humiliations publiques en termes choisis pour les femmes », traitées « d’hystériques » ou de « caractérielles »
Charmante ambiance qui laisse craindre une justice peu sereine.

Il n’empêche que l’absentéisme féminin chez une population jeune doit effectivement poser des problèmes comme d’ailleurs dans l’enseignement

Il conviendrait peut être de rééquilibrer les sexes chez les magistrats en appliquant une politique de quota à l’entrée de l’Ecole de la magistrature.

 

http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com 

 

 

 

 

23/07/2014

Justice pour il Cavaliere.

Après sa condamnation fin juin 2013 dans l’affaire du Rubygate, à 7 ans de prison j’avais publié sous le titre « la justice en quenouille »  le texte suivant :

 

« Ce pauvre Berlusconi vient de se voir condamner à 7 ans de prison et à l'interdiction à vie d’exercice de charges publiques dans le procès dit du Rubygate. Il a été condamné pour abus de pouvoir et prostitution de mineure.
La mineure en question, Karima el Mahroug, d’origine marocaine avait participé à plusieurs nuits chaudes du Bunga Bunga que le Cavaliere  organisait dans sa résidence d’Arcore en Lombardie. Karima dite Ruby était tout ce qu’il y a de consentante et ils affirment tous deux qu’ils n’avaient même pas « consommé ». Qu’importe, elle n’avait que dix sept ans et était donc mineure.

L’argument vaut son pesant de guano s’agissant d’une ressortissante du Maroc, pays où on obtient une dérogation pour une femme pour se marier à 14 ans et quand le prophète avait 11 femmes qu’il honorait toutes les nuits et parmi elles Aïcha épousée à 6 ans. Le mariage aurait été consommé quand Aïcha avait 9 ans.

C’est dire que Karima était largement d’âge.

Malheureusement le Cavaliere n’a pas eu de chance, il est tombé sur « une procureure » Ilda Boccassini connue sous le nom d’Ilda la rouge, en partie pour la couleur de ses cheveux et trois juges femmes, Carmen D'Elia, Orsola De Cristofaro et Giulia Turri.

Ces quatre dames ont condamné le malheureux pour cette peccadille à 7 ans de prison.

On peut se demander ce qui se serait passé devant un procureur et des juges hommes. Berlusconi aurait probablement été acquitté et même avec félicitations pour sa verdeur.

On rit, mais on rira moins quand on saura que 80% des auditeurs de l’Ecole de la Magistrature en France sont des femmes et qu’elles risquent de juger les faits de cet ordre, que je n’oserais même pas qualifier de délits, d’une façon totalement irrationnelle dans un souci de revanche.

Il ne fera plus bon pincer un postérieur aguichant ou même monter seul dans un ascenseur avec une femme.

Puisqu’on veut partout la parité, puis je demander une stricte égalité des sexes pour le recrutement des magistrats. »

 

Je ne me croyais pas si bon prophète, Berlusconi vient d’être acquitté en appel et relaxé de toute accusation. Apparemment le tribunal de trois juges de la cour d’appel n’était pas constitué majoritairement de femmes bien que ce ne soit pas précisé.

Cela confirme mon sentiment, la féminisation à outrance de la justice expose les hommes à des peines démesurées pour des peccadilles dont, souvent, ils ne sont pas les seuls responsables.

Il faut absolument rétablir la parité à l’école de la Magistrature.

 

 

 

 

 

13/03/2014

Incohérence féministe

Le 8 mars on a célébré la journée internationale de la femme ; remarquons tout d’abord que cette journée a été instaurée par Lenine en 1921, ce qui, étant donné la situation des femmes en URSS, soumises au plus durs travaux, disqualifie au moins le choix de la date.

Mais dans un monde où on prétend que le sexe est un choix personnel, l’existence d’une journée de la femme est totalement incohérente et relève, comme on dit maintenant, de stéréotypes.

Personnellement, ayant le plus grand respect pour les femmes et le rôle éminent qu’elles jouent, ne serait ce qu’en mettant les enfants au monde, je suis prêt à toutes les célébrations et même à l’envoi d’un bouquet de roses, si on cesse de me bassiner avec de soi-disant inégalités qui sont en fait la conséquences de choix et d’aptitudes différentes.

Il ne me choque pas que les femmes consacrent beaucoup de temps à « se faire belles », à choisir vêtements et sous-vêtements, à condition qu’elles reconnaissent qu’elles sacrifient là à un besoin de séduction dont il ne faudrait pas qu’elles se plaignent après qu’elles aient réussi.

Un livre récent intitulé : « La guerre invisible » (Les Arènes et Causette, 256 p., 19,80 euros), affirmait que dans l' armée française qui « s’honore d’être l’une des plus féminisées » (!) avec 15% d’engagées, les femmes militaires sont l’objet de fréquentes agressions sexuelles.

Les deux « auteures » dont le parti pris est évident, s’intéressent à une quarantaine de cas ce qui, étant donné les effectifs, n’est guère significatif.

Quoi qu’il en soit je suis prêt à croire à des « dérapages » et ce me semble inévitable, voire normal. La présence de nombreuses femmes souvent fessues et mamelues arpentant les couloirs du boulevard St Germain en brodequins et tenue camouflée peut prêter à sourire et est sans grandes conséquences mais engager des femmes dans des Opérations Extérieures dans des territoires exotiques ou les embarquer pour plusieurs mois dans la promiscuité d’un bateau de 100m de long entraine forcément des tentatives qui d’ailleurs décevraient probablement leurs victimes si elles n’avaient pas lieu.

Il faut vivre dans le monde des bisounours, pour croire que des mâles normalement constitués ne vont pas tenter leur chance : la femme a été longtemps considérée comme le « repos du guerrier ». Il fut un temps où le problème était résolu par des BMC  (bordel militaire en campagne), je doute que dans ce monde hypocrite on en rencontre encore, maintenant on livre le « repos » à domicile, étonnez vous.

On peut voir dans cette histoire les illusions de ces braves dames féministes qui nient la réalité physique du sexe, rêvent de guerriers émasculés, tout en prônant la liberté sexuelle, pour croire qu’il n’y a pas là un problème et que tout irait pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles.

Récemment les militaires allemands protestaient contre la féminisation de la Bundeswehr, affirmant qu’elle perdrait sa valeur militaire. Ils n’ont pas tort car il est peu probable que les femmes militaires n’aient à combattre que des personnes du même sexe comme dans les confrontations sportives et leur infériorité physique ne peut que les desservir. La présence de femmes dans les unités combattantes pose forcément des problèmes.Ces remarques valent aussi pour la police et la gendarmerie.

Malheureusement nous vivons dans un monde où on veut faire croire que les hommes et les femmes ont les mêmes compétences et les mêmes aspirations au point de doubler le nombre des ministres pour de bizarres raisons de parité et d’obliger les conseillers généraux à faire campagne en couple.

Je lisais il y a peu un article où on se lamentait qu’il n’y ait que 14,5% de filles admises à Polytechnique, une fille sur 21 à l’Ecole Normale Supérieure en Physique-Chimie, une sur 28 en maths, ces proportions étant qualifiées de « catastrophe », rien moins. Les filles disparaissent aussi comme professeurs de maths.

L’explication de cette carence : « La réponse passe évidemment par le spectre des stéréotypes de genre ». Evidemment ce sont les stéréotypes.

« Il y a urgence à ce que les filles investissent la filière scientifique. Il est économiquement non viable de se priver de la moitié des cerveaux. » Urgence : on ne suppose pas que les filles puissent avoir peu d’attirances ou même d’aptitudes pour les sciences dures. Par contre personne ne s’étonne ni ne regrette que 80% des élèves de l’Ecole de la Magistrature soient des filles et que l’enseignement dans le primaire soit féminisé à 82%, deux choses qui ne sont pas sans conséquences d’une part sur la façon dont est rendue la justice, d’autre part sur l’éducation de jeunes qui, à l’époque actuelle sont surtout sensibles au rapport de force.

J’aimerais qu’on laisse chacun libre de son choix et qu’on ne considère pas que les hommes et les femmes sont interchangeables. On cherche à culpabiliser les femmes qui se consacrent à l’éducation de leurs enfants, on voit le résultat, divorces, familles monoparentales, enfants à l’abandon. Un état conscient de ses devoirs ferait tout pour  les encourager et leur faciliter la vie.

 



 

02/02/2014

stéréotypes

Il y a peu un reportage dans une maternelle touchée par le programme ABCD, nous montrait deux bambins de quelque trois ans en train de baigner, apparemment sans grande conviction, chacun une poupée dans une baignoire en plastique. L’amusant était d’ailleurs qu’une des poupées était noire et l’autre de type asiatique. A l’évidence on voulait les convaincre que malgré les stéréotypes, des garçons pouvaient jouer à la poupée. Visiblement les gamins, pas très convaincus, agissaient sur ordre.

Des stéréotypes chez des enfants de trois ans, mais où vont ils chercher ça ? Ils les auraient acquis où et quand ? Il n’empêche les institutrices très excitées avaient l’air convaincues de la menace et de la nécessité de réagir.

On ne peut qualifier ça que de lavage de cerveau, et laver le cerveau d’enfants de maternelle, c‘est grave, genre totalitaire, Goebels n’est pas loin.

On me dira que j’ai des fantasmes et que tout ça c’est anodin et pour le bien des enfants qui pourront apprécier plus tard les joies des « tâches ménagères (qui) ne sont pas sans noblesse. »

Peut être mais avec un ministre qui veut remplacer la religion catholique qui s’oppose à tout « progrès », par une religion qui défende les valeurs de la république, je me méfie. D’autant que l’autre, la jeune Najat Belkacem, me semble un mauvais exemple question stéréotype, car, à la voir toujours pomponnée, elle doit en passer du temps chez son coiffeur et devant son miroir. Autre chose que Mélenchon qui n’a pas du suivre en son temps le programme ABCD.

Il n’est que de feuilleter la presse féminine, on voit bien que ces dames n’ont pas les mêmes préoccupations  que les lecteurs de l’ Equipe, de Paris Turf et de l’Auto Journal.

Ce qui est remarquable avec les socialistes c’est qu’ils veulent faire le bonheur de gens qui ne leur ont rien demandé. Croit-t-on que la préoccupation actuelle du menu peuple est le mariage pour tous, la libéralisation de l’avortement et les langues régionales ? Au contraire comment peut-t-on faciliter l’avortement dans un pays qui se dépeuple, pousser les mères de famille au travail avec trois millions de chômeurs, et enseigner le ch’ti quand personne n’écrit plus correctement le français.

Il est faux de prétendre que l’égalité c’est l’identité : il est bien évident que les hommes et les femmes n’ont ni les mêmes aptitudes ni les mêmes appétences : si une fille, veut être policière, il me semble évident qu’elle ne rendra pas les mêmes services qu’un homme. C’est ce que l’on peut constater d’ailleurs, les patrouilles sont maintenant de trois au lieu de deux autrefois, la norme étant maintenant deux hommes et une femme. Par contre je le dis tout net, j’aime mieux me faire soigner par une infirmière, les femmes sont beaucoup plus douces, patientes et gentilles.

Il faudrait quand même se préoccuper de certains domaines monopolisés par les femmes, l’enseignement d’abord et surtout la justice – 80% de filles à l’Ecole de la Magistrature - car être jugé par une femme ou par un homme, pour certains délits et crimes, n’est pas indifférent.

Du reste la libération de la femme n’a guère eu de conséquences bénéfiques sur la société, multiplication des divorces, des familles monoparentales ou recomposées, enfants livrés à eux mêmes et pas élevés. Quand on voit ce qui se passe dans les établissements scolaires de « quartiers sensibles », on se dit que c’est plus à ce niveau qu’il y aurait lieu de reprendre en main l’enseignement du « vivre ensemble » et de la discipline.