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10/04/2014

Un nul nommé Désir.

S’il est besoin de trouver une confirmation comme quoi le changement de ministère ne conduira à rien, la nomination d’Harlem Désir au Secrétariat d’état aux affaires européennes en est une bonne.

Car quelle est la qualification d’Harlem pour cette fonction délicate ? Il a montré sa nullitude – comme dirait Ségolène – comme premier secrétaire du parti socialiste.

Promu pour son insuffisance voilà ce qui va plaire dans les instances européennes où il va représenter la France et ce qui montre le peu d’importance qu’attachent nos gouvernants à l’Union Européenne.

Candidat deux fois aux législatives où il avait recueilli des scores minables, il se fait élire député européen en 2004 ce qui nécessite seulement qu’on vous mette sur une liste en position éligible. Il est donc connu à Bruxelles ce qui n’est pas forcément favorable.

Car quels sont les mérites de cet olibrius à part un teint bronzé et un nom improbable ? Une licence de philosophie à la Sorbonne où après les Jeunesses Communistes Révolutionnaires, il milite à l’UNEF-ID.

Professionnellement, il a été brièvement animateur radio et salarié dans une maison d’édition, sans oublier un emploi fictif de « formateur permanent » au salaire mensuel de 8900 F à l’ « Association régionale pour la formation et l'éducation des migrants », ce qui lui vaut une condamnation à 18 mois de prison avec sursis et 30 000 francs d’amende sans parler d’une amnistie accordée par Mitterand pour 80 000 francs d’amende de stationnement.

Il est vrai qu’il est surtout connu comme président de SOS Racisme sponsorisé par Pierre Bergé qui déclarait alors : « Harlem Désir est un des moments de la conscience humaine. Il est aussi un des moments de l'honneur de la France » ! Il faut oser.

Comme on voit tout ce qu’il faut pour devenir un ministre de la V° république, un fauteuil au Conseil économique et social, habituel réceptacle de ceux qui ont cessé de plaire, aurait suffi.  Pauvre France.

 

09/06/2013

les bisounours de l'extrême gauche

Le nommé Pascal Riché ne veut pas, dans Rue 89 dont il est « cofondateur », qu’on fasse d’amalgame entre l’extrême gauche et l’extrême droite :

« Par ailleurs, non, l’extrême gauche n’a rien à voir l’extrême droite : cet amalgame est au mieux naïf, au pire pervers. Même quand, dans les années 70, certains groupes d’extrême gauche légitimaient la violence contre l’ordre établi et ses symboles, il est impossible d’assimiler celle-ci aux ratonnades ou aux « chasses au pédés » perpétrés par des nostalgiques d’Adolf Hitler. Mettre dos à dos les groupes antifascistes et des groupes néonazis est non seulement une ânerie, mais aussi une méconnaissance indigne, celle de notre Histoire »

Parlons en de l’histoire, de 1979 à 1987, Action directe en France a commis des dizaines d’attentat, à la bombe, au fusil mitrailleur, entrainant des dizaines de blessés et une quinzaine de morts, dont l’ingénieur général Audran et Georges Besse.

La Fraction armée rouge (la bande à Baader) de 1968 à 1998, en Allemagne, est responsable de dizaines de morts.

Les Brigades rouges en Italie ont sévi de 1970 à 2009 et ont en particulier assassiné Aldo Moro.

Quelles actions de cet ordre peuvent être reprochées à l’extrême droite, le bilan est quand même largement au bénéfice de la gauche.

La mort de Clément Méry est due à une bagarre d’excités et les uns sont aussi responsables que les autres. Le lieu de la rencontre, une vente privée de fringues, montre bien les motivations profondes de tous.

Le soir Caroline Fourest, qu’on appelle avec Pierre Bergé pour toutes les causes pourries, n’avait pas de mots assez durs pour les fachos, responsables surtout, pour elle, d’attaques contre des « bars à pédés ». La cause homosexuelle devient avant la Shoah, le combat à mener devant la menace où on retrouvent, pèle mêle, Frigide Barjot et la manif pour tous, Christine Boutin et Civitas.

N’en déplaise à Pascal Riché, le voilà l’amalgame. Si les homos ou du moins les irresponsables qui parlent pour eux, ne voulaient pas dynamiter la famille, imposer à l’école la théorie du « genre » et ne montaient pas à travers les villes des défilés grotesques, il n’y aurait pas grand monde à s’en prendre à eux.

Le problème des homosexuels c’est le prosélytisme

 

 

http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com

 

 

 

 

16/04/2013

Boycottons le Sidaction

L’engagement des associations de lutte contre le SIDA, comme AIDES ou ACT UP en faveur du « mariage pour tous » montre qu’en fait ces associations qui ne vivent que de subventions, sont entre les mains des homosexuels et qu’elles militent surtout en faveur de l’homosexualité et contre l’homophobie.

D’ailleurs un dirigeant d’Act Up a déclaré : « Au-delà de ce qui fait la colère d'Act Up, il y a toujours eu aussi une dénonciation de la norme, de ce qui devrait décider de ce qui est bien, de ce qui est mal, de si nos vies sont correctes ou pas. » Nous voilà bien loin de la lutte contre le SIDA.

Nous venons une fois de plus nous faire taper pendant trois jours à l’occasion du Sidaction, manifestation parrainée par Pierre Bergé. L’engagement de Pierre Bergé et des associations de lutte contre le SIDA contre les opposants au « mariage pour tous » montre bien que leur but n’est pas la lutte contre la maladie mais la promotion de l’homosexualité.

D’autant qu’en France le SIDA est devenu un problème marginal : de l’ordre de 6000 nouveaux cas sont bien déclarés en France chaque année mais, sur ce nombre, 2400 viennent de l’étranger, majoritairement d’Afrique Subsaharienne, 2500 sont des homosexuels, une centaine sont des drogués. Environ 1000 sont des hétérosexuels hommes et femmes nés en France. Le gros de l’épidémie est en Afrique subsaharienne.  

Il s’agit donc bien d’une maladie de comportement comme l’était la syphilis avant les antibiotiques. A cette époque on ne s’en prenait qu’à soi quand on attrapait la vérole.
Il ne s’agit nullement d’une cause nationale si ce n’est par le battage éhonté qui est fait dans les médias.

Puisque les organisations contre le sida et Pierre Bergé président de Sidaction, ont milité pour « le mariage pour tous » et en sont même à l’origine, je propose un boycott du Sidaction et en particulier l’envoi des dons promis, à des œuvres dont l’utilité n’est plus à prouver comme le Secours Catholique et les Petites Sœurs des Pauvres. On sait au moins que l’argent sera bien utilisé.
Je demande aussi au nom de la laïcité, l’interdiction à la télé de la ridicule caricature de légion d’honneur qui semble obligatoire quand vient l’époque du Sidaction.