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12/07/2015

A quand une nouvelle loi Gayssot

On se souvient de l’émoi suscité dans les milieux bien-pensants par la publication du livre d’ Olivier Pétré-Grenouilleau « Les traites négrières » où il expliquait, tout en condamnant l’esclavage, que la traite transatlantique occidentale avait été infiniment moins horrible que la traite orientale et que les africains eux mêmes avaient pratiqué une traite interne et servi de fournisseurs d’esclaves.

Ce livre très documenté limitant la culpabilité de l’homme blanc, n’avait pas été apprécié par ceux qui estiment qu’il ne fera jamais assez repentance.

Depuis le CRAN - conseil représentatif des associations noires - milite pour une indemnisation des descendants noirs - ou supposés tels - des esclaves, bien que personnellement j’estime que le sort des Français noirs des DOM est infiniment plus enviable que celui de leurs ancêtres restés en Afrique.

Quoiqu’il en soit l’affaire rebondit  avec la parution d’une étude scientifique sur l'édit royal de mars  1685, dit Code noir. L’auteur, Jean-François Niort, maître de conférences d'histoire du droit à l'université des Antilles, vient de subir des attaques diffamantes et des menaces de la part de groupes guadeloupéens qui le traitent de «  révisionniste et  de négationniste »  et le somment de s’en aller.

Il s’est adressé au MIR France, (Mouvement international pour les réparations) qui lui a reproché de procéder à une "  reconstruction de l'Histoire  ". Il est vraie que l’histoire du Code noir a été établie une fois pour toute en 1987 dans un ouvrage « indépassable » et définitif par le philosophe Louis Sala Molins , « Le Code noir ou le calvaire de Canaan ».

Pour Louis Sala Molins, le Code noir est le mal absolu niant l’humanité de l’esclave.

Ce qui est faux, plusieurs articles de cette loi royale tendent à protéger l’esclave et il faudrait voir dans ce texte une tentative du pouvoir royal de maitriser les pratiques esclavagistes.

La cabale dirigée contre Jean-François Niort voudrait l’empêcher de mettre en cause la thèse de Louis Sala Molins considérée comme une vérité définitive bien que les universitaires  ne prennent guère en compte cet ouvrage excessif et passionnel. Cela rappelle les accusations de révisionnisme et de négationnisme que provoque toute recherche sur un autre génocide, au point d’avoir suscité la célèbre loi Gayssot.

A quand une loi similaire pour l’esclavage ?

07/07/2015

Il faut sauver le soldat grec;

On l’a bien oublié mais en 1953, l’accord de Londres signé le 27 février a permis à la République fédérale d’Allemagne d’effacer la moitié de sa dette d’avant et d’après guerre.

La RFA devait rembourser à la fois les obligations financières issues du Traité de Versailles, jamais honorées, les emprunts internationaux contractés durant la République de Weimar, dont le paiement des intérêts a été suspendu au début des années 1930, et encore les aides financières accordées par les Alliés pour reconstruire le pays ravagé après 1945.

Les dettes d’avant-guerre sont estimées au départ à 13,5 milliards de Deutsche Marks, elles seront ramenées à 9,6 milliards puis à 7,3 milliards de Deutsche Marks.

Quant aux dettes d’après-guerre, chiffrées initialement entre 15 et 16 milliards de Deutsche Marks, elles sont ramenées à un montant de 7 milliards, soit une remise de dette de plus de moitié.

A l’issue de la conférence de Londres, la République fédérale est ainsi parvenue à diviser par deux le poids de sa dette, avec le consentement de ses créanciers, parmi ceux ci on trouvait la Grèce.

En 1946, l’Allemagne avait été condamnée à payer une somme de 7 milliards de dollars à la Grèce à titre de réparation pour l’occupation du pays de 1941 à 1944 et pour les massacres et destructions innombrables dont les Allemands se sont rendus coupables ; l’Allemagne n’a jamais payé.

Dans ces conditions l’intransigeance allemande vis à vis de la Grèce est choquante, voire inadmissible, d’autant que si l’Europe existe, il faut chercher par la négociation, mais dans des conditions supportables, comment rétablir la situation financière et économique du pays.

Bien sur la Grèce est mal gérée, les impôts ne rentrent pas, les riches, armateurs et Eglise en particulier, ne payent quasiment rien, les retraites sont beaucoup trop généreuses et il faut augmenter la TVA, mais ce n’est pas en lui prêtant de l’argent pour rembourser sa dette qu’on règlera la situation. 

Il va falloir réduire et réaménager la dette comme on l’a fait en 1953 pour l ‘Allemagne.

Il y a en Europe d’autres exemples de mauvaise gestion que personne ne remet en cause. Citons nos DOM, les départements d’outremer qui ne produisent rien ou pas grand’ chose, où les fonctionnaires sont pléthoriques et surpayés et dont les revenus proviennent en quasi totalité, de transferts financiers métropolitains pour les prestations sociales, les infrastructures et les salaires des fonctionnaires.

Il n’est qu’à comparer les deux îles jumelles, la Réunion et Maurice pour comprendre qu’il y a là un exemple de gabegie que personne ne veut remettre en cause.

On a même départementalisé Mayotte qui est devenue une pompe aspirante d’immigration, ne produit plus rien et coute à la métropole un milliard d’euros par an. Il est vrai que les fonctionnaires y compris indigènes y mènent grand train de vie. Un des principaux problèmes de Mayotte comme d’ailleurs de la Réunion, est les embouteillages automobiles.

Alors l’Europe peut faire l’effort de sauver le soldat grec sans le contraindre au suicide.

 

 

http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com 

13/05/2015

L'esclavage ça suffit.

Je vais commencer par dire que j’ai dans mon ascendance, des malouins qui en tant qu’armateurs ou capitaines de navires, ont pratiqué le trafic triangulaire entre le Golfe de Guinée le Brésil et Saint Malo. J’assume et n’en ai aucun remord, c’était les mœurs de l’époque. J’ai peut être eu des ancêtres-qui sait ?- qui étaient esclaves sous Rome ou serfs au moyen âge. On ne choisit pas ses ancêtres et on n’est pas responsable de ce qu’ils ont fait surtout jugé avec les yeux actuels du « politiquement correct »

Tout ça pour dire que je ne suis pas Hollande aux Caraïbes, l’histoire est ce qu’elle est et on ne va pas la réécrire. D’autant que je ne comprends pas qui, dans les départements d’outremer est coupable où victime.

Les Antillais, les Guyanais et les Réunionnais, sont Français comme moi et sont donc comme le paysan de la Lozère ou le pêcheur breton impliqués dan le « crime contre l’humanité » de l’esclavage transatlantique.

Va-t-on dire que tous les noirs de France  ont été victimes de l’esclavage, alors qu’à l’époque, si les acheteurs étaient parfois blancs, les vendeurs étaient généralement noirs ?

Monsieur Tin, président du CRAN - conseil représentatif des associations noires de France- devrait être poursuivi pour racisme avec d’ailleurs Me Taubira, toute discrimination basée sur la race et la couleur de peau étant sévèrement réprimée par la loi. Me voit-on fondant le CRAB ? On me traiterait immédiatement de raciste et de fasciste et on évoquerait le Ku-Klux-Klan et l’apartheid.

D’autant que derrière cette histoire il y a la volonté de Monsieur Tin d’obtenir des réparations – il est vrai qu’il y une certaine ethnie qui y a réussi… Mais moi comme beaucoup de Français je pense, j’estime que tout l’argent métropolitain englouti dans les DOM sous forme d’ « argent braguette » ou d’ «argent pour rien », les allocations familiales et le RMI, vaut largement réparation assurant à leurs bénéficiaires ultramarins un niveau de vie sans commune mesure avec celui des descendants de leurs ancêtres restés en Afrique. D’ailleurs je suis prêt à participer à l’achat d’un aller-simple pour ceux qui veulent regagner la terre de leurs ancêtres.

Tout ça pour dire que j’en ai marre de la repentance, de l’esclavage comme du reste, que je ne vois pas pourquoi on voudrait que j’aime les étrangers qui nous envahissent, les féministes qui sont une injure à la femme, et les homosexuels qui nous cassent les pieds, sans oublier les islamistes et les juifs qui au bout de 70 ans veulent nous faire croire que les Français ont été responsables de leur malheur.

La France est devenue le dernier pays sovietoïde avec la Corée du Nord : invivable.