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26/06/2013

La justice en quenouille.

Ce pauvre Berlusconi vient de se voir condamner à 7 ans de prison et à l'interdiction à vie d’exercice de charges publiques dans le procès dit du Rubygate. Il a été condamné pour abus de pouvoir et prostitution de mineure.
La mineure en question, Karima el Mahroug, d’origine marocaine avait participé à plusieurs nuits chaudes du Bunga Bunga que le Cavaliere  organisait dans sa résidence d’Arcore en Lombardie. Karima dite Ruby était tout ce qu’il y a de consentante et ils affirment tous deux qu’ils n’avaient même pas « consommé ». Qu’importe, elle n’avait que dix sept ans et était donc mineure.

L’argument vaut son pesant de guano s’agissant d’une ressortissante du Maroc, pays où on obtient une dérogation pour une femme pour se marier à 14 ans et quand le prophète avait 11 femmes qu’il honorait toutes les nuits et parmi elles Aïcha épousée à 6 ans. Le mariage aurait été consommé quand Aïcha avait 9 ans.

C’est dire que Karima était largement d’âge.

Malheureusement le Cavaliere n’a pas eu de chance, il est tombé sur « une procureure » Ilda Boccassini connue sous le nom d’Ilda la rouge, en partie pour la couleur de ses cheveux et trois juges femmes, Carmen D'Elia, Orsola De Cristofaro et Giulia Turri.

Ces quatre dames ont condamné le malheureux pour cette peccadille à 7 ans de prison.

On peut se demander ce qui se serait passé devant un procureur et des juges hommes. Berlusconi aurait probablement été acquitté et même avec félicitations pour sa verdeur.

On rit, mais on rira moins quand on saura que 80% des auditeurs de l’Ecole de la Magistrature en France sont des femmes et qu’elles risquent de juger les faits de cet ordre, que je n’oserais même pas qualifier de délits, d’une façon totalement irrationnelle dans un souci de revanche.

Il ne fera plus bon pincer un postérieur aguichant ou même monter seul dans un ascenseur avec une femme.

Puisqu’on veut partout la parité, puis je demander une stricte égalité des sexes pour le recrutement des magistrats.

 

http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com

 

 

10/03/2013

Femmes en politique.

Les femmes sont quand même bizarres quand elles s’occupent de politique et l’on commence à comprendre pourquoi on les en a longtemps jugées incapables et qu’on en est encore à les imposer par des mesures de parité. Il y a eu, souvenez vous, le crêpage de chignon entre l’actuelle et l’ex au moment de l’élection de Hollande, il y a maintenant la réflexion de NKM sur Royal qui attendrait un os à ronger de son ex.

Il faut bien dire que rares sont les hommes qui auraient emmené le débat politique dans de tels travers. Mais à l’évidence la gent féminine ne réagit pas par raison et analyse mais par passion et sentiment ou ressentiment. C’est dangereux et peut conduire à des excès regrettables.

En dehors de la politique, il est très inquiétant qu’en plus de Taubira les femmes aient conquis la justice. Se faire juger par un homme ou par une femme est loin d’être indifférent et il conviendrait d’imposer une stricte parité dans les prétoires.


 http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com

13/07/2012

De la parité

J’ai laissé passer un délai de décence avant de réagir, mais je voudrais aborder la soi disant nécessité d’ouvrir tous les métiers également aux deux sexes : il y a peu, deux femmes gendarmes ont été assassinées par un criminel. Est ce un métier de femme d’être gendarme ou policier ? La conséquence la plus visible de l’ouverture de ces professions à la gente féminine a été de porter de deux à trois l’effectif des patrouilles. Une patrouille comportait autrefois deux hommes, maintenant elle comporte généralement deux hommes et une femme : deux femmes on vient de voir ce qu’il s’en suivait en cas de crise grave, un homme et une femme ça ne fait pas sérieux. On a donc diminué l’efficacité des forces de l’ordre. Ajoutez à cela l’application des 35 heures dans la police, la baisse de présence sur le terrain est considérable.

D’un autre point de vue je suis persuadé qu’on aurait envoyé pour cette intervention deux hommes plutôt que des femmes, ils seraient encore en vie.

La remarque, bien entendu, s’applique également aux armées.

13/06/2012

Crêpage de chignons.

La guerre des dames du président explique à mon sens, pourquoi on a été aussi long pour admettre les femmes en politique. Bien sur il y avait de la part des hommes une défense de leur pré carré mais aussi la conscience que les femmes ne réagissent pas comme les hommes mais beaucoup plus à l’affect. L’exemple actuel monte bien qu’elles agissent par passion plus que par raison, par émotion plus que par réflexion.

Un homme n’aurait jamais mêlé ses histoires de cœur, si je puis dire, à une prise de position politique. La chose n’est pas récente, qu’on relise les  « imprécations de Camille » dans Horace: « Rome l’unique objet de mon ressentiment… » la passionaria cornélienne abandonne tout patriotisme à la perte de son cher Curiace tué par son frère Horace sauveur de Rome.

L’actuel crêpage de chignons présidentiel n’a évidemment pas la même grandeur antique mais amène à réfléchir sur le bien fondé de la parité.

La femme du chef de l’état devrait se cantonner au rôle de maitresse de maison de l’Elysée, surtout quand elle n’est qu’une maitresse tout court, comme le fit Yvonne De Gaulle et Bernadette Chirac. Il n’est pas décent qu’elle mette sa jalousie sur la place publique au risque de faire rire les chancelleries, ni d’ailleurs, comme d’aucune, se complaise à la défense et l’illustration de Castro et d’Aristide.

La chose est d’autant plus fâcheuse qu’elle coïncide avec la parution d’une nouvelle mouture de la loi sur le « harcèlement sexuel » par laquelle les féministes triomphantes se posent en victimes du mâle après avoir prôné la libération sexuelle.

Il ne sera plus sans risque de monter dans un ascenseur seul avec une femme, c’est déjà considéré comme imprudent aux Etats Unis, d’autant que la justice est maintenant entre les mains des femmes, 80% des élèves de l’Ecole Nationale de la Magistrature sont des femmes, ce qui n’est pas indifférent pour ce genre de délit.

Peut on demander que dans ce domaine aussi on rétablisse la parité.