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10/07/2019

L'escroquerie du siècle

Et si l’activité humaine n’était pour rien ou pour pas grand chose dans le réchauffement climatique ? Cette hypothèse suffit à vous faire considérer comme un minus habens voire un fasciste, l’écologie étant, je ne sais pourquoi, revendiquée par la gauche, ce qui à mes yeux la rend immédiatement suspecte. Devant le battage médiatique – on ne parle plus que de ça et toutes les décisions sont prises à cette seule aune - les dizaines de savants qui émettent des doutes n’ont pas voix au chapitre et leurs avis sont systématiquement occultés. C’est la pierre de touche de tout et le Président nous explique que le Mercosur, même si il impose une concurrence insupportable à nos paysans, est un bon traité le Brésil s’engageant à respecter les accords de Paris. Remarquons à ce sujet que les promesses n’engagent que ceux qui les reçoivent et que personnellement je ne vois pas le Brésil renoncer à la déforestation et aux pesticides. Remarquons aussi que la France qui est le pays le plus vertueux en émission de CO2, est le seul grand pays à vouloir respecter les accords de Paris en imposant au peuple qui n’en veut pas, rappelons nous les gilets jaunes, un changement de mode vie et une décroissance de l’économie. Ce n’est pas comme cela qu’on élèvera le niveau de vie.

Si j’ai entrepris la rédaction de ce billet, c’est que je suis tombé sur un article consacré à Valentina Zharkova, une physicienne et mathématicienne ukrainienne spécialiste du soleil travaillant à l’université de Newcastle

Le GIEC considère négligeables les variations de l’irradiance du soleil, c’est à dire l’énergie rayonnée par le soleil. Or en reconstruisant un historique de l’irradiance , Valentina Zharkova remarque que depuis une période allant de 1645 à 1715 elle n’a cessé d’augmenter et que cette augmentation est corrélée à celle de la température moyenne du globe.

Elle nous prédit des étés plus chauds et des hivers plus froids dans l’hémisphère nord

et inversement dans l’hémisphère sud. Pour elle nous allons vers un grand minimum solaire de 2020 à 2055, avec une diminution globale des températures, par la suite les températures globales continueront d’augmenter jusqu’à 2600 de quelque 2,5 °K, avant de décroitre à nouveau.

La théorie de Valentina Zarkhova mériterait d’être sérieusement étudiée, ce qui ne sera pas fait car si elle a raison toutes les contraintes et interdits que l’on veut nous imposer seraient inutiles et ça irait à l’encontre de nombre d’intérêts.

Si cette dame a raison le réchauffement climatique d’origine humaine, serait l’escroquerie du siècle.

11/05/2019

Biodiversité

Il faut dire que, jusqu’à preuve du contraire, je ne crois pas que les activités humaines influent notablement sur le climat. Je ne vois pas d’ailleurs pourquoi le climat actuel serait le meilleur. Il n’est que de voir le plaisir des touristes à prendre des bains de soleil sur les plages au mois d’avril, ce qui n’est guère normal, pour se dire qu’un réchauffement climatique n’est pas forcément désagréable.

D’autant que les gelées de ces derniers jours au mois de mai me font relativiser le réchauffement climatique. Pour moi le GIEC est un groupe de pression constitué de menteurs comme Al Gore, de climatologues autoproclamés, de marchands d’éoliennes, et d’idiots utiles que sont nos écologistes.

Il n’empêche que les écologistes n’arrivant à mobiliser que 8% des électeurs, on voit fleurir dans toute la presse des articles catastrophiques sur la perte de biodiversité et la disparition d’un million d’espèces. Ce n’est plus le GIEC qui est à la manœuvre mais l’IBPES émanation de l’ONU, qui lui ressemble comme un frère

Selon l’IPBES, les trois quarts de la surface du globe, et 40 % du milieu marin, sont sévèrement altérés par les activités humaines (agriculture, activités minières, urbanisation …) , c’est la principale cause de l’effondrement de la biodiversité en attendant le réchauffement climatique. Il faudrait donc, d’urgence, sanctuariser certains territoires et mettre en place des aires protégées. Il faut aussi pratiquer l’agroécologie, laisser des terres en friche pour permettre aux insectes polinisateurs de butiner, Mais surtout il faut protéger les peuples autochtones : «gardiens de la nature pour le reste de la société ». Ces peuples qui représentent quelques centaines de milliers de personnes réparties sur tout le globe, de l’Arctique au Pacifique, s’occupent en effet d’un quart des terres de la planète. Et c’est là qu’on trouve la nature la mieux conservée.

Il convient donc de nous inspirer des Inuits du grand nord, des Indiens d’Amazonie et des Papous de nouvelle Guinée. De toute façon le coupable c’est l’homme blanc ce prédateur monopolisant les ressources de la planète. Nous retombons dans la repentance alors que la principale cause de tout ce dérèglement est la prolifération humaine en Afrique, en Inde et dans d’autres pays de l’Asie du sud-est.

Il faudrait quand même expliquer au peuple où ces bons apôtres voudraient le conduire : plus de voitures mais le vélo et les transports en commun, chauffage aux granulats de bois, plus de tourisme aérien ni de transports maritimes. On devra renoncer à la viande et manger des lentilles et des pois chiches issus d’une agriculture sans pesticide. Quand on voit la réaction à la taxe carbone on peut se dire que ce n’est pas gagné. D’autant que la France est un des pays les moins producteurs de « gaz à effet de serre », qu‘on a déjà entrepris une réforme des productions agricoles et que les surfaces boisées s’accroissent.

Dans l’indifférence ou plutôt l’ignorance générale le ministre de la transition écologique et solidaire vient de présenter au gouvernement un projet de loi prévoyant la « neutralité carbone » en divisant les émissions de gaz à effet de serre par un facteur supérieur à six entre 1990 et 2050, quant aux énergies fossiles leur part dans la consommation nationale devra diminuer de 40 % d’ici à 2030, et non plus de 30 % comme le prévoyait la loi de transition énergétique.

Toutes les conséquences de ces décisions devraient être clairement expliquées aux Français, elles correspondent à un changement de mode de vie et à une décroissance qu’ils ne sont pas prêts d’accepter. Le faible vote écologique montre que l’écologie n’est pas la préoccupation première des Français.

Pour terminer ces réflexions sur la biodiversité, signalons que l’ourse slovène Claverina lâchée cet automne dans les Pyrénées s’est attaquée à un troupeau de brebis à la colère des bergers. Les éleveurs envisagent de quitter le métier. En France les dégâts causés par les loups et les ours ont eu un coût de 50 millions d’euros. Le bilan de la réintroduction de l’ours est lourd : plus de 20 ruches détruites en 1918 et quelque 500 bêtes domestiques tuées.

Je crains que ce soit mal parti pour la biodiversité et aussi pour la neutralité carbone.

 

17/12/2017

Sauver la planète

« Alors que les Ottomans étaient aux portes de Constantinople, le concile y discutait du sexe  des Anges »

De même Emmanuel Macron a cru bon de convoquer les puissants et les riches de ce monde à une conférence destinée à « sauver la planète ».

Il est plus facile de se consacrer à la lutte contre les « gaz à effet de serre » (GES) qui sont une menace certainement fantasmée, que de chercher à limiter les conséquences d’une menace certaine qui risque d’entrainer le fin de l’occident chrétien.

La croissance démographique de l’Afrique est de l’ordre de 5% par an alors que la croissance économique n’atteint qu’ 1,5%. Le PIB par habitant est donc en décroissance. Un jeune Terrien sur trois âgé de 15 à 29 ans vivra en Afrique en 2050. L’Afrique qui compte aujourd’hui 1,3 milliard d’habitants en totalisera près de 4,5 milliards en 2100 soit 40% de l’humanité. Cet accroissement n’est pas probable mais quasi-certain, sauf catastrophe ou guerre meurtrière, étant donnée l’inertie des évolutions démographiques.

Comme l’Afrique sera incapable d’offrir du travail et même de nourrir une telle population, le déferlement vers l’Europe, qui a déjà commencé, ne peut que s’amplifier, entrainant terrorisme, mutation culturelle, appauvrissement, troubles en tous genres et vraisemblablement guerre civile si toutefois les européens en plein suicide démographique ont encore le courage de réagir plutôt que de se soumettre.

Il est quand même intéressant de connaître les mesures concoctées à la conférence « One planet summit » si on en croit un article du Monde intitulé « Des solutions pour enrayer la surchauffe. »

Il faudra « un changement radical des modes de vie et de consommation, ces solutions sont aussi porteuses d'un mieux-vivre collectif ». Cela promet, voilà maintenant quelques mesures proposées : «  laisser enfouies dans le sous-sol les ressources fossiles, qui sont les fossoyeurs du climat ». Remarquons que le problème n’est pas la production mais la consommation et qu’en refusant de produire du pétrole nous nous obligeons à l’acheter ce qui accroit d’autant notre déficit commercial. Il est vrai que l’association négaWatt a bâti un scénario conduisant à un mix 100 % renouvelable en France en  2050 !

« Arrêter la déforestation » La déforestation est liée à la croissance démographique et existe en particulier en Afrique : en France la surface des forêts est en croissance.

« Manger moins de protéines animales » Nous allons venir au temps des restrictions et des tickets : la production mondiale de viande devrait augmenter de 75  % d'ici à 2050 pour satisfaire 10  milliards d'êtres humains. « …les Français ne mangeraient plus que 94  grammes de viande par jour et par adulte au milieu du siècle contre 185  g aujourd'hui. En contrepartie, la ration de légumineuses (lentilles, pois chiches, etc.) augmenterait de 15 g à 41 g » Quelle naïveté de croire que si nous mangeons moins de viande cela profitera aux populations d’autres continents.

Bien entendu on s’en prend à l’auto : « le recours au vélo et au covoiturage permettrait de faire baisser les émissions de CO2 dans les zones périurbaines françaises de 21  % à 60  % ».

Ce n’est qu’un simple échantillon de ce qu’on nous réserve « pour sauver la planète », remarquons que le recours à l’énergie nucléaire qui est la solution de nos problèmes énergétiques, n’a même pas été évoquée, par contre on veut faire passer le nombre des éoliennes en France, actuellement de 4000, à 10500 en 2023.

On peut penser que lorsque l’Afrique et l’Islam nous auront conquis, ce sera la fin du consumérisme, le retour au « labourage et pastourage » et que le problème des GES sera résolu.

 

 

 

 

 

06/07/2017

Les errances de Monsieur Hulot.

Quand j’entends parler de Monsieur Hulot, je ne peux pas m’empêcher de penser à Jacques Tati à la différence près que « Mon Oncle » était un doux rêveur mal à l’aise dans son temps alors que Nicolas Hulot est un Khmer vert prêt à imposer aux Français un changement de mode de vie dont ils ne veulent pas.

La France a cinq millions de chômeurs, une dette colossale, un budget toujours déficitaire et une balance des payements à la peine.

Les Etats Unis dont l’économie se porte beaucoup mieux que la nôtre n’importe plus de produits pétroliers couvrant leurs besoins avec le gaz et le pétrole de schiste. On vient de s’interdire de rechercher et d’exploiter nos ressources en gaz de schiste et Monsieur Hulot a déclaré qu’il n’accorderait plus aucun nouveau permis d’exploration d’hydrocarbures sur le territoire français. Va-t-il interdire les prospections dans notre Zone exclusive du canal de Mozambique qui contiendrait des réserves importantes ? Mr Hulot préfère enrichir le Qatar qui rachète nos équipes de foot, nos hôtels et beaucoup d’autres choses. Si on veut relancer l’économie et en particulier l’industrie il faut disposer de l’énergie la moins chère possible et donc miser sur le nucléaire et les centrales au gaz plutôt que sur les éoliennes autrement polluantes et les panneaux solaires importés de Chine. M Hulot lui souhaite en finir avec les énergies fossiles mais aussi fermer plusieurs centrales nucléaires.

La France produit à peu près un pour cent de la production mondiale de « gaz à effet de serre » très loin derrière les Etats Unis qui ont dénoncé l’accord de Paris, la Chine et l’Inde dont la principale source d’énergie est le charbon et encore pour très longtemps. Dans ces conditions toutes les mesures que l’on pourra prendre ont un impact dérisoire sur la supposé « réchauffement climatique » mais compromettent définitivement notre compétitivité.

Mr Hulot va au delà de nos engagements en voulant atteindre la « neutralité carbone » en 2050, c'est-à-dire que le niveau des émissions de gaz à effet de serre ne soit pas plus élevé que celui des gaz capturés.

C’est évidemment utopique, une rêverie d’écolo à moins de ramener l’économie française à l’âge de pierre. Mais ce qui ne l’est pas ce sont les mesures de contrainte qu’en bon Khmer vert Monsieur Hulot veut infliger aux Français : la vente de voitures diesel et à essence sera interdite d’ici 2040… d’ici là on va donner une prime aux propriétaires de voitures diesel ou essence anciennes pour leur remplacement par des véhicules plus propres, encore une dépense.

On va aussi investir quatre milliards d’euros pour isoler les logements « passoires thermiques » Qui va payer ? Comme d’habitude l’impôt : la montée en puissance de la fiscalité carbone sera accélérée, passant de 30,5€ la tonne de CO2 actuellement à 140€ en 2030, ce qui fera augmenter le prix de l’essence, du gazole, du gaz naturel et du fioul.

De 2012 à 2015 d’après les calculs d’une députée socialiste, les Français ont déjà supporté une hausse de 6,7 milliards d’euros de fiscalité écologique. On veut aussi s’appuyer sur un plan d’investissement de 50 milliards d’euros, pour des mesures pas rentables, ce sera un endettement supplémentaire.

Notons que Me Hidalgo suit le même chemin voulant rendre Paris « neutre en carbone » ce qui semble peu compatible avec le développement du « grand Paris » mais promet des lendemains qui chantent aux parisiens et banlieusards.

Nommer un présentateur TV qui d’ailleurs, autant qu’il m’en souvienne, utilisait un gros porteur ukrainien pour ses déplacements, ministre de la transition énergétique, c’est nommer Nagui ministre de la culture. Vivement qu’on le mette au frigidaire avec Me Royal nommée ambassadrice pour les pôles.

 

http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com

 

22/03/2017

La terre Adélie.

Il y avait, il y a quelques jours à la télé un reportage sur la terre Adélie à l’occasion du dernier voyage de l’Astrolabe, le petit brise-glace qui la ravitaille depuis 1988.

Dans ce très intéressant reportage on constatait que l’Astrolabe était bloqué par le pack glaciaire à environ 70km de la base Dumont d’Urville où la France maintient en permanence des scientifiques.

Pour acheminer le personnel de relève, les vivres et le matériel nécessaires, il a fallu utiliser l’hélicoptère embarqué.

La terre Adélie a été découverte en 1840 par le capitaine de frégate Dumont d’Urville qui donna à cette terre le prénom de sa femme quand il en prit possession pour la France au nom du roi Louis Philippe.

Dumont d’Urville commandait alors une frégate à voiles qui s’appelait aussi l’Astrolabe en souvenir du bateau de Lapérouse qui fit naufrage à Vanikoro après avoir exploré le Pacifique.

A l’époque l’Astrolabe avait pu atteindre le continent Antarctique malgré la banquise et les icebergs, ce n’est plus possible maintenant.

Il serait intéressant d’expliquer pourquoi malgré le « réchauffement de la planète », la banquise antarctique s’est accrue de plusieurs dizaine de kilomètres

En fait l’Antarctique se refroidit, ce qui contredit la doxa officielle et montrerait que s’il y a bien évolution du climat comme il y en a toujours eu, ce n’est du à l’activité anthropique que très marginalement et qu’il faut chercher les causes ailleurs, activité solaire et instabilité à très grande constante de temps de la circulation océanique, mais ça on ne vous le dira pas.

 

http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com

 

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