06/08/2019
Combien de planètes?
Comme tous les ans le club de réflexion Global Footprink Network donne une date où l’humanité est sensée avoir consommé les ressources de la planète pour l’année. Cette année c’était le 29 juillet.
Comme d’habitude l’étude culpabilise les pays développés producteurs de richesses qui généralement se nourrissent eux mêmes quand ils ne nourrissent pas le reste de la planète. Il paraît pour le WWF France« qu’à l’échelle de la planète, nous avons pêché plus de poissons, abattu plus d’arbres et cultivé davantage de terres que ce que la nature peut nous offrir au cours d’une année». Qu’est ce que ça veut dire : encourage -t- on les pays qui ne produisent rien, n’exploitent pas les richesses potentielles tant agricoles que minières. Curieusement l’Afrique n’est citée nulle part et ne fait l’objet d’aucune statistique. Que veut on dire quand on déclare que nous avons pêché trop de poissons ? La pisciculture permet de développer une production de poissons dont on ne voit pas les limites. On abat trop d’arbres mais les forêts des pays développés notamment en France sont en croissance.
Les Etats unis sont accusés d’avoir besoin de 5 planètes pour maintenir leur mode de vie mais les Etats Unis sont exportateurs agricoles, pétroliers.
Depuis des décennies on nous menace de l’épuisement des ressources pétrolières, on n’arrête pas de trouver de nouveaux gisements, d’exploiter des ressources non conventionnelles pétrole et gaz de schiste.
Il est amusant de constater que les Etats unis sont les grands coupables avec 5 planètes, la France aurait besoin seulement de 2,7 planètes. Sur quelles réserves tirons nous plus que nous produisons ? Notre agriculture nourrit largement notre population et on ne voit pas qu’il y ait un problème de renouvellement des ressources, la population est stable ou en très faible croissance, et c’est le cas de tous les pays développés traités comme des prédateurs comme la Suisse, l’Allemagne ou l’Italie.
Le seul pays qui ait grâce aux yeux du Global Footprink Network est l’Inde qui n’aurait besoin que de 0,7 planète, l’Inde avec sa misère, ses enfants au travail – environ 60 millions d’enfants -, sa croissance démographique - 1,25% par an -, l’illettrisme. On prévoit que l’Inde deviendra le pays le plus peuplé du monde en 2025.
L’Afrique ne fait l’objet d’aucune statistique, sa croissance démographique est de 4% par an, sa croissance économique d’environ 2,5% par an. L’Afrique s’appauvrit par habitant qui déjà pauvre, émigre et submerge la planète.
Et comme tout cela n’est pas très convainquant on va chercher la tarte à la crème : l’émission de CO2 si bien que pour la France «Le point noir est la voiture individuelle qui compte pour 16 % des émissions totales de CO2 du pays». La bagnole toujours la bagnole cette bête noire absolue. Circulons à pied, à vélo ou en bus, et condamnons toute l’industrie automobile.
Décidément les écolos voudraient nous ramener au moyen âge où comme chacun sait le manant se gobergeait d’une poule au pot tous les dimanches.
14:35 Publié dans actualites, Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : planètes, poissons, arbres, afrique, inde, bagnole
15/06/2018
Aquarius le retour.
Il est quand même courageux, notre président quand il condamne « la part de cynisme et d’irresponsabilité du gouvernement italien », car il fallait bien qu’un jour quelqu’un mette les pieds dans le plat. D’autant que nous avons fermé - ce que je ne reproche pas – notre frontière avec l’Italie et lui renvoyons tous les clandestins qui arrivent à la franchir.
Il est assez remarquable que partis de Libye en tant que naufragés, ils deviennent migrants à bord de l’Aquarius et réfugiés une fois débarqués en Europe.
Ce qu’il faut voir c’est que la question ne peut être réglée avec de grands sentiments mais qu’il s’agit d’une invasion de peuples en quête d’un « espace vital » comme le revendiquait Hitler quand il a mis l’Europe à feu et à sang : le Lebensraum.
L’Europe est confrontée à une menace mortelle : la croissance démographique en Afrique est supérieure à la croissance économique ce qui fait que finalement les africains sont de plus en plus pauvres.
Selon le pays de l’Afrique subsaharienne les femmes ont de quatre à six enfants chacune et le processus se joue sur le long terme, il faut développer l’Afrique ce qui depuis les 70 ans des indépendances n’a jamais été réussi tant l’Afrique noire sombre dans le tribalisme et la corruption. Les Chinois montrent leur nez mais rien n’est plus loin de la mentalité chinoise que la mentalité africaine et ils n’aboutiront à rien, quand aux pays occidentaux ils s’intéressent plus aux matières premières qu’à la création d’entreprises.
De toute façon le développement économique comme la conversion démographique sont des processus à long terme et le désastre africain ne peut être corrigé qu’après des décennies. En attendant le déferlement africain ne peut que se poursuivre et l’affaire de l’Aquarius n’est qu’un épiphénomène. La France est le pays le plus menacé, les pays d’émigration étant en majorité francophones.
Si l’Europe ne veut pas éclater il faut gérer l’affaire sur le long terme : d’abord ne pas encourager la migration en aidant les pseudo naufragés au départ de Libye et de Tunisie, ce sont les migrants qui mettent leur vie en danger volontairement. Au cas où ils seraient recueillis en mer il faut les ramener au port le plus proche éventuellement en Afrique. Ceux qui parviennent en Europe doivent être regroupés dans des camps fermés comme autrefois le fit le gouvernement socialiste avec les réfugiés républicains à la fin de la guerre d’Espagne. Dans ces camps il faut faire le tri entre ceux qui relèvent du droit d’asile et les migrants économiques qui doivent être expulsés vers leur pays d’origine.
C’est une affaire vitale, la lutte contre une invasion mortelle, il ne faut plus faire de sentiment. C’est ce que commencent à penser nombre de pays de l’Union Européenne notamment en Europe de l’est et centrale et maintenant l’Italie.
14:45 Publié dans actualites, Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : aquarius, italie, migrants, invasion, afrique, europe
17/12/2017
Sauver la planète
« Alors que les Ottomans étaient aux portes de Constantinople, le concile y discutait du sexe des Anges »
De même Emmanuel Macron a cru bon de convoquer les puissants et les riches de ce monde à une conférence destinée à « sauver la planète ».
Il est plus facile de se consacrer à la lutte contre les « gaz à effet de serre » (GES) qui sont une menace certainement fantasmée, que de chercher à limiter les conséquences d’une menace certaine qui risque d’entrainer le fin de l’occident chrétien.
La croissance démographique de l’Afrique est de l’ordre de 5% par an alors que la croissance économique n’atteint qu’ 1,5%. Le PIB par habitant est donc en décroissance. Un jeune Terrien sur trois âgé de 15 à 29 ans vivra en Afrique en 2050. L’Afrique qui compte aujourd’hui 1,3 milliard d’habitants en totalisera près de 4,5 milliards en 2100 soit 40% de l’humanité. Cet accroissement n’est pas probable mais quasi-certain, sauf catastrophe ou guerre meurtrière, étant donnée l’inertie des évolutions démographiques.
Comme l’Afrique sera incapable d’offrir du travail et même de nourrir une telle population, le déferlement vers l’Europe, qui a déjà commencé, ne peut que s’amplifier, entrainant terrorisme, mutation culturelle, appauvrissement, troubles en tous genres et vraisemblablement guerre civile si toutefois les européens en plein suicide démographique ont encore le courage de réagir plutôt que de se soumettre.
Il est quand même intéressant de connaître les mesures concoctées à la conférence « One planet summit » si on en croit un article du Monde intitulé « Des solutions pour enrayer la surchauffe. »
Il faudra « un changement radical des modes de vie et de consommation, ces solutions sont aussi porteuses d'un mieux-vivre collectif ». Cela promet, voilà maintenant quelques mesures proposées : « laisser enfouies dans le sous-sol les ressources fossiles, qui sont les fossoyeurs du climat ». Remarquons que le problème n’est pas la production mais la consommation et qu’en refusant de produire du pétrole nous nous obligeons à l’acheter ce qui accroit d’autant notre déficit commercial. Il est vrai que l’association négaWatt a bâti un scénario conduisant à un mix 100 % renouvelable en France en 2050 !
« Arrêter la déforestation » La déforestation est liée à la croissance démographique et existe en particulier en Afrique : en France la surface des forêts est en croissance.
« Manger moins de protéines animales » Nous allons venir au temps des restrictions et des tickets : la production mondiale de viande devrait augmenter de 75 % d'ici à 2050 pour satisfaire 10 milliards d'êtres humains. « …les Français ne mangeraient plus que 94 grammes de viande par jour et par adulte au milieu du siècle contre 185 g aujourd'hui. En contrepartie, la ration de légumineuses (lentilles, pois chiches, etc.) augmenterait de 15 g à 41 g » Quelle naïveté de croire que si nous mangeons moins de viande cela profitera aux populations d’autres continents.
Bien entendu on s’en prend à l’auto : « le recours au vélo et au covoiturage permettrait de faire baisser les émissions de CO2 dans les zones périurbaines françaises de 21 % à 60 % ».
Ce n’est qu’un simple échantillon de ce qu’on nous réserve « pour sauver la planète », remarquons que le recours à l’énergie nucléaire qui est la solution de nos problèmes énergétiques, n’a même pas été évoquée, par contre on veut faire passer le nombre des éoliennes en France, actuellement de 4000, à 10500 en 2023.
On peut penser que lorsque l’Afrique et l’Islam nous auront conquis, ce sera la fin du consumérisme, le retour au « labourage et pastourage » et que le problème des GES sera résolu.
15:18 Publié dans actualites, Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : macron, gaz à effet de serre, afrique, réchauffement climatique, islam
11/08/2017
Salauds de Luxembourgeois
Après avoir voulu nous culpabiliser avec « les gaz à effet de serre » et « l’empreinte carbone » voilà qu’apparaît un nouveau boniment : « A partir du 2 août, l’humanité vit à crédit ». Il paraît qu’à cette date nous avons consommé tout ce que la terre peut produire chaque année et que donc, après cette date, l’humanité vivrait à crédit et qu’il faudrait 1,7 terre pour fournir les ressources nécessaires.
On peut se demander de quelles ressources il s’agit, l’agriculture mondiale peut encore se développer, les ressources en produits pétroliers sont réévaluées en permanence et certains pays comme la France interdit de nouvelles prospections. De toute façon on prétend à terme se passer des énergies fossiles, leur existence n’a en soi aucun intérêt, et bien entendu on fait l’impasse sur l’énergie nucléaire.
En fait il paraît que l’homme par son action nuit à la biodiversité, si l’homme na pas été responsable de la dispositions des dinosaures, « il est collectivement responsable de la disparition des espèces ». On ne dit pas de quelles espèces il s’agit alors qu’on a réintroduit en France le loup et l’ours. Il s’agit probablement d’espèces comme l’orang-outan ou le gorille qui voient disparaître leurs habitats du fait de la déforestation.
« Nous contractons cette dette car nous coupons des arbres à un rythme supérieur à celui de leur croissance, nous prélevons plus de poissons dans les mers qu’il en naît chaque année, et nous rejetons davantage de carbone dans l’atmosphère que les forêts et les océans peuvent en absorber.» On cherche donc à nous vendre à nouveau sous une autre forme, les gaz à effet de serre et le réchauffement de la planète. Ce qui est intéressant dans cette affaire est qu’on culpabilise les pays développés, ceux qui inventent, produisent et soignent. Le plus coupable est le Luxembourg auquel il faudrait 7,7 planètes pour vivre, ensuite les Qatar 7,4 planètes, l’ Australie 5,2. A nous Français 3 planètes suffisent.
Ce qui est aussi intéressant c’est de voir que ceux qui sont classés comme « les moins gaspilleurs » sont les Indiens 0,6 planète, les Burundais, les Haïtiens et les Erythréens, pays où comme chacun sait il fait bon vivre. Et l’on passe sous un prudent silence tous les pays d’Afrique subsaharienne où on meurt de faim et de maladie, où on s’entretue pour des raisons tribales et religieuses et d’où les populations n’ont qu’une idée c’est d’émigrer vers ces salauds de pays pollueurs.
L’Inde est un bon exemple de ce à quoi les bien pensants voudraient nous ramener : pour les 1 236 millions d’habitants, le PIB est de 3700$ par an. La population augmente de 19 millions par an. L’Inde est le pays le plus touché par le travail des enfants. Selon l’UNICEF, 14 % des enfants âgés de 5 à 14 ans travaillent (chiffres 2000). Environ 20 % de ces enfants travaillent dans la rue en tant que chiffonniers, mendiants, conducteurs de vélos taxis et cireurs de chaussures. Un travailleur agricole sur dix est un enfant. L'industrie est, elle aussi, touchée par ce travail infantile, particulièrement dans les mines, les usines de textiles et le plus souvent dans des conditions déplorables. A ce prix on peut effectivement être classé comme peu gaspilleur.
Et encore si on s’intéresse à l’Afrique on apprend que la croissance démographique est très supérieur à la croissance économique. L’Afrique a besoin, au minimum, de 7% de croissance par an durant plusieurs années. En 2016, elle fut de 1,5%. Pendant ce temps là la population africaine croit au taux de 4% par an, elle double tous les 18-20 ans. Bien sur dans ces conditions ces pays peuvent être classés parmi les moins pollueurs alors qu’ils sont responsables de la déforestation, de la pénurie en eau et des épidémies et ainsi de la disparition d’espèces par destruction de leur habitat.
La population de la planète passera de 7,5 à 9,8 milliards d’individus en 2050, 11,2 milliards à la fin du 21°siècle si on en croit les Nations Unies. C’est en Afrique que la population croitra le plus, le Nigéria va passer de 191 millions à plus de 410 millions en 2030. L’Afrique, qui compte aujourd’hui 1,3 milliard d’habitants représentant 17 % de la population mondiale, en totalisera près de 4,5 milliards à l’horizon 2100, soit 40 % de l’humanité. Cet accroissement de la population va entrainer une urbanisation galopante, un milliard d’Africains devraient vivre en ville dans les 20 prochaines années.
Il ne s’agira de villes organisées comme nous les connaissons mais d’agglomérations où domineront les bidonvilles, où beaucoup d’habitants n’auront accès ni à l’eau, ni à l’électricité, ni à l’hygiène ni aux transports. Aujourd’hui plus de 60% des urbains vivent dans des habitats insalubres. Kinshasa et Lagos regroupent actuellement 10 millions d’habitants. Kampala la capitale de l’Ouganda s’est étalé de 71 km2 à 386 entre 1989 et 2010, elle devrait atteindre 1000 km2 en 2030 entrainant la disparition de forêts et de zones humides. Les villes africaines atteignent un niveau de pollution dont nous n’avons pas idée en Europe. C’est de cette évolution que vient la déforestation, la destruction des littoraux, en France l’espace forestier s’accroît.
Nous voilà bien loin de l’épuisement de la planète par l’homme surtout par les pays développés, là est la vraie menace, une croissance démographique mondiale incontrôlée provenant surtout des pays pauvres, incapables de se développer. Le déferlement africain vers les pays « nantis »qui connaissent un hiver démocratique a déjà commencé, il va s’accroitre déversant des populations non formées, déracinées, inassimilables. Le réchauffement de la planète et l’épuisement des ressources dus aux activités humaines sont des préoccupations bien secondaires .
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10/06/2016
Naïveté et inconscience.
Les Européens dans leur candeur naïve, se comportent comme les aides des passeurs libyens qu’ils prétendent éliminer. Sofia, l’opération militaire lancée en juin 2015 par l’Union européenne pour neutraliser les embarcations de migrants, se fait en fait la complice des passeurs qui assurent la traversée des migrants de la Libye vers l’Italie et l’Europe.
On estime à 800 000 le nombre de clandestins originaires de l’Afrique subsaharienne cherchant à quitter la Libye pour gagner l’Europe.
Alors que l’immigration par la Grèce est à peu près contenue grâce à la fermeture de la route des Balkans, l’immigration à partir de la Libye est en pleine croissance. En avril il y aurait eu quelque 9 000 passages, en mai 20 000. Il s’agit certes d’Erythréens, de Somaliens ou de Soudanais fuyant leur pays où règne la guerre civile, mais aussi de réfugiés économiques venant du reste de l’Afrique, Guinéens, Ivoiriens, Gambiens, Nigerians, Ghanéens…
Et c’est bien là le risque à long terme : la croissance démographique de l’Afrique est actuellement de 3% par an alors que la croissance économique n’est que de 1%, maintenant obérée par la baisse du prix des matières première, principale ressource de L’Afrique.
Pourtant l’aide extérieure à l’Afrique est considérable, de l’ordre de 35 milliards de dollars par an depuis 1960. L’UE a versé 25 milliards d’euros en 2010, 38 en 2015… Il faut ajouter les remises de dette et les aides privées, tout cela pour un résultat proche du néant.
Le chômage est en pleine croissance, en particulier chez les diplômés. Cette situation va perdurer tant que ne sera pas institué un contrôle des naissances, avant ce sera la submersion de l’Europe
Tout cela explique le désir d’émigration notamment vers le supposé eldorado européen. Pour la grande majorité des migrants ouest africains, la première étape est le Niger où ils sont pris en charge par des passeurs qui organisent le voyage transsahariens jusqu’en Libye. En 2015 quelque 100 000 migrants auraient transité par le Niger.
En Libye une autre chaine de passeurs prend le relai, suivant les antiques voies transsahariennes. Mais l’étape la plus importante et la plus difficile est le franchissement de la Méditerranée. Après avoir empilé les migrants dans de véritables entrepôts, les passeurs les entassent dans des embarcations délabrées et des pneumatiques pour gagner Lampedusa et Malte.
Jusqu’à il y a peu, la traversée était risquée et les naufrages nombreux, les embarcations étant surchargées. Maintenant les passeurs conduisent les migrants jusqu’à la limite des eaux territoriales libyennes et les abandonnent après avoir alerté les bateaux européens. Les bateaux de l’opération de Frontex, « Sofia », dont la mission est de neutraliser les embarcations de passeurs, se transforment en bons samaritains et après avoir récupéré les migrants les transportent en Europe se comportant ainsi en complice des passeurs.
A cela il faut ajouter les grandes âmes de l’Aquarius « bateau citoyen » affrété par l’association SOS Méditerranée qui se targue d’avoir sauvé 917 personnes d’une mort certaine. L’Aquarius a l’attention de passer l’été entre la Libye et la Sicile et fait appel à aide financière. « Nous sommes des messagers. Nous souhaitons partager avec nos donateurs les expériences que nous avons vécues en mer ». Braves gens, qui organisent l’invasion de l’Europe. Car tout cela crée un appel d’air de tous les migrants qui attendent de passer la Méditerranée.
Et pourtant les autorités Libyennes disent lutter contre l’immigration clandestine mais elles ne disposent que de faibles moyens.
Il est faux de considérer les migrants embarqués volontairement dans des embarcations et des pneumatiques surchargés comme des naufragés, sauf à les sauver quand ils sont réellement en danger, mais de toute façon il est irresponsable de les emmener en Europe. Il conviendrait au contraire de les ramener en Libye avec l’accord des autorités libyennes qu’il faudrait aider. C’est le seul espoir que le flot se tarisse.
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