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13/01/2015

Charlie Hebdo : Enfumage

Les manifestations d’unité organisées partout pour montrer l’unité des Français devant le terrorisme à la suite du massacre de Charlie Hebdo relèvent de l’enfumage, car enfin les criminels aussi bien les frères Kouachi que Coulibaly étaient de bons Français, nés natifs de France et non des étrangers. Ne parlons donc pas d’unité et soyez surs que dans les banlieues « sensibles » beaucoup approuvent et applaudissent se sentant solidaires des terroristes. Dans beaucoup d’écoles des « cités » nombreux sont les élèves qui ont refusé d’observer la minute de silence, certains s’éclipsant ou applaudissant au point que nombre d’enseignants avaient préféré ne rien faire.

J’observe aussi que seuls sont regrettés les dessinateurs de Charlie Hebdo alors que les victimes collatérales et les otages exécutés par Coulibaly ne sont guère évoqués.

D’ailleurs pourquoi parler de liberté d’expression au sujet de Charlie Hebdo, il y a beau-temps qu’elle n’existe plus en France, depuis les lois Pleven, Gayssot, la reconnaissance du génocide arménien, la condamnation de l’esclavage, du colonialisme, du racisme, de la xénophobie, de l’antisémitisme, pour lesquels il faut faire repentance, sans parler de l’extermination des juifs de France que l’on met à notre charge. La LICRA, la LDH, le CRAN, SOS Racisme, le CRIF, portent plainte pour le moindre écart de langage et se font indemniser.

La seule réaction sensée au massacre de Charlie Hebdo serait de démanteler tout cet arsenal juridique et de libérer la parole dans les limites de la loi de 1881. Mais les gardiens du temple veillent au créneau et rien ne se fera.

Il faut l’admettre, nous sommes en guerre contre l’islamisme, aussi bien au Sahel, en Irak que sur notre territoire et ce n’est pas cette guerre que nous avons préparée, elle sera longue et ce n’est pas avec notre Dissuasion et nos armements sophistiqués que nous cherchons à vendre que nous la gagnerons. Nous avons besoin d’effectifs, de matériels robustes et rustiques, adaptés au désert et en quantité. Juste ce que nous n’avons pas. Et ce n’est pas en s’en prenant à Poutine ou en voulant à tout prix déboulonner Bachar el Assad que nous viendrons à bout de l’islamisme.

 

 

 

 

 

http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com 

 

10/04/2014

Un nul nommé Désir.

S’il est besoin de trouver une confirmation comme quoi le changement de ministère ne conduira à rien, la nomination d’Harlem Désir au Secrétariat d’état aux affaires européennes en est une bonne.

Car quelle est la qualification d’Harlem pour cette fonction délicate ? Il a montré sa nullitude – comme dirait Ségolène – comme premier secrétaire du parti socialiste.

Promu pour son insuffisance voilà ce qui va plaire dans les instances européennes où il va représenter la France et ce qui montre le peu d’importance qu’attachent nos gouvernants à l’Union Européenne.

Candidat deux fois aux législatives où il avait recueilli des scores minables, il se fait élire député européen en 2004 ce qui nécessite seulement qu’on vous mette sur une liste en position éligible. Il est donc connu à Bruxelles ce qui n’est pas forcément favorable.

Car quels sont les mérites de cet olibrius à part un teint bronzé et un nom improbable ? Une licence de philosophie à la Sorbonne où après les Jeunesses Communistes Révolutionnaires, il milite à l’UNEF-ID.

Professionnellement, il a été brièvement animateur radio et salarié dans une maison d’édition, sans oublier un emploi fictif de « formateur permanent » au salaire mensuel de 8900 F à l’ « Association régionale pour la formation et l'éducation des migrants », ce qui lui vaut une condamnation à 18 mois de prison avec sursis et 30 000 francs d’amende sans parler d’une amnistie accordée par Mitterand pour 80 000 francs d’amende de stationnement.

Il est vrai qu’il est surtout connu comme président de SOS Racisme sponsorisé par Pierre Bergé qui déclarait alors : « Harlem Désir est un des moments de la conscience humaine. Il est aussi un des moments de l'honneur de la France » ! Il faut oser.

Comme on voit tout ce qu’il faut pour devenir un ministre de la V° république, un fauteuil au Conseil économique et social, habituel réceptacle de ceux qui ont cessé de plaire, aurait suffi.  Pauvre France.