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12/08/2020

Je ne ferai pas repentance

Dans son éditorial du 8 août Le Monde accuse des entreprises françaises de s’être enrichies dans la traite négrière, elles mêmes ou par les entreprises qu’elles ont absorbées. Sont notamment citées Marie Brizard, le cognac Hennessy, AXA, la banque de France, Certaines osent même hésiter à contribuer à la nouvelle Fondation pour la mémoire de l’esclavage par crainte de contre-publicité. Pourtant il est nécessaire de faire amende honorable et de chercher à indemniser les victimes de ce crime inexpiable.
J’ai dans mon ascendance des armateurs malouins et des capitaines de bateau qui pratiquaient le trafic triangulaire : Saint Malo, Golfe de Guinée ou on embarquait les esclaves que leurs congénères avaient razziés et qu’ils fournissaient sur la côte contre donc de la Marie Brizard et du cognac Hennessy, des fusils, des draperies, et ensuite route vers le Brésil où on embarquait du sucre et retour à Saint Malo. C’étaient les mœurs du temps et je n’envisage pas une seconde de m’excuser et ne donnerai pas un kopeck à qui que ce soit comme indemnisation.

Remarquons que ce sont les pays occidentaux qui y ont mis fin alors que l’esclavage interne africain et l’esclavage vers les pays arabes ont perduré et existent encore ça et là.

Remarquons aussi que les descendants des esclaves des Antilles et de la Réunion sont citoyens français ayant les mêmes droits que leurs anciens maitres.

On ne va quand même pas s’apitoyer sur le sort des Haïtiens qui ont fait le choix de suivre Toussaint Louverture mais il est intéressant de voir à quel niveau leur décision les a menés.
Le noirs des Antilles sont citoyens français et c’est très bien ainsi, leur sort est plus enviable que celui de ceux qui sont restés au pays et qui n’ont qu’une idée celle de gagner l’Eden européen.

Ce ne sont pas nos compatriotes des Antilles et de la Réunion qui pourrissent la vie des Français, se comportent comme des sauvages et encombrent les prisons comme la famille Traoré. Ce ne sont pas eux qui militent au CRAN voulant transformer la France en espaces communautaires où les noirs, le homos jouiraient de privilèges injustifiables ; la France est une et indivisible et il faudra bien un jour stopper l’invasion voire remigrer.

 

19/07/2016

Hallucinant : la journée de la déportation à Mayotte

On a célébré la journée de la Déportation à Mayotte ! Département où on ne doit même pas savoir ce qu’est un juif, ce n’est guère une ethnie comorienne. Il est vrai que comme partout on a joint le mensonge à l’incongruité : on célébrait « la mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites de l’Etat français » et on rendait « hommage aux « justes » de France » n’hésitant pas à affirmer que le régime de Pétain était responsable de la déportation de 75 000 « Juifs de France ».
Il est vrai que le message du Secrétaire d’Etat auprès du Ministre de la Défense évoque « l’horreur nazie » mais si ce sont les nazis les coupables pourquoi en prendre la responsabilité ? Et pourquoi évoquer « certains nationalismes » qui ressurgiraient ? De quoi s’agit-il ?

Quant aux « justes » choisis par Israël ils servent de paravent aux traitements infligés par les juifs israéliens aux palestiniens : incarcérations arbitraires, construction d’un mur de séparation, spoliations, expropriations, colonisation galopante, démolition d’habitations.

Comment peut-on parler de racisme et d’antisémitisme dans les Comores africaines, sans évoquer les conflits tribaux et religieux qui ravagent le continent : au Rwanda, au Sud Soudan, au Cameroun, au Nigéria, en Somalie, au Mali, en Centrafrique, en RDC, en Libye…Il y a là un racisme implicite estimant que le massacre de juifs est plus grave que celui d’Africains.

Quand va-t-on tourner cette page vieille de plus de 70 ans alors que partout règnent les massacres ethniques et le terrorisme ?

Il est vrai que l’on célèbre aussi à Mayotte la journée de l’ « abolition de l’esclavage » alors que Mayotte, française depuis 1843, n’a jamais de notre fait été victime de l’esclavage, l'Île avait jusque là été soumise à la traite arabe À cette époque l'île avait environ 3 000 habitants presque exclusivement musulmans, dont la moitié était des esclaves. L’esclavage fut officiellement aboli trois ans plus tard en 1846 et les esclaves rachetés par la France à leurs propriétaires arabes pour 200 francs chacun.

Il faudrait adapter le « devoir de mémoire » au contexte local et ne pas célébrer n’importe quoi n’importe où.

 

http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com

12/07/2015

A quand une nouvelle loi Gayssot

On se souvient de l’émoi suscité dans les milieux bien-pensants par la publication du livre d’ Olivier Pétré-Grenouilleau « Les traites négrières » où il expliquait, tout en condamnant l’esclavage, que la traite transatlantique occidentale avait été infiniment moins horrible que la traite orientale et que les africains eux mêmes avaient pratiqué une traite interne et servi de fournisseurs d’esclaves.

Ce livre très documenté limitant la culpabilité de l’homme blanc, n’avait pas été apprécié par ceux qui estiment qu’il ne fera jamais assez repentance.

Depuis le CRAN - conseil représentatif des associations noires - milite pour une indemnisation des descendants noirs - ou supposés tels - des esclaves, bien que personnellement j’estime que le sort des Français noirs des DOM est infiniment plus enviable que celui de leurs ancêtres restés en Afrique.

Quoiqu’il en soit l’affaire rebondit  avec la parution d’une étude scientifique sur l'édit royal de mars  1685, dit Code noir. L’auteur, Jean-François Niort, maître de conférences d'histoire du droit à l'université des Antilles, vient de subir des attaques diffamantes et des menaces de la part de groupes guadeloupéens qui le traitent de «  révisionniste et  de négationniste »  et le somment de s’en aller.

Il s’est adressé au MIR France, (Mouvement international pour les réparations) qui lui a reproché de procéder à une "  reconstruction de l'Histoire  ". Il est vraie que l’histoire du Code noir a été établie une fois pour toute en 1987 dans un ouvrage « indépassable » et définitif par le philosophe Louis Sala Molins , « Le Code noir ou le calvaire de Canaan ».

Pour Louis Sala Molins, le Code noir est le mal absolu niant l’humanité de l’esclave.

Ce qui est faux, plusieurs articles de cette loi royale tendent à protéger l’esclave et il faudrait voir dans ce texte une tentative du pouvoir royal de maitriser les pratiques esclavagistes.

La cabale dirigée contre Jean-François Niort voudrait l’empêcher de mettre en cause la thèse de Louis Sala Molins considérée comme une vérité définitive bien que les universitaires  ne prennent guère en compte cet ouvrage excessif et passionnel. Cela rappelle les accusations de révisionnisme et de négationnisme que provoque toute recherche sur un autre génocide, au point d’avoir suscité la célèbre loi Gayssot.

A quand une loi similaire pour l’esclavage ?

13/05/2015

L'esclavage ça suffit.

Je vais commencer par dire que j’ai dans mon ascendance, des malouins qui en tant qu’armateurs ou capitaines de navires, ont pratiqué le trafic triangulaire entre le Golfe de Guinée le Brésil et Saint Malo. J’assume et n’en ai aucun remord, c’était les mœurs de l’époque. J’ai peut être eu des ancêtres-qui sait ?- qui étaient esclaves sous Rome ou serfs au moyen âge. On ne choisit pas ses ancêtres et on n’est pas responsable de ce qu’ils ont fait surtout jugé avec les yeux actuels du « politiquement correct »

Tout ça pour dire que je ne suis pas Hollande aux Caraïbes, l’histoire est ce qu’elle est et on ne va pas la réécrire. D’autant que je ne comprends pas qui, dans les départements d’outremer est coupable où victime.

Les Antillais, les Guyanais et les Réunionnais, sont Français comme moi et sont donc comme le paysan de la Lozère ou le pêcheur breton impliqués dan le « crime contre l’humanité » de l’esclavage transatlantique.

Va-t-on dire que tous les noirs de France  ont été victimes de l’esclavage, alors qu’à l’époque, si les acheteurs étaient parfois blancs, les vendeurs étaient généralement noirs ?

Monsieur Tin, président du CRAN - conseil représentatif des associations noires de France- devrait être poursuivi pour racisme avec d’ailleurs Me Taubira, toute discrimination basée sur la race et la couleur de peau étant sévèrement réprimée par la loi. Me voit-on fondant le CRAB ? On me traiterait immédiatement de raciste et de fasciste et on évoquerait le Ku-Klux-Klan et l’apartheid.

D’autant que derrière cette histoire il y a la volonté de Monsieur Tin d’obtenir des réparations – il est vrai qu’il y une certaine ethnie qui y a réussi… Mais moi comme beaucoup de Français je pense, j’estime que tout l’argent métropolitain englouti dans les DOM sous forme d’ « argent braguette » ou d’ «argent pour rien », les allocations familiales et le RMI, vaut largement réparation assurant à leurs bénéficiaires ultramarins un niveau de vie sans commune mesure avec celui des descendants de leurs ancêtres restés en Afrique. D’ailleurs je suis prêt à participer à l’achat d’un aller-simple pour ceux qui veulent regagner la terre de leurs ancêtres.

Tout ça pour dire que j’en ai marre de la repentance, de l’esclavage comme du reste, que je ne vois pas pourquoi on voudrait que j’aime les étrangers qui nous envahissent, les féministes qui sont une injure à la femme, et les homosexuels qui nous cassent les pieds, sans oublier les islamistes et les juifs qui au bout de 70 ans veulent nous faire croire que les Français ont été responsables de leur malheur.

La France est devenue le dernier pays sovietoïde avec la Corée du Nord : invivable.

 

 

 

                                                                                  

 

09/05/2014

Esclavage.

Le 10 mai c’est la journée où nous sommes sensés  nous repentir de la traite négrière – uniquement la traite européenne – pratiquée par nos ancêtres.

Je tiens à signaler que j’ai une ascendance malouine, des armateurs et des capitaines qui outre la pêche sur les bancs de Terre-neuve, ont, pour certains, pratiqué la trafic triangulaire : partant de Saint Malo avec de la pacotille, ils allaient charger des esclaves dans le golfe de Guinée, puis se rendaient au Brésil pour échanger les esclaves contre du sucre et d’autres marchandises et regagner Saint Malo. J’avoue ne pas avoir honte de mes aïeux à qui je dois peut-être ma vocation maritime.

Quand en 2001 Christiane Taubira fit voter à l’unanimité la loi qualifiant la traite européenne de crime contre l’humanité, elle n’évoqua pas la traite musulmane ni la traite interne africaine. Elle osa déclarer que sa loi n’évoquait pas la traite négrière musulmane afin que les « jeunes Arabes (…) ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits des Arabes ».

Et pourtant si la traite transatlantique, porta sur 11 millions d’individus, la traite interne ou interafricaine porta sur 14 millions, et les traites arabo-musulmanes, sur 17 millions, et elles furent autrement meurtrières.

C’est en fait la colonisation européenne qui mit fin aux différentes traites, bien plus tard que pour la traite européenne, du moins officiellement car l’esclavage existe encore en Afrique, en Mauritanie par exemple.

Quoiqu’il en soit vouloir nous faire faire repentance pour l’esclavage tombe mal, avec l’enlèvement au nord Nigéria par Boko Haram - une secte islamiste - de plus de 200 collégiennes dans le but avoué de les vendre, pour quelque 20 euros chacune paraît-il.

Certains voudraient même qu’on indemnise les descendants des esclaves pour le préjudice que leurs ancêtres ont subi ; alors là quand je vois la vie de nantis que mènent nos compatriotes noirs des Antilles et de la Réunion, avec l’ « argent braguette » et l’ « argent pour rien » (le RSA), je me dis que beaucoup d’africains voudraient bien être à leur place, notamment ceux qui chaque jour se noient ou se heurtent à des barbelés pour gagner l’eldorado européen et à qui on n’assure pas le transport.