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03/11/2020

Faire la guerre

Ce n’est pas tout de dire que nous sommes en guerre, il faut la faire. Quand on nous tue dans nos écoles, dans nos églises, dans nos rues et que nous allumons des bougies, faisons des marches blanches, rendons hommages aux victimes etc… toutes réactions de bisounours, nous faisons ce que les terroristes recherchent. A ces meurtres il faut opposer des actions de fermeté, pas fermer une ou deux mosquées, interdire une ou deux associations, mais agir sur l’immigration.

Bien sur tous les immigrés ne sont pas des terroristes, mais tous les terroristes sont des immigrés, et il en entre 400 000 par an.

Le vivier du terrorisme c’est l’immigration et il faut le tarir.

Faisons une loi soumise à referendum et reprenant toutes les mesures qui s’imposent :

- Suppression du regroupement familial

- Refonte du droit du sol par lequel tout né en France devient automatiquement français

- Expulsion de tous les étrangers y compris les binationaux repérés pour islamisme.

- Suppression de la binationalité.

- Déchéance de la nationalité française des condamnés pour terrorisme.

- Suppression de tous les avantages sociaux aux clandestins en particulier l’Aide   Médicale gratuite

- Restriction du droit d’asile réservé uniquement aux ressortissants de pays non surs réellement menacés et accordé uniquement hors de France où dans des camps fermés et expulsion immédiate des déboutés
Evidemment la France sera condamnée par toutes les cours européenne, Cour européenne des droits de l’homme, Cour de justice de l’union européenne… mais cette loi ayant été approuvée par referendum, la volonté du peuple doit passer avant toutes ces juridictions.

Bien sur il y aura des hurlements, des condamnations, il ne faut pas y céder.

Quand l’immigration sera contrôlée, il sera plus facile de venir à bout du terrorisme.

10/05/2017

Le chamboule-tout

Si il y a une chose qu’a montrée l’élection d’Emmanuel Macron, c’est bien le ras-le-bol des Français pour tous les calculs minables qui caractérisent le « système ». Pendant que chacun suppute les chances qu’a son parti de survivre aux législatives voire d’imposer au Président une autre politique par la cohabitation, on ne peut que constater que tous les partis ayant des députés sont morts et que le « système » n’est plus opérant.

Les Républicains vont à l’évidence éclater entre les partisans d’une opposition dure, les centristes exerçant un droit de regard sur les décisions du Président sans s’y opposer systématiquement et ceux qui vont rallier « En Marche » par conviction ou pour aller à la soupe. De plus on peut estimer à plusieurs dizaines le nombre de députés FN, sans parler des députés qui ne seront pas réélus. L’hypothèse dune majorité de députés « de la droite et du centre » capable d’imposer un premier ministre est à vérifier.

En allant plus à droite, l’avenir du Front National risque de n’être pas serein. L’échec de Marine Le Pen montrant une certaine faiblesse et son incapacité d’assumer les fonctions présidentielles ne sera pas sans conséquence. D’ailleurs on peut se demander si elle avait réellement envie d’être élue étant donné l’impossibilité qu’elle aurait eue de gouverner avec l’opposition des média, de la finance, des grandes entreprises, des syndicats et des instances européennes et si son comportement pendant le débat avec Macron n’était pas une forme de sabordage. Quoiqu’il en soit le FN tel qu’il est a vécu, il devra changer de politique abandonnant ses positions économiques gauchisantes, se recentrer sur les fondamentaux qui intéressent ses partisans, la lutte contre le chômage par une relance de l’économie et en particulier de l’industrie, en obtenant de l’Europe un contrôle de ses frontières et une préférence nationale au moins pour les marchés publics et une limitation réelle de l’immigration ressentie comme une invasion. Mais l’éclatement du FN est à craindre entre le nord et les campagnes où ses soutiens sont surtout ceux qui ont été exclus par la mondialisation et le midi qui regroupe surtout des souverainistes demandant l’arrêt de l’immigration légale ou non.

A gauche on constate la disparition du parti socialiste réduit à quelques pour-cents et dont les élus vont préférer rejoindre « En Marche » dans l’espoir de conserver leur siège, et l’émergence d’une gauche radicale, regroupant mélanchonistes, communistes et écolo, sans qu’il y ait la moindre chance d’accord entre ces mouvements.

Si on pense que beaucoup d’électeurs vont aller au secours du succès, on peut envisager que par des décisions populaires réellement mises en œuvre, le président Macron arrivera à réunir suffisamment d’élus pour gouverner.

Ce serait la fin d’un système au pouvoir depuis 40 ans avec le succès qu’on lui connaît.

http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com

20/04/2017

Départementalisation

Les évènements récents en Guyane font une fois de plus ressortir l’ineptie du statut de département appliqué à nos territoires d’outremer. On fait d’eux des « Lampedusa » exotiques en but à une immigration incontrôlable, pour ce qui est de la Guyane venant d’Haïti, du Brésil et du Suriname : il est impossible de fermer nos frontières ouvertes à tous les vents.

La Guyane est avec Mayotte, le territoire français où l’impact migratoire est le plus fort. Au dernier recensement, plus de 84 000 étrangers étaient présents sur le sol guyanais, soit le tiers de la population totale. Cette immigration est avant tout régionale et s’explique par le niveau de vie attractif pour les ressortissants des pays environnants. La population est passée de 20 000 habitants en 1950 à 230 000 de nos jours

Les avantages sociaux attirent comme un trou noir, augmentent le coût de la main d’œuvre si bien qu’aucune activité économique ne subsiste sauf celle du béton pour construire des infrastructures : écoles, routes, hôpitaux.

Il est vrai qu’en Guyane il y a le centre de Kourou qui a certes des retombées sur les finances locales mais comme le fut le Centre d’Essai en Polynésie, fonctionne à part dans son enclave et n’est là qu’à cause de la proximité de l’équateur.

En fait la Guyane vit surtout de transferts de la métropole : salaires des fonctionnaires, subventions, aides sociales. La fonction publique fournit la moitié des emplois qui sont surpayés y compris les agents recrutés sur place.

Le récent mouvement avait pour objet d’obtenir des aides supplémentaires : on accorde un milliard d’euros les Guyanais en exigent trois.

Et l’on vous dira, ce qui est vrai, que les Français de Guyane ne vivent pas aussi bien que ceux de la métropole.

Le statut de département entraine de curieuses aberrations, la Guyane sensée faire partie de l’Europe, on n’y applique les normes européennes, par exemple on n’importe pas de viande du Brésil où elle n’est pas chère, les abattoirs n’étant pas aux normes européennes.

On retrouve à Mayotte la même situation en pire du fait de la différence culturelle d’une population à 95% musulmane et pour beaucoup ne maitrisant pas le français. Une immigration constante à partir des autres iles des Comores où le niveau de vie est très bas, mais aussi de Madagascar et de l’Afrique de l’Est, entraine une croissance démographique explosive : plus de la moitié des résidents sont d’origine étrangère dont la moitié des clandestins. Pourtant on expulse plus de 20 000 clandestins par an autant qu’en métropole. On compte actuellement 500 habitants au km2

La croissance est telle qu’il faudrait construire une classe par jour pour scolariser les enfants, actuellement 33% des enfants de plus de 15 ans n’a jamais été scolarisé.

Pour le reste on trouve les mêmes tares qu’en Guyane : économie dépendant des transferts : salaires d’une fonction publique surabondante, aide sociales, subventions. Etant donné le coût de la main d’œuvre on ne produit plus rien à Mayotte sauf du béton pour les équipements.

Le choix du statut de département est totalement inadapté, il aurait fallu adopter des statuts spécifiques donnant aux territoires une certaine autonomie, permettant leur développement dans le contexte de la zone. Les autres anciennes colonies Guyanaises ont toutes reçu leur indépendance et le statut de Mayotte attire inexorablement les populations voisines.

Quand on compare les deux îles sœurs de la Réunion et de Maurice, on ne peut que constater que l’ile française dépend pour une grande part de la métropole, alors que Maurice indépendante se suffit à elle même et dispose d’une économie autonome, production sucrière, banques, industrie et tourisme.

Peut être conviendrait-il de desserrer la tutelle de la métropole et de donner à la Réunion une large autonomie. On peut faire la même réflexion au sujet de la Guadeloupe et de la Martinique.

http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com

 

 

 

10/08/2016

Rodrigue as tu du coeur?

 « Un soufflet, l’insolent en eut perdu le vie », et Rodrigue trucida le père de Chimène.

Où est-il le temps où on considérait qu’un soufflet entrainait le déshonneur ? Maintenant on nous fusille, on nous égorge, on nous explose, on nous écrase et que font les Français ? Ils gémissent, allument des bougies, entassent des fleurs, et embrassent ceux qui sont à l’origine de leur malheur. Le terrorisme ce n’est pas l’islam, pas d’amalgame, le « vivre-ensemble ».

On leur ouvre même nos églises ce qui leur permet de venir reconnaître les lieux avant de les transformer en mosquées. Certains font semblant de pleurer avec nous, la « takiya », et combien se réjouissent de tous ces crimes.

Autrefois on payait des pleureuses pour les enterrements, maintenant tout le monde pleure, probablement une conséquence de la féminisation de la société : la pleurnicherie alors qu’il faudrait la guerre. Maintenant que l’Islam pousse de toutes parts pour nous faire adopter ses mœurs, on se demande comment financer cette religion au nom d’un impossible « Islam de France ». L’islam est multiple, sans structure, donc impossible à contrôler.

Bien sur tous les musulmans ne sont pas des terroristes, mais tous les terroristes sont des musulmans et on juge l’arbre à ses fruits, c’est par l’islam qu’ils ont été formés et poussés. Certains tuent d’autres insidieusement veulent que l’on vive comme eux.

C’est aux musulmans qui veulent être français, il y en a, de réagir, de dénoncer les radicalisés, les imams prêchant le djihad, de s’intégrer.

Maintenant il faut arrêter l’immigration extra européenne, ne plus donner automatiquement la nationalité française mais exiger un engagement, supprimer la double nationalité, arrêter le regroupement familial, contrôler nos frontières, expulser les étrangers délinquants et clandestins, supprimer toutes les incitations sociales, CMU, AME.

Or que fait-on ? Les bateaux de l’organisation Frontex , chargés d’assurer la garde des frontières de l’Europe en Méditerranée  ainsi que d’autres bateaux armés par des ONG, vont récupérer les migrants au large de la Libye se rendant complices des passeurs et les acheminent à bon port en Europe alors qu’il faudrait les reconduire à leur point de départ et établir un blocus des côtes. En une seule journée 3400 migrants, venant pour la plupart de l’Afrique subsaharienne incapable de contrôler sa croissance démographique, ont été conduits en Italie.

En France, l’école a un rôle primordial à jouer, seulement il faut abandonner les repentances pour des crimes généralement imaginaires. Il faut reprendre l’enseignement de l’histoire de France sans omission, Charles Martel, les croisades, Louis XIV, la colonisation et ses bienfaits, enseigner de nouveau « le roman national » y compris « nos ancêtres les Gaulois". Ceux qui veulent devenir Français doivent adhérer à l’histoire de la France et l’adopter comme leur.

Et puis plutôt que de balader des militaires sur les trottoirs et dans les gares, ce qui ne sert à rien, il faut comme on le fit pendant la bataille d’Alger, reconquérir une à une les multiples casbah qui se sont créées dans et autour des villes, quartiers où la loi française ne s’applique plus, ou on agresse policiers, pompiers, médecins, bus et où prospèrent tous les trafics, drogues, armes… Quand on est en guerre on la fait avec les méthodes les plus efficaces au besoin en déplaçant les limites du droit.

Bien entendu cela nécessite la remise à niveau des moyens, renseignement, policiers, militaires et justice.

Commençons par n’accepter aucun accommodement, aucune dérogation, interdisons les abattoirs qui ne respectent pas les règles pour l’hygiène et la souffrance des animaux, les menus adaptés, les piscines pour femmes, les exigences médicales.

La France est agressée non seulement dans sa chair mais dans son âme, il faut réagir contre cette idéologie invasive, peut être est-il déjà trop tard.

 

http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.

20/04/2016

Mayotte, une poudrière.

Il ne fallait pas être grand clerc pour qui connaissait l’île, pour prévoir que la départementalisation de Mayotte conduirait à la catastrophe : nous y voilà.

Mayotte sort de 15 jours de grève générale ayant entrainé un blocage total de l’île et accompagnée de violences tournant à l’émeute.

La grève était motivée par une demande d'alignement immédiat de l’île sur la Réunion, ses incomparables subventions, allocations et prestations sociales.

Dans la naïveté des dirigeants de l’époque, le vote négatif de Mayotte au référendum sur l’indépendance en 1974 était du à un attachement indéfectible au drapeau tricolore alors qu’il était du en fait à deux raisons : une rancœur ancestrale vis à vis des autres îles et le désir de bénéficier du sort enviable de la Réunion.

Au moment des négociations pour la départementalisation, le « pacte de départementalisation » prévoyait un délai de 20 à 25 ans pour aligner Mayotte sur la Réunion. Après 5 ans ce délai semble insupportable, malgré une situation déjà très favorable par rapport à l’environnement : le revenu est 13 fois supérieur à celui des autres Comores. Mais les Mahorais reçoivent la télévision de métropole et ne peuvent que constater qu’ils ne vivent pas de la même façon. C’est pourquoi les syndicats décident de bloquer l’île avec l’appui des élus locaux avec comme slogan «pour l’égalité réelle ». Après 15 jours de blocage de la circulation et d’arrêt de toute vie sociale et économique et aussi en raison des violences et déprédations, le gouvernement finit pa donner gain de cause aux syndicats pour acheter la paix sociale.

Une sur-rémunération de 40% est accordée aux fonctionnaires, ainsi qu’une amélioration de carrière. On va étudier l’application du Code du Travail, l’extension des conventions collectives et des droits sociaux.

Les grands gagnants sont les fonctionnaires, qui sont pléthores à Mayotte, le premier employeur de l’île est le conseil départemental qui emploie 3000 agents dont beaucoup recrutés pour des raisons sociales ou électorales. Le conseil départemental a voté un budget en déficit de 46 millions d’euros et la plupart des communes sont sous tutelle. Il faut dire que faute de cadastre les impôts locaux ne rentrent pas.

Un fonctionnaire mahorais va donc toucher un traitement majoré de 40% par rapport à son homologue de métropole : le pactole. Ce salaire entrainera à la hausse les coûts du travail dans le privé qui sont déjà excessifs par rapport à la région, si bien que Mayotte ne produit déjà strictement plus rien, plus de ylang-ylang, de vanille, l’agriculture ne se développe pas et la pisciculture périclite : tout est importé. Quant au tourisme il stagne, trop cher, sans infrastructures ni personnel formé et aussi en raison de l’insécurité. La seule activité c’est le béton pour construire des routes, des écoles, des hôpitaux, des bâtiments administratifs, sans qu’on arrive pour autant à suivre la croissance démographique.

Tout cela ne passe pas inaperçu des îles voisines et Mayotte est devenu un trou noir aspirant les populations de la région, surtout des Comores, mais aussi de Madagascar et d’Afrique de l’est. Une immigration incontrôlable s’est développée au point qu’on expulse bon an mal an, 20 000 clandestins sans grande procédure. Néanmoins on estime à 40% la part des étrangers, clandestins ou non, dans la population actuelle, plus probablement 60%. Parallèlement la population croit au rythme annuel de quelque 3% par accroissement naturel, si bien que la Mayotte atteint maintenant probablement 300 000 habitants soit près de 800 au km2, on en prévoit 500 000 en 2050.

Et c’est là la raison des violences, une véritable émeute, qui ont accompagné la grève générale. A coté des nantis que sont les fonctionnaires, il y a des dizaines de milliers de précaires, d’exclus qui n’ont aucun espoir.

Le chômage explose : il y a 35 000 emplois à Mayotte dont le nombre n’augmente pas avec la croissance de la population, les jeunes sortant du système scolaire avec un bacc généreusement attribué, ne trouvent pas d’emplois sur l’ile et partent vers la métropole, la Réunion ou grossissent le nombre des chômeurs..

Les étrangers sont probablement majoritaires, dont une grande part de clandestins qui vivent dans des bidonvilles, travaillent au noir, fuient la police et provoquent l’insécurité, agressions, cambriolages, vols, pillages, détériorations de véhicule.

Les violences sont surtout imputables aux milliers de mineurs désoeuvrés et déscolarisés, il y aurait à Mayotte 6 000 enfants isolés, laissés par leurs familles expulsées dont beaucoup n’ont personne pour s’occuper d’eux. Un métropolitain vient même d’être tué par des mineurs au cours d’une agression.

Mayotte vit sous perfusion, salaires des 20 000 fonctionnaires venus de métropole, dotations, subventions, allocations et crédits européens.

La situation ne peut que s’aggraver en fonction de l’accroissement de l’immigration, des durcissements prévisibles des procédures d’expulsion, et de la croissance démographique. Avec le coût du travail on ne peut espérer aucun développement économique.

La situation sociale va finir par exploser étant donné l’écart des revenus entre les plus riches, les fonctionnaires métropolitains et locaux et les plus pauvres, les clandestins.

Il faudrait revenir à un statut moins contraignant permettant à Mayotte de regagner son environnement, les Comores, Madagascar, l’Afrique de l’Est.

Pour cela on pourrait évoquer les nombreuses condamnations de l’ONU et de l’Union africaine contre l’annexion de Mayotte ou sur le fait que la départementalisation, votée à la sauvette par le Parlement sans consultation des Français, était contraire à la Constitution. Qui aura ce courage ?

Enfin remarquons que les médias s’intéressent soudain à Mayotte au bord de la guerre civile, alors qu’il était impossible de les faire réagir avant le vote de la départementalisation quand on les informait des conséquences évidentes de cette décision irresponsable. Mayotte est une poudrière qui va un jour exploser.

 

 

http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com