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21/10/2017

Réflexions d'un macho assumé.

L’affaire Weinstein, la belle histoire de faux-culs ou plutôt de fausses-fesses puisqu’il faut respecter le genre. A qui fera-t-on croire que dans le milieu du cinéma, pas tellement fréquenté par les oies blanches et les enfants de Marie, les penchants de Weinstein n’étaient pas connus. De toute façon les rapports entre sexes, c’est une éternelle histoire d’offre et de demande où, sauf quelques cas extrêmes, c’est la femme qui choisit. Ces dames n’avaient qu’à partir dignement en prenant une mine offusquée. Celles qui ont préféré assurer leur carrière n’ont qu’à s’en prendre à elles mêmes.

Aux Etats Unis on conseille aux hommes de ne pas monter seul avec une femme dans un ascenseur, on commence à en être là en France. On veut pénaliser le harcèlement sexuel, tout le monde sait que ceux qui sont visés sont surtout les habitants allogènes des « quartiers » pour qui la femme est un être inférieur, ne méritant aucun respect, mais ceux là ne seront jamais inquiétés.

Ce seront les pauvres Gaulois qui une fois de plus vont trinquer pour une remarque admirative, un sifflement voire une remarque ou une suggestion. Les comportements déplacés sont déjà passibles de peines importantes, il paraît que mettre une main aux fesses est passible de cinq ans de prison ! Ce me semble excessif mais comme la justice est monopolisée par les femmes, 80% à l’école de la magistrature au mépris de la parité, il faut s’attendre au pire. Pourtant les femmes par la préoccupation constante de leur silhouette et de leur aspect, par le soin de « réparer des ans l’irréparable outrage » cherchent bien à séduire.

Les femmes veulent vivre comme des hommes, qu’elles en acceptent les conséquences et se rendent compte que leur immixtion dans un milieu typiquement masculin amène des perturbations. Des policières, des pompières, ou des marinières perturbent un équilibre séculaire, qu’elles le reconnaissent. D’autant qu’une policière ne rendra jamais les mêmes services qu’un homme sur la voie publique.

Elles veulent pouvoir disposer librement de leur corps, si elles ne se respectent pas, pourquoi les hommes les respecteraient-ils ?

J’ai découvert qu’il y avait une secrétaire d’état à l’égalité entre les femmes et les hommes, qui est actuellement une féministe militante, c’est un non-sens, c’est mettre un général putschiste, ministre des armées.

On dit que le général De Gaulle à qui on avait suggéré de créer un ministère de la Condition féminine aurait répondu « et pourquoi pas un secrétariat au tricot ? » Il est vrai que tante Yvonne savait s’en tenir à son rôle de maitresse de maison à l’Elysée et ne se prétendait pas « première dame ».

Valéry a écrit : « il y a trois sortes de femmes, les emmerdantes, les emmerdeuses et les emmerderesses ». Je pense ce jugement très excessif, il y a des femmes admirables, adorables, délicieuses et le monde serait bien triste sans elles (s’il existait). Je reconnais qu’élevé à faire le baise-main, à céder ma place aux femmes et à m’effacer pour les laisser passer, à leur envoyer des fleurs et à payer au restaurant, j’ai quelque mal à m’habituer au féminisme et à ses revendications perpétuelles, à ce dolorisme constant qui prétend la condition féminine bien misérable.

Je pense que certaines de ces dames féministes finissent par appartenir en même temps aux trois catégories de Valéry.

Quand les femmes prétendent qu’elles sont moins payées que les hommes le débat est biaisé, il ne faut pas comparer des moyennes, mais la rétribution au même poste et dans les mêmes conditions. Beaucoup de femmes font le choix de s’occuper de leurs enfants et travaillent à temps partiel, ou interrompent leur carrière pour des congés parentaux, c’est très bien mais cela a des conséquences sur leur carrière. J’ai appris que l’actuelle secrétaire d’état à l’égalité ne travaillait pas le mercredi pour s’occuper de ses deux filles. Les hommes et les femmes sont égaux mais dissemblables, n’ont pas les mêmes appétences ni les mêmes capacités physiques. Il ne faut pas aller contre la nature des choses : les femmes se sentent plus concernées par leurs enfants que les hommes pourquoi le nier, ce n’est pas un stéréotype. D’ailleurs qui réclame la PMA sinon les lesbiennes ou les femmes seules en mal d’enfant. Il y a paraît-il, des femmes qui font congeler leurs ovocytes pour pouvoir faire des enfants quand elles auront le temps. Certaines femmes veulent des enfants, non pour eux, mais pour leur hygiène mentale.

Pour en revenir à la PMA, ce qui me choque le plus c’est le donneur qui transmet à n’importe qui son hérédité, sa lignée, son identité et qui ne s’en préoccupe pas plus qu’un taureau charolais.

En fait les féministes ne veulent pas l’égalité, que personne ne leur conteste, mais vivre comme un homme, avoir la même carrière professionnelle, la même carrière politique. A ce sujet la parité est une absurdité antidémocratique : on choisit un ministre pour ses compétences non en fonction de son sexe et l’élection d’un petit ménage aux élections départementales est proprement ridicule.

Les dames députées, s’habillent comme des hommes en pantalon ou en tailleur noir, se confondant ainsi à la masse masculine. Si elles osent la couleur c’est en uni, si bien que le jour où l’une d’elle se présente vêtue d’une robe à fleurs, elle recueille les lazzis de l’assemblée.

Mais ce qui est le plus insupportable c’est l’ambition de réformer la langue française pour supprimer la prédominance du masculin. Déjà la manie qui s’étend au chef de l’Etat de dire « celles et ceux » ou « les Françaises et les Français » au lieu de la simple forme, « ceux » ou « les Français », rend le discours agaçant mais l’invention stupide de l’écriture inclusive bardée de points séparant les terminaisons de chaque genre est en train de s’étendre. Il y a même, paraît il, un manuel scolaire pour l’enseigner. Pauvres enfants qui déjà ignorent l’orthographe et la grammaire…

En fait les femmes sont jalouses des hommes au point de faire interdire les urinoirs jugés sexistes. Le rêve des féministes est de pouvoir pisser debout contre un arbre, ce qui est, il faut le reconnaître, fort agréable.

Il serait temps que les hommes réagissent plutôt que d’accepter l’invasion de leur espace, et autrement qu’en se laissant, comme maintenant, pousser la barbe.

 

http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com

 

03/12/2013

Plaidoyer pour les "maisons"

Vouloir faire disparaître la prostitution voilà bien une idée farfelue née dans l’esprit d’une bande de féministes aveugles à la réalité. « Le plus vieux métier du monde » ne va pas disparaître parce qu’on va rançonner quelques consommateurs malchanceux ; du trottoir il va aller sur internet et les réseaux sociaux et de là dans la clandestinité et l’esclavage.

Je veux prêcher pour la réouverture des « maisons » que Marthe Richard a fait fermer inconsidérément en 1946. Marthe Richard fut prostituée à quinze ans, exerça dans un établissement de la rue Godot de Mauroy où elle fit un riche mariage. Elle vivait dans un hôtel particulier à l’Odéon, elle se passionna pour l ‘aviation avant de se retrouver veuve de guerre en 1916.

Par la suite, agent double, elle fréquenta Mata Hari et eut dans l’espionnage une activité surtout née de son imagination, mais qu’elle saura faire fructifier en écrivant ses mémoires. Elle récidivera pendant la seconde guerre, mais s‘étant engagée tardivement dans les FFI en 1944, elle se forgea à bon compte une réputation de grande résistante.

Elle sera à l’origine de la fermeture des maisons closes parisiennes puis nationales, en s’en prenant à la société responsable de la « débauche organisée et patentée », les choses n’ont guère changé. On fermera 1400 établissements, comme le Chabanais, le Sphinx et le One-two-two. La prostitution bien sur ne disparut pas mais gagna les trottoirs.

Du reste ce service public se maintint par tolérance - c’est le cas de le dire – dans les ports, on fréquentait encore dans les années 60 le Sully et le Vert-galant à Toulon maisons accueillantes où régnait une chaude ambiance un peu rétro et où on n’était nullement obligé de « consommer ».

Les vieux coloniaux se souviendront aussi de maisons à Dakar, Douala, Fedala…  A Saïgon, pendant la guerre d’Indochine, le célèbre « parc aux buffles » accueillait surtout les légionnaires et les troupes coloniales mais il existait nombre d’établissements plus huppés.

Il y avait aussi sur la rivière de Saïgon, à la base des forces amphibies nommée la FAIS, un bordel flottant qui un jour de grande marée s’échoua et donna une bande prononcée.

Tout ça pour dire que depuis les lupanars de Pompéï, les choses n’ont pas beaucoup changé et qu’il faudrait prendre conscience de la réalité des choses et chercher à s’en accommoder au mieux.

Rétablissons donc les maisons closes, il sera plus facile de surveiller des établissements officiels ayant pignon sur rue et signalés par un « gros numéro ».

Considérons qu’elles remplissent une fonction de service public, concourent à la paix et à la tranquillité de nos rues, quitte à surveiller les conditions où ces dames exercent et à faire payer une forte redevance.

J’appelle les 343 salauds et les autres à appuyer ma demande.