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14/03/2017

"Le nationalisme c'est la guerre"

Reprenant une déclaration de François Mitterand, le Président Hollande a affirmé « le nationalisme c’est la guerre », le patriotisme aussi, je pense, qui en est sa forme affirmée, un peu teintée de pétainisme.

Ainsi quand les Allemands se sont pointés à nos frontières en 1939 en recherche d’un Lebens Raum bien compréhensible, il eut fallu les accueillir voire aller les chercher au nom de la « tolérance » et du « vivre ensemble ». Les 26 millions de Russes morts pour défendre la Rodina seraient morts pour une cause condamnable.

Il est vrai que maintenant partie prenante d’un quasi quatrième Reich sous la houlette de la Fuehrerin Angela, notre situation ne serait peut être guère différente après avoir digéré le nazisme comme le communisme a été digéré.

Peut être aurions nous évité une invasion autrement pernicieuse, ces millions de maghrébins et d’africains qui veulent nous imposer l’islam, une religion de chameliers arriérés qui n’a réussi nulle part à quoi que ce soit sauf à créer le désordre.

Imaginons ce que serait le monde sans la civilisation héléno-chrétienne qui après l’endormissement de la Chine, a tout inventé, tout découvert et développé une culture qui est devenue une culture mondiale. Imaginons vivre sans Bach, sans Molière, sans Rembrandt, sans nos cathédrales.

Et pourtant des politiciens ouvrent les écluses à une population de plus en plus nombreuse qui refuse de s’assimiler et provoque le désordre et la mort.

Au début du siècle précédent, on pouvait déclarer, « à bas la calotte » « le cléricalisme voilà l’ennemi » et expulser les congrégations, maintenant pour le moindre mot sur l’islam et l’islamisme on se fait condamner pour « islamophobie », je n’augure rien de bon de l’avenir de notre pays.

 

http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com

01/12/2015

Nous sommes en guerre.

J’avoue ne pas avoir compris le sens de la cérémonie d’hommages aux victimes, aux Invalides. J’y vois le refus d’accepter toute mort alors que nous sommes en guerre.

D’abord le lieu était mal choisi : les Invalides où sont traditionnellement rendues les honneurs aux héros et aux militaires morts pour la France. En l’occurrence les morts ne sont pas morts pour la France mais sont des victimes s’étant trouvées au mauvais endroit au mauvais moment. Elles ne cherchaient pas à servir la France mais à boire un pot à la terrasse d’un café où à assister à un concert rock. En ce sens leur mérite n’est pas plus grand que celui des touristes russes morts dans l’avion de Charm el-Cheik .

Que l’on dise des messes pour le repos de leurs âmes où que l’on se recueille en leur mémoire, très bien, mais ces obsèques semi-nationales sont insensées et destinées à camoufler l'échec de gouvernants incapables d’assurer la sécurité des Français et ayant participé par complicité et passivité à la situation à l’origine de cette barbarie : 40 ans d’une immigration incontrôlée et d’un laxisme judiciaire irresponsable.

Depuis des années une philosophie de bizounours donne lieu à chaque fait divers, à marche blanche, lâché de ballons, dépôt de fleurs, manifestations assez ridicules par lesquelles une société athée essaye de suppléer aux manifestations religieuses d’antan. On voit un Président de la république n’hésitant pas à se rendre une rose blanche à la main devant la terrasse d’un café où des soi-disant Français ont massacré d’autres Français au nom d’Allah. Et surtout pas d’amalgame.

J’imagine le plaisir de tous ces « Français » qui se réjouissent de ces massacres et rêvent même d’y participer un jour pour atteindre à la palme du martyr et à ses houris. Quel meilleur encouragement pour recommencer et alors que fera-t-on ? Une nouvelle cérémonie aux Invalides ?

Nous sommes en guerre et durant les guerres il y a des morts ; la seule réaction acceptable est de lutter contre les criminels, militairement contre les bases du mouvement à l’origine de tout ce désordre - c’est ce que nous faisons en Syrie et en Irak, au Sahel - et par une lutte acharnée en France, des services de police et de renseignement suivie de l’action sans faiblesse des juges.

Que voulait dire ce président athée qui ne jure que par le laïcisme en parlant de « la cause folle d’un Dieu trahi », de qui s’agissait il sinon de l’Islam plus ou moins dévoyé et pourquoi ne pas le nommer, et quelle signification pouvait-on trouver à cet « Hymne à l’amour » chanté par trois chanteuses, une franco israélienne, une d’origine algérienne et une bretonne ? Encore la tolérance et le vivre ensemble… Est ce vraiment de circonstance, soyons solidaires mais pas tolérants, nous sommes en guerre, il faut la faire.

 

http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com

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03/12/2013

Plaidoyer pour les "maisons"

Vouloir faire disparaître la prostitution voilà bien une idée farfelue née dans l’esprit d’une bande de féministes aveugles à la réalité. « Le plus vieux métier du monde » ne va pas disparaître parce qu’on va rançonner quelques consommateurs malchanceux ; du trottoir il va aller sur internet et les réseaux sociaux et de là dans la clandestinité et l’esclavage.

Je veux prêcher pour la réouverture des « maisons » que Marthe Richard a fait fermer inconsidérément en 1946. Marthe Richard fut prostituée à quinze ans, exerça dans un établissement de la rue Godot de Mauroy où elle fit un riche mariage. Elle vivait dans un hôtel particulier à l’Odéon, elle se passionna pour l ‘aviation avant de se retrouver veuve de guerre en 1916.

Par la suite, agent double, elle fréquenta Mata Hari et eut dans l’espionnage une activité surtout née de son imagination, mais qu’elle saura faire fructifier en écrivant ses mémoires. Elle récidivera pendant la seconde guerre, mais s‘étant engagée tardivement dans les FFI en 1944, elle se forgea à bon compte une réputation de grande résistante.

Elle sera à l’origine de la fermeture des maisons closes parisiennes puis nationales, en s’en prenant à la société responsable de la « débauche organisée et patentée », les choses n’ont guère changé. On fermera 1400 établissements, comme le Chabanais, le Sphinx et le One-two-two. La prostitution bien sur ne disparut pas mais gagna les trottoirs.

Du reste ce service public se maintint par tolérance - c’est le cas de le dire – dans les ports, on fréquentait encore dans les années 60 le Sully et le Vert-galant à Toulon maisons accueillantes où régnait une chaude ambiance un peu rétro et où on n’était nullement obligé de « consommer ».

Les vieux coloniaux se souviendront aussi de maisons à Dakar, Douala, Fedala…  A Saïgon, pendant la guerre d’Indochine, le célèbre « parc aux buffles » accueillait surtout les légionnaires et les troupes coloniales mais il existait nombre d’établissements plus huppés.

Il y avait aussi sur la rivière de Saïgon, à la base des forces amphibies nommée la FAIS, un bordel flottant qui un jour de grande marée s’échoua et donna une bande prononcée.

Tout ça pour dire que depuis les lupanars de Pompéï, les choses n’ont pas beaucoup changé et qu’il faudrait prendre conscience de la réalité des choses et chercher à s’en accommoder au mieux.

Rétablissons donc les maisons closes, il sera plus facile de surveiller des établissements officiels ayant pignon sur rue et signalés par un « gros numéro ».

Considérons qu’elles remplissent une fonction de service public, concourent à la paix et à la tranquillité de nos rues, quitte à surveiller les conditions où ces dames exercent et à faire payer une forte redevance.

J’appelle les 343 salauds et les autres à appuyer ma demande.

09/07/2013

France terre d'islam

Hier la télé nous présentait une jeune Gauloise, se prénommant autant qu’il m’en souvienne Madeleine, qui, convertie, se préparait à « faire le ramadan » et qui en ressentait une grande joie. Il fallait la voir la donzelle attifée comme une mouquère de Kabylie, elle semblait prête pour le bal masqué. Une femme libérée.

Elle répétait avec une coreligionnaire, avec une sainte application, les gestes à faire pour complaire au prophète - Allah l’ait en sa sainte garde – et se préparait à faire la nouba vespérale qui s’impose.

Je compris alors comment, question qui m’a longtemps préoccupé, l’Afrique du nord chrétienne de Saint Augustin avait viré au VII° siècle, vite fait, à l’Islam.

Les malheureux berbères avaient subi comme nous, invasion, propagande, mensonge, demandes et pressions de toutes sortes, menaces et probablement massacres et exécutions.

Et bien entendu la trahison des élites et des clercs qui après avoir travaillé à la déchristianisation au nom de la laïcité, accueillaient l’Islam à bras ouvert au nom de la tolérance et de la diversité.

Tout à l’heure le speaker de service expliquait qu’en France, comme dans les autres pays musulmans, le ramadan commençait demain. Nous y voilà.