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29/05/2014

" L'immigration aide l'emploi"

Alors que le nombre de chômeurs de catégorie A, n’ayant aucune activité, atteint le nombre de 3 364 100 avec une hausse en avril de 14 800, un chercheur du CNRS ose écrire le 28 mai dans le Monde cette affirmation péremptoire « L’immigration aide l’emploi ». Il faut quand même être courageux ; il est vrai qu’avec son statut de chercheur fonctionnaire il peut regarder l’affaire de Sirius.

Que prétend-t-il ? Faisant référence à un rapport d’un think-tank italien « les chercheurs ont établi que la concurrence des travailleurs immigrés augmente sensiblement la probabilité de promotion de travailleurs nationaux ». Il affirme même que « la concurrence des travailleurs immigrés n’affecte ni le taux d’emploi, ni la localisation des travailleurs nationaux. » et il conclue « L’immigration n’est donc pas une menace pour les travailleurs européens, mais une chance. En martelant le contraire, l’extrême droite mène inéluctablement à une régression économique et sociale ».

Cette dernière phrase montre bien que les convictions de ce « chercheur » que l’on appointe hélas, sont beaucoup plus idéologiques que scientifiques.

Ainsi il reste quelqu’un pour qui l’immigration est une chance pour la France. Je pensais que cette phrase éculée était tombée dans le domaine des affirmations mensongères comme « il ne manque pas un bouton de guêtre… » ou « la route du fer est coupée ». Et bien non il y en avait encore un.

Alors que le chômage atteint en France un niveau record, que le peuple français vient de dire par deux fois qu’il ne voulait plus de cette invasion d’immigrés inassimilables qui colonisent peu à peu des régions entières et y imposent leur façon de vivre, alors que le jour même on démolit à Calais un camp d’immigrants venus des quatre coins de l’Afrique et de l’Asie, 550 Erythréens, Soudanais, Afghans ou Syriens qui, depuis huit mois, en avaient fait leur abri de fortune, que des centaines de « subsahariens » on forcé les barrières de Ceuta et sont maintenant en Europe, que Lampedusa déborde, certains prônent une plus grande immigration.

Il est possible que les nouveaux immigrés acceptent des emplois peu recherchés par les nationaux, mais ceux ci les prendraient si ils étaient correctement payés. Mais surtout l’immigré finit par faire venir sa famille et ses enfants n’acceptent plus la vie que menait leur père et préfèrent tenir les murs des cités d’où sont partis tous les indigènes pour qui la vie devenait impossible.

L’immigration une chance pour la France, alors que plusieurs centaines de « Français » sont formés au Djihad en Syrie, maintenant mais ensuite en France comme le montre Mohamed Merah.

Le temps du « Camp des Saints » cher à Raspail est arrivé.

 

27/12/2013

L'afrique bien partie? Que non.

Le spectacle que nous offre actuellement la Centrafrique : Bangui à feu et à sang, les musulmans et les chrétiens s’étripant à la machette et à la kalach, nous informe de l’état de la majeure partie de l’Afrique noire. Car des troubles il y en a aussi au Mali, au Sud Soudan, au Nigéria, en Somalie, en RDC… C’est le lot commun de l’Afrique, qui n’a pas digéré les conflits tribaux nés de frontières artificielles, une démocratie mal digérée qui donne le pouvoir à l’ethnie la plus nombreuse non à la plus capable, à la quête d’enrichissement immédiat des dirigeants, au népotisme, à la concussion, à une gouvernance incapable des élites, au manque d’infrastructure, à l’insuffisance alimentaire, aux maladies endémiques et surtout à une croissance démographique incontrôlée.

Je suis tombé sur une chronique de Nicolas Baverez qui s’extasie :  « Au moment où la zone euro s'enfonce dans la récession et où la dynamique de rattrapage du monde développé, qui sous-tendait le développement intensif de nombre de pays émergents, tend à ralentir, l'Afrique confirme son décollage. »

Il évoque une croissance de 6,2% en 2013, mais d’où vient, sauf exception, cette croissance ? Surtout de la production de pétrole et des autres matières premières. Mais voit-t-on le développement d’une économie moderne, d’une industrie. La richesse profite principalement aux sociétés souvent étrangères qui dirigent l’exploitation et pour le reste à une minorité de nantis.

Pour que l’Afrique se développe, il faudrait privilégier l’éducation et la formation, investir dans les infrastructures nécessaires, passer de l’intérêt tribal à l’intérêt national et surtout contrôler la démographie : la population devrait passer de 860 millions à 1,8 milliard d’habitants en 2050. Malgré des possibilités évidentes mais pas exploitées, l’Afrique est en de nombreux endroits en insuffisance alimentaire, comment pourra-t-elle nourrir ce surcroit de population ? La mortalité infantile a diminué par suite d’une meilleure hygiène, de la vaccination, mais le nombre des naissances est maintenant excessif et  incontrôlé. Que vont faire tous ces jeunes en surnombre, ils vont chercher à émigrer surtout vers l’Europe comme déjà actuellement, en passant par Lampedusa, Gibraltar, les enclaves espagnoles ou l’Europe de l’est. Ca a déjà commencé.

Les conflits de la Centrafrique devraient servir à l’Europe d’avertissement.

 

26/10/2013

Mayotte le Lampedusa de l'océan Indien

Pendant que le monde se lamente sur le sort funeste des immigrés noyés à l’approche de Lampedusa et de Malte, il se passe des drames similaires dans ce département français et aussi région ultrapériphérique de l’Europe qu’est Mayotte. Le 20 octobre ce sont 131 immigrés clandestins d’Anjouan à Mayotte, transportés par cinq kwassa kwassa, qui ont été interceptés par les gendarmes et immédiatement ramenés à leur point de départ.

Et encore ceux là sont arrivés à bon port alors que depuis des années, en fait depuis que Balladur a instauré un visa entre les Comores et Mayotte, il s’en noie par centaines sans que cela émeuve grand monde.

L’année dernière 26 000 clandestins ont été reconduits du jour au lendemain sans autre forme de procès. Il est vrai que c’est insuffisant, la proportion de clandestins à Mayotte dépasse soixante pour cent. Il vaut mieux être clandestin à Mayotte où l’on reçoit soins et instruction, qu’habiter les Comores ou l’Afrique de l’Est.

On vient naître à Mayotte pour être un jour, droit du sol oblige, citoyen français et gagner l’eldorado de la Réunion ou de l’Europe et bénéficier de toutes les allocations et aides sociales. Curieux Français, musulmans à 95% souvent polygames et s’exprimant beaucoup plus en shimahoré, proche du swahili, que dans la langue de Molière.

Chaque année on compte 7 000 naissances à la maternité de Mamutzu, dont une grande partie de clandestins, mais quand même de futurs Français. C’est la première maternité de France.

Mayotte est devenue avec la Guyane une des portes de l’Europe.

L’étonnant est que maintenant les Mahorais excédés de cette invasion, demandent l’abandon du droit du sol. Des manifestants ont accueilli Victorien Lurel, ministre de l’Outremer en brandissant des banderoles l'exigeant.

Le ministre s’est contenté de rappeler qu’il n’y a jamais eu autant de reconduites à la frontière que depuis que ce gouvernement est en place. Les grandes âmes de service étaient trop loin pour entendre, mais un jour elles se réveilleront.

Quoi qu’il en soit, on peut se demander pourquoi à Mayotte on peut expulser les clandestins en quelques heures et qui faut cinq ans en France métropolitaine pour finir d’ailleurs par ne pas les expulser. Si on ramenait immédiatement ceux qu’on intercepte en mer ou qui débarquent à Lampedusa et à Malte, de l’autre coté de la Méditerranée, il est  probable que cela réduirait le flot d’immigrés.

 

16/10/2013

Le "Camp des Saints", le retour

On ne peut qu’être effaré du tour que prend l’affaire des naufragés de Lampedusa : après avoir porté secours aux naufragés plus ou moins volontaires à Lampedusa et au large de Malte, voilà que l’on va rechercher les bateaux d’immigrants pour les conduire à bon port en Europe.

Il est bien évident que ce comportement irresponsable va déclencher une recrudescence de tentatives et que l’Europe va se trouver confrontée à une invasion digne du Camp des Saints de Raspail.

Or dans le cas général, il ne s’agit pas de réfugiés politiques menacés pour leurs opinions mais de populations cherchant un avenir meilleur en Europe où elles voient l’eldorado.

L’Europe est en crise économique, le chômage règne partout et nous n’avons nul besoin de cette immigration.

Si on en croit la presse l’Afrique est en plein développement, la croissance du PIB y est plus forte qu’ailleurs de l’ordre de 5% par an. Mais la croissance démographique à peu près partout incontrôlée est supérieure à la croissance économique. De plus celle ci est due à l’augmentation de la production pétrolière et d’autres matières premières, mais à cause de la corruption généralisée cette richesse n’est pas répartie si bien que la misère s’étend au lieu de se réduire.

Les 54 pays du continent comptent depuis 2012 un total de 1,04 milliard d'habitants. Un chiffre qui devrait doubler d'ici vingt ans, représentant alors 20 % de la population mondiale.

L’Afrique serait parfaitement capable de les nourrir si elle était mise en valeur et exploitée d’une façon efficace. Ce n’est pas le cas, on pourrait compter sur les doigts d’une main le nombre de pays africains dotés d’un gouvernement digne de ce nom, je ne dis pas démocratique, là n’est pas le problème, mais capable d’assurer le développement économique du pays, d’instruire les populations et de maintenir la paix civile.

Partout s’étend le désordre, du au tribalisme, aux conflits religieux, au pillage et à la corruption. L’exploitation des richesses se fait au profit de potentats locaux et de compagnies étrangères sans évoquer la location de terres agricoles par les Chinois et autres exploitant les travailleurs locaux.

De tout cela l’Europe n’est pas responsable, les indépendances datent de cinquante ans et c’eut du être un temps suffisant pour acquérir l’autonomie nécessaire et se développer.

Il n’empêche que le surplus de population va se déverser sur nos côtes et apporter, désordre, ces populations étant largement inassimilables, et pauvreté. Il faut réagir.

Ce n’est pas le long de nos côtes qu’il faut attendre les embarcations surchargées, il faut d’abord négocier, comme on l’avait fait avec Kadhafi, avec les pays côtiers pour qu’ils empêchent les départs, et ensuite patrouiller à l’aide de bateaux et d’avions près des points de départ et y reconduire les bateaux interceptés. Pour des pays comme la Libye, qui à la suite de notre malheureuse intervention, a sombré dans le chaos il faudra probablement imposer ce retour. Qu’importe, plus les chances de réussite seront faibles moins le flux d’immigrants sera fort. Nous n’avons pas à subir cette invasion, les grandes âmes et les donneurs de leçon nous conduisent au malheur.

06/10/2013

Les crocodiles

Une écoeurante  opération de désinformation et d’intoxication est en cours pour faire croire aux Européens qu’ile sont responsables de la noyade d’immigrants au large de Lampedusa.

Voilà 500 immigrés  venus de Somalie ou d’Erythrée, où règnent les luttes ethniques et religieuses et de ce fait le malheur et la famine, pays où l’intolérance empêche tout vivre-ensemble. Ils quittent cet enfer attirés par le mirage d’une Europe où on est prêt à les accueillir , à leur donner du travail, des conditions de vie rêvée.

En fait les Européens n’en veulent pas, incapables qu’ils sont de donner du travail à leurs ressortissants, ils ne veulent pas de cette charge supplémentaire, de cette invasion qui créera insécurité et misère en plus.

Et maintenant on veut culpabiliser les Européens qui ne sont pour rien dans cette tragédie sauf de s’être encore occupés de nourrir, de soigner, d’éduquer des populations qu’au fond il vaudrait mieux laisser régler eux mêmes leurs problèmes. On verse des larmes de crocodile.

L’Europe avec ses problèmes n’a plus les moyens d’accueillir la misère du monde, et importer les problèmes des autres ne fera que compliquer la solution des nôtres. Il faut défendre nos frontières et expulser les clandestins.

Sait-t-on qu’à Mayotte, département français, où 60% de la population est constituée de clandestins venus des autres Comores et d’Afrique de l’est, on n’arrive plus à les soigner et à les instruire. Sait-t-on que chaque année des centaines de clandestins, y compris des femmes et des enfants, se noient en tentant la traversée d’Anjouan à Mayotte à bord de kwassa, embarcations de fortune,  surchargés. On les expulse immédiatement, 26 000, l’année dernière. Procédure expéditive sans quoi ce serait l’invasion, la submersion.

Il faut avoir le courage de le dire et refuser toute immigration supplémentaire. L’Afrique est un continent riche qui ne se développe pas pour raison de guerres ethniques et religieuses, de mal-gouvernance et de concussion. Ce n’est pas notre problème.