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15/06/2018

Aquarius le retour.

Il est quand même courageux, notre président quand il condamne « la part de cynisme et d’irresponsabilité du gouvernement italien », car il fallait bien qu’un jour quelqu’un mette les pieds dans le plat. D’autant que nous avons fermé - ce que je ne reproche pas – notre frontière avec l’Italie et lui renvoyons tous les clandestins qui arrivent à la franchir.

Il est assez remarquable que partis de Libye en tant que naufragés, ils deviennent migrants à bord de l’Aquarius et réfugiés une fois débarqués en Europe.

Ce qu’il faut voir c’est que la question ne peut être réglée avec de grands sentiments mais qu’il s’agit d’une invasion de peuples en quête d’un « espace vital » comme le revendiquait Hitler quand il a mis l’Europe à feu et à sang : le Lebensraum.

L’Europe est confrontée à une menace mortelle : la croissance démographique en Afrique est supérieure à la croissance économique ce qui fait que finalement les africains sont de plus en plus pauvres.

Selon le pays de l’Afrique subsaharienne les femmes ont de quatre à six enfants chacune et le processus se joue sur le long terme, il faut développer l’Afrique ce qui depuis les 70 ans des indépendances n’a jamais été réussi tant l’Afrique noire sombre dans le tribalisme et la corruption. Les Chinois montrent leur nez mais rien n’est plus loin de la mentalité chinoise que la mentalité africaine et ils n’aboutiront à rien, quand aux pays occidentaux ils s’intéressent plus aux matières premières qu’à la création d’entreprises.
De toute façon le développement économique comme la conversion démographique sont des processus à long terme et le désastre africain ne peut être corrigé qu’après des décennies. En attendant le déferlement africain ne peut que se poursuivre et l’affaire de l’Aquarius n’est qu’un épiphénomène. La France est le pays le plus menacé, les pays d’émigration étant en majorité francophones.

Si l’Europe ne veut pas éclater il faut gérer l’affaire sur le long terme : d’abord ne pas encourager la migration en aidant les pseudo naufragés au départ de Libye et de Tunisie, ce sont les migrants qui mettent leur vie en danger volontairement. Au cas où ils seraient recueillis en mer il faut les ramener au port le plus proche éventuellement en Afrique. Ceux qui parviennent en Europe doivent être regroupés dans des camps fermés comme autrefois le fit le gouvernement socialiste avec les réfugiés républicains à la fin de la guerre d’Espagne. Dans ces camps il faut faire le tri entre ceux qui relèvent du droit d’asile et les migrants économiques qui doivent être expulsés vers leur pays d’origine.

C’est une affaire vitale, la lutte contre une invasion mortelle, il ne faut plus faire de sentiment. C’est ce que commencent à penser nombre de pays de l’Union Européenne notamment en Europe de l’est et centrale et maintenant l’Italie.

 

27/04/2015

Arrêtons l'invasion.

L’invasion  de l’Europe occidentale a commencé dés le VIII° siècle, quand  l’Islam eut conquis le Maghreb. Arrêtés en 732 à Poitiers, il fallut près de huit siècles pour chasser les musulmans d’Espagne.

Mais la guerre en Méditerranée fut constante, attaques de Constantinople, piraterie, razzias sur les côtes européennes, et bien-sur les croisades à partir de la fin du XI° siècle.

Jusqu’au milieu du XX° siècle, l’Europe chrétienne arriva à contenir l’Islam, finissant par coloniser le nord de l’Afrique, de l’Egypte au Maroc

Et puis vint la saison des abandons, de la mauvaise conscience, et des indépendances conduisant généralement aux troubles politiques, aux persécutions religieuses, et au sous développement.

Depuis 40 ans une immigration continue, encouragée, puis supportée et maintenant mal tolérée, a introduit en Europe des millions de musulmans, venant du Maghreb, de Turquie, du Moyen orient, d’Afrique noire.

Maintenant c’est le déferlement, l’Afrique se déverse sur nos côtes envoyant des populations pour la plupart inassimilables en quête de sécurité ou d’un eldorado européen rêvé.

Il faut dire que depuis les décolonisations, l’Afrique connaît une démographie galopante et des conflits, ethniques, religieux, tribaux ou économiques et, quoique certains la disent en pleine croissance, est en train de sombrer dans le désordre et le sous développement.

Il faut dire aussi que depuis la malheureuse opération à laquelle la France a largement participé pour abattre Kadhafi qui malgré tout tenait la Libye, ce pays a sombré dans le chaos, divisé en clans et en ethnies et que personne ne contrôle plus les frontières.

Les « migrants » s’ajoutent aux millions d’immigrés, qui ne veulent pas s’assimiler et adopter notre façon de vivre mais imposent de plus en plus des exigences, vestimentaires, religieuses, alimentaires, qui suscitent dans toute l’Europe un rejet de plus en plus marqué.

L’Europe bien pensante mais de mauvaise conscience qui n’accepte plus l’idée de la guerre, ou exige une guerre zéro mort, se sent coupable devant le naufrage de centaines d’immigrés, certes exploités par des criminels mais partis en mer en connaissance de cause, et n’ose pas prendre les mesures propres à arrêter cette invasion mortifère.

Elle fait appareiller ses bateaux non pour essayer d’endiguer l’invasion mais pour sauver les naufragés de la noyade et les conduire là où ils voulaient aller. Et quand ils sont en Europe, aucun pays ne veut les accueillir sachant bien qu’ils sont là pour rester, que ce ne sont pas des réfugiés provisoires appelés un jour à rentrer chez eux.

L’Italie avait organisé l’opération maritime « Mare nostrum » dont le but était le sauvetage en mer et qui n’a fait qu’accroître l’afflux d’immigrés venus de Libye vers Lampedusa, la Sicile et Malte.

L’organisation Frontex chargé de la défense des frontières de l’Europe a pris la suite avec l’opération « Triton » dont le rôle ambigu se partageait entre le sauvetage en mer et la police. L’Europe dans l’urgence vient certes de décider de multiplier ses moyens par trois, il sera déjà difficile de trouver les bateaux nécessaires, mais tant qu’on n’aura pas pris collectivement les décisions qui s’imposent et qu’on ne mènera pas les actions qu’il faut, cela reviendra à vider la mer avec un seau.

Menacée d’invasion l’Europe est en guerre.

Certes la solution à long terme passe par la stabilisation politique du Proche orient et de l’Afrique notamment de la Libye,  et par le développement économique de l’Afrique. Il y en a pour des décennies et il n’est pas possible d’attendre.

D’ici là il faut combattre les organisations criminelles qui s’enrichissent dans le trafic des migrants. De tels mouvements nécessitent des organisations complexes utilisant, agences de voyage, moyens de transport, réseaux bancaires, corruption de fonctionnaires. C’est un travail de renseignement et de police et éventuellement d’intervention, qu’il faut mener dans les pays de départ.

Il faut mettre en place une organisation permettant le tri des véritables réfugiés contraints par la menace de quitter leur pays, en particulier les chrétiens victimes de persécution, cette organisation pourrait être non nationale mais européenne et délivrerait des visas.

Patrouiller non aux frontières de l’Europe mais le long des côtes des pays de départ, éventuellement sans se préoccuper des règles internationales, il y a là un cas de force-majeure et d’agression. Les bateaux servant au transport seraient coulés et les passagers ramenés à leur point de départ. C’est ce qui a été fait par Atalante en Somalie, la destruction des bateaux des pirates s’est révélée très efficace.

Bien entendu il n’est pas question de s’affranchir des règles de sauvetage en mer, mais les naufragés recueillis seraient systématiquement ramenés à leur point de départ. Il est vrai que jusqu’à maintenant la Cour européenne des droits de l’homme interdit le principe du refoulement des clandestins. La situation ne permet plus une telle contrainte. Les djihadistes cherchent à déstabiliser l’Europe et très certainement y introduisent déjà des terroristes.

L’Europe informerait la communauté internationale des dispositions qu’elle prend et rechercherait avec les pays riverains des accords pour obtenir le contrôle efficace de leurs côtes. Nous sommes sous le coup d’une menace majeure il n’est pas justifié de s’en tenir aux règles de temps de paix.

Federica Mogherini  à la tête de la diplomatie européenne, devrait être motivée en tant qu’Italienne, pour rechercher un mandat de l’ONU pour intervenir si nécessaire en Libye, mais en cas de refus pour s’en passer.

L’Australie refoule systématiquement les migrants, après avoir créé des centres de détention à Manus (Papouasie-Nouvelle Guinée) et à Nauru ou proposant une installation au Cambodge avec lequel elle a des accords. Depuis 17 mois il n’y a plus eu aucun noyé.

Autre exemple, Mayotte, où une départementalisation irresponsable a porté les frontières de l’Europe, les migrants venant surtout d’Anjouan, la Comore voisine, sont systématiquement interceptés par les gendarmes et reconduits immédiatement à leur point de départ. Tous les ans on en expulse plus de 20 000, il s’en noie aussi beaucoup pendant la traversée et ce depuis vingt ans sans que cela préoccupe grand monde. C’est loin.

 

 

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