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25/04/2017

Les cocus de Fillon.

Ils sont nombreux les Français électeurs du Front National à s’être portés au secours du « soldat Fillon » dans l’espoir d’arrêter Macron.                                                                                                                        

D’autres notamment appartenant à « sens commun » ou simplement catholiques ou en charge de famille avaient soutenu Fillon pour ses prises de position sur ces sujets.

Je ne reprocherai pas à Fillon d’avoir été battu, il a à l’évidence été victime d’une machination médiatico-judiciaire, par contre j’avoue avoir été écoeuré de l’entendre 5 minutes après la proclamation des résultats appeler à voter pour son adversaire. Il aurait pu avoir l’honnêteté comme le fit Mélenchon de ne donner aucune consigne de vote.

La droite française est à l’évidence la plus bête du monde mais aussi la plus minable. On ne m’y reprendra plus.

 

http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com

14:53 Publié dans actualites, Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : fillon, macron, droite

19/03/2017

L'Emmanuel.

« Comme il parlait encore, une nuée lumineuse les couvrit. Et voici qu’une voix au fort accent batave, fit entendre de la nuée ces paroles: Celui-ci est mon Fils bien-aimé, l’Emmanuel, en qui j'ai mis toutes mes complaisances: écoutez-le! L’Emmanuel se dressa et d’une vox forte dit alors : lève toi et En Marche. » (D’après St Matthieu)

Vous avez aimé Hollande vous adorerez son fils spirituel, lancé par lui dans l’échiquier politique en même temps qu’une vigoureuse action médiatico-judiciaire, menée pour déstabiliser Fillon auquel la Présidence semblait promise.

Emmanuel Macron est un mondialiste avoué, pour qui la culture française n’existe pas et qui, en Algérie accuse son pays de crimes contre l’humanité, un immigrationniste, un multiculturaliste, l’homme des banques et du libre échange, celui qui dit à chacun ce qu’il veut entendre. Il se dit de gauche et est en effet soutenu par de vieux routiers, Robert Hue, Najat Belkassem, Christiane Taubira, Bernard Kouchner, Jean Arthuis, Corinne Lepage, Jean-Paul Huchon ou Jean-Marie Cavada, tous socialistes ou verts, et par cette « planche pourrie » de François Bayrou et surtout par des hommes d’influence, Jacques Attali, Alain Minc, Pierre Bergé, BHL et Daniel Cohn Bendit, tous militant pour la mondialisation, l’Europe sans frontière, le multiculturalisme, et propriétaires de la presse.

Il est vrai que l’on peut être étonné et déçu des rapports de François Fillon à l’argent, mais quand on entend le silence assourdissant des parlementaires sur ces affaires, on peut penser que nombreux sont ceux qui ont eu des comportements similaires. De toute façon les sommes en jeu sont sans commune mesure avec ce qu’a gagné Macron chez Rothschild.

Le problème est de savoir si on veut élire à la Présidence un ascète à la morale irréprochable ou un dirigeant capable de redresser la France en faisant les réformes nécessaires. On n’entend jamais reprocher à Richelieu, Mazarin et Colbert de s’être enrichis comme ils l’ont fait sur les deniers de l’état, on ne se souvient d’eux que comme des grands ministres. La façon dont Fillon résiste à toutes les attaques avec calme et détermination incite à penser qu’il serait ferme pour gouverner.

Le plus étonnant dans cette affaire est que les droites réunies, sans exclusive, représentent 60% de l’électorat, et que l’on risque de voir élu un homme de gauche qui pendant quatre ans a participé au désastre du quinquennat.

Il faudra un jour que la « droite » comprenne que le ban où on a cantonné le Front National ne sert qu’à la gauche et qu’il n’est pas raisonnable d’avoir comme seul but de « faire barrage au F.N. »

Un accord à minima entre les deux droites, de désistement réciproque pour les législatives et l’engagement de Fillon à soutenir Marine Le Pen, s’il n’est pas au second tour, éliminerait le risque de voir Macron élu et assurerait une majorité de droite à l’Assemblée nationale.

On peut rêver mais la droite est tellement bête qu’elle préfèrera élire le digne fils de Hollande.

 

http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com

 

12/02/2017

La droite la plus bête.

La droite regroupe en France, toutes tendances confondues, environ 60% des électeurs. Néanmoins on envisage sérieusement l’élection d’un Président se disant de gauche ; Macron a effectivement été membre du parti socialiste de 2006 à 2009 avant d’être appelé par Hollande comme secrétaire général adjoint de la présidence de la République de 2012 à 2014 puis ministre de l’économie jusqu’en 2016. Il a donc largement participé au quinquennat calamiteux qui s’achève.

De 2008 à 2012 il a rejoint la banque Rotschild où il devient associé gérant. Il a profité d’un système extraordinaire qui permet à un haut fonctionnaire de se faire mettre en disponibilité de la fonction publique le temps d’exercer dans le privé des fonctions beaucoup plus lucratives. Le montant des sommes que Macron a ainsi gagnées au coté des barons de Rotschild sont sans aucune commune mesure avec les avantages que se seraient alloués les époux Fillon.

Macron est à l’évidence une machine montée par le pouvoir pour se venger de sa disgrâce et les frères trois points pour éliminer un candidat se réclamant de la religion, de l’identité française et de la famille. Il est d’ailleurs scandaleux de constater qu’aucune poursuite n’ait été engagée contre les auteurs des fuites qu’il doit pourtant être facile de localiser.

Ont participé à la promotion fulgurante de Macron, Jacques Attali, Alain Minc, Pierre Bergé, BHL et Daniel Cohn Bendit, tous militant pour la mondialisation, l’Europe sans frontière, le multiculturalisme.

La question est maintenant de savoir si le vote pour Macron par des électeurs de droite sera un bon moyen de rétablir la situation de la France dans son identité, son économie, et le rétablissement d’une vie en société conforme à leurs aspirations.

Dans les programmes de Fillon et de Marine le Pen on trouve beaucoup de points de convergence en ce qui concerne l’identité française, le gestion de l’immigration, l’Education et la politique étrangère.

Sans espérer un rapprochement des deux mouvements avant l’élection, peut être pourrait-on demander à François Fillon l’engagement de soutenir Marine Le Pen au cas de son élimination au premier tour. La réciproque allant de soi.

http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com

 

05/02/2017

Au secours, la gauche revient

 Je ne sais pas si François Fillon est punissable, je pense personnellement qu’il profite des privilèges dus ou indus de nos élus : 52 députés font travailler leur femme.

Ce que je sais par contre, c’est qu’abandonner Fillon pour voter Macron, c’est tomber dans le piège tendu par Hollande qui ourdit sa vengeance.
Macron est la création de Hollande, son fils adoptif, il n’a pas de programme mais il mène sa campagne intelligemment dépensant beaucoup plus d’argent que ce qu’on reproche à Fillon sans qu’on en connaisse la provenance, mais ceux qui le soutiennent sont un bon révélateur de ses objectifs, Alain Minc, BHL, Bergé, Cohn Bendit tous des mondialistes voulant la disparition de la France dans la Babel européenne, la libéralisation des mœurs, la fin de la famille.

Macron ne dit pas grand’chose lui même, mais s’il n’a aucun programme se contentant d’éructer à la tribune, il se réclame toutefois de la gauche. Voulons nous revoir Belkacem, peut être Taubira, et continuer à voir l’Education Nationale et la Justice aller à vau-l’eau ?

Des machines comme celle dont est victime Fillon, il y en eut beaucoup surtout contre la droite : la feuille d’impôt de Chaban, l’affaire Marcovic contre Pompidou, les diamants de Bokassa de Giscard ; par contre on a oublié le faux attentat des jardins de l’Observatoire quand il s’est agi d’élire Mitterand, puis sa double vie et Hollande se rendant en scooter chez sa dulcinée.

Le vrai problème est de savoir s’il vaut mieux élire François Fillon qui a un programme crédible pour redresser la France ou ce Rastignac aux dents longues qui tient des meetings tonitruants où il ne dit rien de ce qu’il ferait probablement par ce qu’il n’en sait rien lui même.

Si Macron est élu, le reste va suivre et nous nous retrouverons pour cinq ans avec une assemblée de gauche qui continuera son œuvre immigrationniste et anti familiale, la corruption des mœurs, le démembrement de la nation française, le naufrage de l’éducation, l’expansion de l’Islam et la prolifération des aides sociales, toutes choses qui conduiront à la faillite financière et morale.
Il faut se réveiller et comprendre que c’est une machine qui est dirigée contre Fillon et que ce n’est pas sur cela qu’on doit le juger et le récuser.

 

http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com

11/09/2016

Enseigner l'histoire de France.

Je me souviens de ce qui m’avait frappé dans mes vertes années quand on m’enseignait l’histoire de France : César et Vercingétorix, le baptême de Clovis et le « fier Sicambre », Charles Martel à Poitiers, Charlemagne sacré empereur à Rome, Jeanne d’Arc à Chinon, St Louis rendant la justice, Louis XI et Charles le Téméraire, Louis XIII et Richelieu, Louis XIV et « l’Etat c’est moi », la prise de la Bastille et la mort de Louis XVI, l’épopée de Napoléon, la conquête coloniale, la guerre de 70 et Sedan, celle de 14 et Verdun, j’en passe bien sur mais, tous ces évènements m’ont fait rêver et m’ont donné des jalons pour suivre l’histoire de la France. Bien sur il est probable que les récits en ont souvent été enjolivés mais qu’importe, ils me faisaient saisir la grandeur de mon pays et son histoire singulière. Et je pense qu’il en était ainsi de beaucoup d’entre nous. Maintenant on enseigne une histoire thématique, sans chronologie mais avec des lacunes. On ne peut plus suivre la continuité de l’histoire.

C’est bien sur voulu, par haine du nationalisme, pour ne pas peiner les nouveaux arrivés, pour ouvrir les esprits aux « valeurs de la République » et à la démocratie.

Pire dans un curieux esprit de « repentance », on bat sa coulpe pour l’esclavage, ignorant l’esclavage africain et arabe, on nie tous les apports de la colonisation, on oublie Brazza, Lyautey, on réécrit les « années les plus sombres de notre histoire ».

François Fillon a  l’autre jour déclaré qu’il fallait « réécrire les programmes d’histoire avec l’idée de les concevoir comme un récit national »

Rappelons qu’il s’agissait des programmes du collège donc d’enfants de 11 à 15 ans dont il faut structurer l’esprit et à qui il faut donner des repères et non les intoxiquer avec des idées fumeuses, manipulatrices et contestables.

Que n’avait-il dit ce malheureux Fillon, surtout en déclarant « qu’il ne faut plus apprendre aux enfants que le passé est source d’interrogations ».

Un nommé Vincent Duclert, enseignant-chercheur à lʼEcole des hautes études en sciences sociales, qui a publié « Une constitution morale », « Réinventer la République », « La France face au génocide des Arméniens » est interviewé par le Monde. Bien entendu il n’est pas d’accord : « concevoir un récit national en excluant que l’histoire puisse apprendre aux élèves le doute et l’interrogation est une grave erreur »

A quoi doit tendre l’enseignement : «  former des citoyens conscients des valeurs démocratiques et engagés dans lʼidée républicaine, il est indispensable de les éveiller à la raison critique et au devoir de penser le monde » nous voilà bien près d’une vision totalitaire. Devinez ce qu’il voit comme « événements, qui font de la France une grande démocratie : « la victoire, de la justice dans l’affaire Dreyfus, les combats de la France libre et de la Résistance, la défense de l’Etat de droit durant la guerre d’Algérie et l’abolition de la peine de mort »

Nous voilà en effet bien loin du Vase de Soissons et de l’Epopée des Croisades.

On le voit venir plus loin avec ses gros sabots : « Il faut habituer les professeurs à penser l’histoire nationale de manière à ce que l’élaboration de son récit puisse être adoptée par les élèves, condition pour qu’ils s’ils s’y insèrent sans renoncer à leur propre histoire ». Finis donc « nos ancêtres les Gaulois », vive l’école consensuelle du « vivre ensemble » sans faire de peine à personne. Du reste Monsieur Duclert le dit : il craint qu’un récit national stigmatise « les derniers arrivés ».

Et voilà la conclusion: « Il faut aller plus loin et reconnaître quʼapprendre des périodes sombres du passé est le meilleur moyen pour aider un pays à surmonter les tumultes du présent, pour quʼil ne répète pas les mêmes erreurs. »

Parents vous voilà prévenus on veut formater vos enfants.