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23/07/2014

Justice pour il Cavaliere.

Après sa condamnation fin juin 2013 dans l’affaire du Rubygate, à 7 ans de prison j’avais publié sous le titre « la justice en quenouille »  le texte suivant :

 

« Ce pauvre Berlusconi vient de se voir condamner à 7 ans de prison et à l'interdiction à vie d’exercice de charges publiques dans le procès dit du Rubygate. Il a été condamné pour abus de pouvoir et prostitution de mineure.
La mineure en question, Karima el Mahroug, d’origine marocaine avait participé à plusieurs nuits chaudes du Bunga Bunga que le Cavaliere  organisait dans sa résidence d’Arcore en Lombardie. Karima dite Ruby était tout ce qu’il y a de consentante et ils affirment tous deux qu’ils n’avaient même pas « consommé ». Qu’importe, elle n’avait que dix sept ans et était donc mineure.

L’argument vaut son pesant de guano s’agissant d’une ressortissante du Maroc, pays où on obtient une dérogation pour une femme pour se marier à 14 ans et quand le prophète avait 11 femmes qu’il honorait toutes les nuits et parmi elles Aïcha épousée à 6 ans. Le mariage aurait été consommé quand Aïcha avait 9 ans.

C’est dire que Karima était largement d’âge.

Malheureusement le Cavaliere n’a pas eu de chance, il est tombé sur « une procureure » Ilda Boccassini connue sous le nom d’Ilda la rouge, en partie pour la couleur de ses cheveux et trois juges femmes, Carmen D'Elia, Orsola De Cristofaro et Giulia Turri.

Ces quatre dames ont condamné le malheureux pour cette peccadille à 7 ans de prison.

On peut se demander ce qui se serait passé devant un procureur et des juges hommes. Berlusconi aurait probablement été acquitté et même avec félicitations pour sa verdeur.

On rit, mais on rira moins quand on saura que 80% des auditeurs de l’Ecole de la Magistrature en France sont des femmes et qu’elles risquent de juger les faits de cet ordre, que je n’oserais même pas qualifier de délits, d’une façon totalement irrationnelle dans un souci de revanche.

Il ne fera plus bon pincer un postérieur aguichant ou même monter seul dans un ascenseur avec une femme.

Puisqu’on veut partout la parité, puis je demander une stricte égalité des sexes pour le recrutement des magistrats. »

 

Je ne me croyais pas si bon prophète, Berlusconi vient d’être acquitté en appel et relaxé de toute accusation. Apparemment le tribunal de trois juges de la cour d’appel n’était pas constitué majoritairement de femmes bien que ce ne soit pas précisé.

Cela confirme mon sentiment, la féminisation à outrance de la justice expose les hommes à des peines démesurées pour des peccadilles dont, souvent, ils ne sont pas les seuls responsables.

Il faut absolument rétablir la parité à l’école de la Magistrature.

 

 

 

 

 

03/12/2013

Plaidoyer pour les "maisons"

Vouloir faire disparaître la prostitution voilà bien une idée farfelue née dans l’esprit d’une bande de féministes aveugles à la réalité. « Le plus vieux métier du monde » ne va pas disparaître parce qu’on va rançonner quelques consommateurs malchanceux ; du trottoir il va aller sur internet et les réseaux sociaux et de là dans la clandestinité et l’esclavage.

Je veux prêcher pour la réouverture des « maisons » que Marthe Richard a fait fermer inconsidérément en 1946. Marthe Richard fut prostituée à quinze ans, exerça dans un établissement de la rue Godot de Mauroy où elle fit un riche mariage. Elle vivait dans un hôtel particulier à l’Odéon, elle se passionna pour l ‘aviation avant de se retrouver veuve de guerre en 1916.

Par la suite, agent double, elle fréquenta Mata Hari et eut dans l’espionnage une activité surtout née de son imagination, mais qu’elle saura faire fructifier en écrivant ses mémoires. Elle récidivera pendant la seconde guerre, mais s‘étant engagée tardivement dans les FFI en 1944, elle se forgea à bon compte une réputation de grande résistante.

Elle sera à l’origine de la fermeture des maisons closes parisiennes puis nationales, en s’en prenant à la société responsable de la « débauche organisée et patentée », les choses n’ont guère changé. On fermera 1400 établissements, comme le Chabanais, le Sphinx et le One-two-two. La prostitution bien sur ne disparut pas mais gagna les trottoirs.

Du reste ce service public se maintint par tolérance - c’est le cas de le dire – dans les ports, on fréquentait encore dans les années 60 le Sully et le Vert-galant à Toulon maisons accueillantes où régnait une chaude ambiance un peu rétro et où on n’était nullement obligé de « consommer ».

Les vieux coloniaux se souviendront aussi de maisons à Dakar, Douala, Fedala…  A Saïgon, pendant la guerre d’Indochine, le célèbre « parc aux buffles » accueillait surtout les légionnaires et les troupes coloniales mais il existait nombre d’établissements plus huppés.

Il y avait aussi sur la rivière de Saïgon, à la base des forces amphibies nommée la FAIS, un bordel flottant qui un jour de grande marée s’échoua et donna une bande prononcée.

Tout ça pour dire que depuis les lupanars de Pompéï, les choses n’ont pas beaucoup changé et qu’il faudrait prendre conscience de la réalité des choses et chercher à s’en accommoder au mieux.

Rétablissons donc les maisons closes, il sera plus facile de surveiller des établissements officiels ayant pignon sur rue et signalés par un « gros numéro ».

Considérons qu’elles remplissent une fonction de service public, concourent à la paix et à la tranquillité de nos rues, quitte à surveiller les conditions où ces dames exercent et à faire payer une forte redevance.

J’appelle les 343 salauds et les autres à appuyer ma demande.