06/03/2018
La guerre des sexes
Avec l’héritage de Johnny Hallyday, c’est devenu une préoccupation majeure au moins si on lit Le Monde. On n’y parle plus que des inégalités et des violences faites aux femmes, la population est maintenant divisée en deux collectivités inconciliables, les hommes et les femmes qui doivent se développer indépendamment et égalitairement.
Dans le numéro du 4 mars, quatre pleines pages étaient consacrées à ce problème majeur.
On y rencontrait en particulier quatre femmes de trois générations différentes, apparemment il n’y avait pas d’hommes, qui avaient passé leur vie à se faire peloter, violer, draguer par un ecclésiastique, traiter de « putes ». L’une avait retenu de son éducation qu’elle devait « se marier, fonder un foyer, s’occuper des enfants, être belle, éduquée et dévouée à son époux », triste destinée il est vrai.
Le deuxième article « Les femmes, moteurs de la croissance » veut nous convaincre que « Les pays où les femmes ne travaillent pas perdent des points de PIB » comme si le PIB était le seul critère du bonheur.
Mais l’article le plus intéressant est celui, deux pages, consacré au modèle suédois pour ce qui est de l’égalité entre les sexes. « Les femmes estiment qu'une autre société est possible, et elles ne veulent plus attendre. »
Bien entendu le gouvernement est strictement égalitaire et « la ministre des affaires étrangères, Margot Wallström, a annoncé vouloir mener une "diplomatie féministe ". Au programme : défense des droits des femmes et de leur rôle dans la résolution des conflits et les processus de paix ». On doit aussi " s'assurer que la répartition de l'argent public contribue à renforcer l'égalité entre les sexes, et non à creuser les inégalités existantes ".Mais le modèle de société souhaité finit par apparaître : « Or, quand on a un revenu propre, il est possible de divorcer. C'est aussi la meilleure façon de lutter contre les violences conjugales. » et « Nous n'avons pas la même sacro-sainte idée de la famille qu'ailleurs en Europe, mais une conception très individualiste : les enfants ne doivent pas être dépendants de leurs parents et vice versa. Cela a contribué, je pense, à ce que la politique de l'égalité hommes-femmes avance plus vite »
Fin de la famille unie, solidaire voilà ce à quoi la Suède rêve d’arriver. Quant à l’école, on se livre franchement au lavage de cerveau : « une fille peut toujours être une fille et un garçon un garçon. Mais l'enfant peut aussi se différencier des diktats des stéréotypes sexistes » et « A Nicolaigarden, on ne dit plus " les filles " ou " les garçons ", mais " les copains ". Les enseignants utilisent le pronom neutre hen, officiellement adopté en 2014, et rapidement entré dans les mœurs. »
Malheureusement il reste une frange de la population, notamment dans les familles musulmanes traditionalistes qui ne veut pas s’aligner « 240 000 enfants en Suède seraient exposés à cette culture de l'honneur ».
Voilà comment meurt une civilisation.
17:19 Publié dans actualites, Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : féminisme, femmes, parité, suédois
21/10/2017
Réflexions d'un macho assumé.
L’affaire Weinstein, la belle histoire de faux-culs ou plutôt de fausses-fesses puisqu’il faut respecter le genre. A qui fera-t-on croire que dans le milieu du cinéma, pas tellement fréquenté par les oies blanches et les enfants de Marie, les penchants de Weinstein n’étaient pas connus. De toute façon les rapports entre sexes, c’est une éternelle histoire d’offre et de demande où, sauf quelques cas extrêmes, c’est la femme qui choisit. Ces dames n’avaient qu’à partir dignement en prenant une mine offusquée. Celles qui ont préféré assurer leur carrière n’ont qu’à s’en prendre à elles mêmes.
Aux Etats Unis on conseille aux hommes de ne pas monter seul avec une femme dans un ascenseur, on commence à en être là en France. On veut pénaliser le harcèlement sexuel, tout le monde sait que ceux qui sont visés sont surtout les habitants allogènes des « quartiers » pour qui la femme est un être inférieur, ne méritant aucun respect, mais ceux là ne seront jamais inquiétés.
Ce seront les pauvres Gaulois qui une fois de plus vont trinquer pour une remarque admirative, un sifflement voire une remarque ou une suggestion. Les comportements déplacés sont déjà passibles de peines importantes, il paraît que mettre une main aux fesses est passible de cinq ans de prison ! Ce me semble excessif mais comme la justice est monopolisée par les femmes, 80% à l’école de la magistrature au mépris de la parité, il faut s’attendre au pire. Pourtant les femmes par la préoccupation constante de leur silhouette et de leur aspect, par le soin de « réparer des ans l’irréparable outrage » cherchent bien à séduire.
Les femmes veulent vivre comme des hommes, qu’elles en acceptent les conséquences et se rendent compte que leur immixtion dans un milieu typiquement masculin amène des perturbations. Des policières, des pompières, ou des marinières perturbent un équilibre séculaire, qu’elles le reconnaissent. D’autant qu’une policière ne rendra jamais les mêmes services qu’un homme sur la voie publique.
Elles veulent pouvoir disposer librement de leur corps, si elles ne se respectent pas, pourquoi les hommes les respecteraient-ils ?
J’ai découvert qu’il y avait une secrétaire d’état à l’égalité entre les femmes et les hommes, qui est actuellement une féministe militante, c’est un non-sens, c’est mettre un général putschiste, ministre des armées.
On dit que le général De Gaulle à qui on avait suggéré de créer un ministère de la Condition féminine aurait répondu « et pourquoi pas un secrétariat au tricot ? » Il est vrai que tante Yvonne savait s’en tenir à son rôle de maitresse de maison à l’Elysée et ne se prétendait pas « première dame ».
Valéry a écrit : « il y a trois sortes de femmes, les emmerdantes, les emmerdeuses et les emmerderesses ». Je pense ce jugement très excessif, il y a des femmes admirables, adorables, délicieuses et le monde serait bien triste sans elles (s’il existait). Je reconnais qu’élevé à faire le baise-main, à céder ma place aux femmes et à m’effacer pour les laisser passer, à leur envoyer des fleurs et à payer au restaurant, j’ai quelque mal à m’habituer au féminisme et à ses revendications perpétuelles, à ce dolorisme constant qui prétend la condition féminine bien misérable.
Je pense que certaines de ces dames féministes finissent par appartenir en même temps aux trois catégories de Valéry.
Quand les femmes prétendent qu’elles sont moins payées que les hommes le débat est biaisé, il ne faut pas comparer des moyennes, mais la rétribution au même poste et dans les mêmes conditions. Beaucoup de femmes font le choix de s’occuper de leurs enfants et travaillent à temps partiel, ou interrompent leur carrière pour des congés parentaux, c’est très bien mais cela a des conséquences sur leur carrière. J’ai appris que l’actuelle secrétaire d’état à l’égalité ne travaillait pas le mercredi pour s’occuper de ses deux filles. Les hommes et les femmes sont égaux mais dissemblables, n’ont pas les mêmes appétences ni les mêmes capacités physiques. Il ne faut pas aller contre la nature des choses : les femmes se sentent plus concernées par leurs enfants que les hommes pourquoi le nier, ce n’est pas un stéréotype. D’ailleurs qui réclame la PMA sinon les lesbiennes ou les femmes seules en mal d’enfant. Il y a paraît-il, des femmes qui font congeler leurs ovocytes pour pouvoir faire des enfants quand elles auront le temps. Certaines femmes veulent des enfants, non pour eux, mais pour leur hygiène mentale.
Pour en revenir à la PMA, ce qui me choque le plus c’est le donneur qui transmet à n’importe qui son hérédité, sa lignée, son identité et qui ne s’en préoccupe pas plus qu’un taureau charolais.
En fait les féministes ne veulent pas l’égalité, que personne ne leur conteste, mais vivre comme un homme, avoir la même carrière professionnelle, la même carrière politique. A ce sujet la parité est une absurdité antidémocratique : on choisit un ministre pour ses compétences non en fonction de son sexe et l’élection d’un petit ménage aux élections départementales est proprement ridicule.
Les dames députées, s’habillent comme des hommes en pantalon ou en tailleur noir, se confondant ainsi à la masse masculine. Si elles osent la couleur c’est en uni, si bien que le jour où l’une d’elle se présente vêtue d’une robe à fleurs, elle recueille les lazzis de l’assemblée.
Mais ce qui est le plus insupportable c’est l’ambition de réformer la langue française pour supprimer la prédominance du masculin. Déjà la manie qui s’étend au chef de l’Etat de dire « celles et ceux » ou « les Françaises et les Français » au lieu de la simple forme, « ceux » ou « les Français », rend le discours agaçant mais l’invention stupide de l’écriture inclusive bardée de points séparant les terminaisons de chaque genre est en train de s’étendre. Il y a même, paraît il, un manuel scolaire pour l’enseigner. Pauvres enfants qui déjà ignorent l’orthographe et la grammaire…
En fait les femmes sont jalouses des hommes au point de faire interdire les urinoirs jugés sexistes. Le rêve des féministes est de pouvoir pisser debout contre un arbre, ce qui est, il faut le reconnaître, fort agréable.
Il serait temps que les hommes réagissent plutôt que d’accepter l’invasion de leur espace, et autrement qu’en se laissant, comme maintenant, pousser la barbe.
http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com
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05/03/2015
Mesdames les juges
La justice est colonisée par les femmes, comme l’enseignement. Alors qu’on exige partout la parité, il y a maintenant 80% de femmes à l’Ecole de la Magistrature. Bien entendu cela n’est pas indifférent pour la justice rendue pour certains délits, mais en plus si j’en crois une article du Monde du 4 mars, des juges se plaignent du comportement sexiste de leur supérieur masculin. Surtout les femmes enceintes ou avec des enfants en bas âge,
« Ainsi, tel président de juridiction fait preuve « d’un manque de tact qui frise souvent la grossièreté, témoigne un magistrat. Il a pu interpeller une collègue venant lui annoncer sa seconde grossesse en lui indiquant qu’il existait des moyens de contraception, ou une autre, en lui signalant à chaque rencontre qu’elle avait grossi ». Une vice-procureure a encore en travers de la gorge le dernier discours de rentrée « qui a directement mis en cause les magistrates, lesquelles, par leurs grossesses, sont à l’origine de dysfonctionnements graves », avec toute l’année, « un manque constant de considération et des humiliations publiques en termes choisis pour les femmes », traitées « d’hystériques » ou de « caractérielles »
Charmante ambiance qui laisse craindre une justice peu sereine.
Il n’empêche que l’absentéisme féminin chez une population jeune doit effectivement poser des problèmes comme d’ailleurs dans l’enseignement
Il conviendrait peut être de rééquilibrer les sexes chez les magistrats en appliquant une politique de quota à l’entrée de l’Ecole de la magistrature.
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29/10/2014
Couille molle.
Je suis d’une génération où on baisait la main des dames et où on leur cédait sa place dans le métro quel que soit leur âge. On leur offrait des roses et jamais je n’aurais accepté qu’elles payent leur écot au restaurant.
C’est dire que je ne me sens pas à ma place dans le monde actuel où le féminisme triomphe sans entrainer la moindre réaction de mes congénères masculins.
Il paraît qu’une femme est un homme comme les autres et que toute différence entre les sexes provient de « stéréotypes » contre lesquels il convient de lutter.
Si bien que l’Education nationale a pris en main nos chères « têtes blondes » pour leur apprendre le « vivre ensemble », la vilenie de l’homophobie, voire les différentes façons de copuler. Personnellement j’ai été instruit dans un cadre strictement masculin, à une époque où il y avait des « écoles de filles » et des « écoles de garçons », ce qui présentait l’avantage de se consacrer à ses études sans autres idées déstabilisatrices. Moyennant quoi, je sais lire et écrire sans plus de fautes d’orthographe que raisonnable, et même calculer mentalement.
Ceci pour dire que pour moi le féminisme est une de ces lubies basées sur une idée fausse comme malheureusement il y en a beaucoup de nos jours, non que je considère les femmes comme inférieures mais comme différentes et dignes d’égards et de prévenances qui n’ont plus cours, ce qui me paraît regrettable.
Aussi quand on me prétend que toutes les professions doivent être également accessibles aux deux sexes, j’affirme qu’un policier femelle ne rendra jamais les mêmes services qu’un policier mâle, que la place des femmes n’est pas sur les champs de bataille sauf pour soigner et ainsi de suite.
Je voyais l’autre jour une classe de préparation à un bac professionnel genre « aide à la personne » et je constatais qu’il n’y avait que des demoiselles. Cela ne m’a pas étonné ; je fais appel à une association qui procure des employées de maison, on ne m’a jamais proposé que des femmes et je ne connais pas grand monde qui fasse appel à une nounou mâle.
On me dira qu’il s’agit aussi de stéréotypes qu’il faut déconstruire et de même devrais je m’insurger à ma boulangerie où il n’y a que des hommes à la fabrication et des femmes à la vente. Personnellement je pense que c’est très bien comme ça et que chacun a ses appétences et ses compétences, et qu’il n’est nullement nécessaire d’établir la parité.
Il conviendrait par contre de lutter contre l’appropriation de certaines professions par l’un ou l’autre sexe quand ce n’est pas sans conséquence. Par exemple, que tous les enseignants du primaire soient des femmes prive les enfants d’une présence masculine nécessaire à l’équilibre de leur éducation, de même il n’est pas neutre que la justice soit maintenant colonisée par les femmes ce qui n’assure pas une justice impartiale et équitable pour certains délits.
Pour en revenir à l’éducation des enfants j’estime qu’une mère est bien plus apte à s’occuper de jeunes enfants que le père, qu’elles en ont besoin et y éprouvent du plaisir et que l’égal partage entre les parents est un non sens et une idée de socialiste. Du reste tout le monde sait que l’égal partage du congé parental entre les parents revient à diviser par deux le congé de la mère.
Le but de tout ça est de pousser les femmes vers le monde du travail alors que souvent elles préfèreraient s’occuper de leurs enfants ce qui, dans notre monde de chômage permanent, rendrait service à la société mais ferait de la peine aux sectaires qui nous gouvernent.
Maintenant, les femmes « sans profession » se sentent déconsidérées ; il est vrai que tout est fait pour déstabiliser les familles, créer des familles monoparentales, recomposées,voire homoparentales ce qui prive les mères de famille de toute garantie et les enfants de tout repère.
Mais pour en revenir à ce qui a motivé cet article, j’ai constaté récemment que les conducteurs les plus agressifs, ne supportant pas la moindre entrave à la progression de leur véhicule sont maintenant des femmes, jeunes, modèle « femme active » qui semblent considérer qu’une seconde perdue nuirait à la marche du monde. Elles n’hésitent à faire des gestes dont elles ne connaissent pas, j’espère sans en être sur, la signification, qui doivent être accompagnés, heureusement derrière leurs vitres, d’injures que je pense déplacées dans la bouche d’une femme. Elles semblent se venger du temps où on les renvoyait à leur vaisselle.
Il est vrai qu’à une époque où des entreprises proposent à leurs employées de mettre leurs ovocytes au congélateur, pour qu’elles ne perdent pas de temps à faire des enfants, on peut s’attendre à tout, même qu’à ce que ces dames en chargent d’autres de porter leurs enfants et de les mettre au monde pour ne pas être gênées pendant 9 mois.
Pour finir comment peut on admettre les déclarations ordurières de beaucoup de femmes politiques – je n’ose dire de femmes publiques - comme Martine Aubry qui estime que « Hollande est un incapable et une couille molle ». A la rigueur on pourrait comprendre ce jugement de la part de Ségolène Royale qui fut à même de juger sur pièces, mais venant de « la maire de Lille » je trouve ça choquant.
16:17 Publié dans actualites, Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : baise main, féminisme, stéréotypes, education nationale, parité, ovocyte, martine aubry
02/04/2014
Gouvernement de combat.
On nous avait promis un gouvernement de combat, une équipe réduite et on nous sert une équipe où on a cherché à maintenir les équilibres, les appartenances, les origines. Comment voulez vous que ça marche ?
Là où il aurait fallu une équipe soudée, obéissant à un chef, d’accord sur le but et la démarche, ayant les compétences nécessaires - un petit « goum » comme disait Bigeard - on trouve une bande certes réduite en effectif, mais où on prend en gros les mêmes, où on respecte, les sensibilités politiques, la parité – problème subsidiaire oh combien - où le francs-maçons sont majoritaires, et où les considérations de couleur de peau n’ont pas été oubliées. A qui fera-t-on croire que Valls a choisi de garder Taubira à la justice ?
Tout ça ne peut pas marcher longtemps, il aurait fallu faire appel à la société civile, choisir des ministres sans ambition personnelle et décidés à casser la baraque et à construire sur des bases assainies.
Qui dans cette équipe, saura démembrer le mammouth de l’Education nationale et en faire un organisme décentralisé où les syndicats ne s’occuperont que de la défense du personnel, qui aura le courage de s’en prendre au mille-feuilles administratif, de réduire drastiquement le nombre des fonctionnaires, d’en finir avec les statuts de la SNCF et de l’EDF, de stopper l’immigration invasive, de revoir les avantages sociaux, de supprimer les abus et les fraudes ?
Il faudrait aussi supprimer tous les organismes qui ne servent à rien comme le Conseil économique et social, diminuer le nombre de députés et de sénateurs et les avantages dont ils jouissent.
Le vrai problème c’est le chômage, tout doit être fait pour aider les entreprises, réduire les charges, avoir une énergie la moins chère possible qu’elle vienne du nucléaire ou du gaz de schiste. Si on se préoccupe de pollution ou de réchauffement climatique ou de montée du niveau des océans, alors que la France ne produit que 1% des gaz à effet de serre, on se met en position d’infériorité par rapport à la Chine. De même la politique étrangère ne doit pas être guidée par de bons sentiments, rapprochons nous de la Russie qui offre de nombreux débouchés et nous fournit en produits pétroliers, ne nous occupons pas de l’Ukraine et de la Syrie.
Hélas, devant l’échec, je ne donne pas six mois avant une dissolution.
17:21 Publié dans actualites, Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : gouvernement, parité, ministres, mammouth, nucléaire, gaz de schiste, chine, russie