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12/03/2019

Ecolos et féministes

Il existe deux lobbies que je ne peux plus supporter : les écolos et les féministes.

Les écolos parce qu’ils veulent « sauver la planète » et pour cela me faire changer de mode de vie, me faire abandonner ma voiture, m’interdire de me chauffer confortablement, m’obliger à réduire ma consommation de viande que je devrai remplacer par des lentilles et des pois chiches - pourquoi pas des topinambours et des rutabagas, à quand la réhabilitation du gazogène ? J’ai connu ce régime pendant les années 1940-1945 et n’ai pas vraiment envie de recommencer. En plus de tout cela les écolos veulent défigurer tous les paysages de France de monstrueuses éoliennes.

Les féministes pour leur dolorisme, leurs constantes revendications motivées par des statistiques biaisées, leur agressivité à l’égard du mâle qui les harcèle, les agresse, les viole, les pauvres femmes qui sont toutes innocentes comme des enfants de Marie.

Paraphrasons le général : Femme, Femme outragée, Femme martyrisée mais Femme libérée.

L’annuelle journée de la femme – au fait pourquoi pas une journée de l’homme ?- a provoqué l’avalanche attendue d’articles sur les discriminations, le sexisme, les salaires inférieurs, la parité, le harcèlement sexuel, les mères isolées, enfin l’habituelle complainte des femmes d’aujourd’hui qui amène à se demander si elles n’étaient pas plus heureuses au temps où elles se consacraient à l’éducation de leurs enfants et au bonheur de leur mari.

Je vous épargnerai le florilège de toutes ces doléances, je citerai toutefois deux articles qui m’ont bien réjoui.

Par le premier j’ai appris que le Quai d’Orsay venait d’être mis à l’amende de 450 000 euros pour ne pas avoir proposé assez de femmes comme ambassadeur, il paraît que la ressource était insuffisante. «Longtemps, les ambassadrices furent confinées dans des petits pays ou des postes à moustiques, surtout si elles n’avaient pas fait l’ENA ». Un Etat qui met à l’amende ses ministères, on aura tout vu. Gageons que l’argent récupéré va aller à l’hystérique secrétariat d’état chargé de l’égalité entre les femmes et les hommes.

Le second article est encore plus étonnant :

Un collectif de personnalités, voulant lutter contre l’analphabétisme sexuel, « dénonce la représentation tronquée du clitoris dans la majorité des manuels scolaires de sciences naturelles » la conséquence est qu' un quart des filles de 15 ans ne savent pas qu’elles possèdent un clitoris.

« Nous devons lutter, encore aujourd’hui, pour faire tomber un des bastions du patriarcat : celui de la non-reconnaissance du clitoris comme un organe du plaisir féminin, au même titre que le pénis est un organe du plaisir masculin. »
Décidément les femmes ne cesseront jamais de m’étonner.

 

03/07/2018

Supplique aux annonceurs

Messieurs, mesdames les annonceu.rs.ses, ( l’ai-je bien descendu ?) je vous en supplie cessez de nous infliger à longueur de journées et de préférence aux heures des repas des annonces répugnantes pour des serviettes hygiéniques, des protège-slips, des culottes contre les fuites urinaires, jusqu’au produits pour se nettoyer le troufignon, et encore je ne parle pas des déodorants et des régimes amaigrissants. Je ne méconnais pas les petits problèmes des femmes mais la moitié de vos spectateurs sont de hommes. Je sais que dans cette période de féminisme invasif, je vais encore me faire traiter de macho. J’assume.

Il y a une presse féminine contentez vous d’y publier vos réclames.

18/11/2017

Les mecs, il est temps de réagir

Alors les mecs, combien de temps supporterez vous sans réagir de vous faire traiter d’obsédés sexuels et de violeurs par des mégères aigries et revanchardes.

Peut être êtes vous culpabilisés, tétanisés, moi pas.

Si ces femmes sont capables d’égaler un homme comme policière, soldate, qu’elles assument et fassent une grosse tête à ceux qui les harcèleraient plutôt que de se lamenter et d’accuser tout le monde de n’importe quoi.

Il est temps de réagir et de remettre les choses en place, de ne plus faire semblant de prendre plaisir à torcher vos chiards et à faire le ménage, d’ailleurs les femmes le font bien mieux que nous, essayons si c’est possible de ne pas nous en mêler.

Certaines dames nous considèrent comme des distributeurs de sperme pour leur permettre de faire toute seule des enfants orphelins de père, quand elles n’auront rien de mieux à faire.

Quand on lit la presse féminine c’est, régime amaigrissant, effacement des rides, sous vêtements en dentelle minimalistes, de quoi s’agit-il ? De séduire. Alors qu’elles ne se plaignent pas si ça marche. D’ailleurs si on ne leur fait pas de compliments, si on ne les drague pas, elles seront bien déçues.

Le grotesque de ses harpies atteint des sommets quand elles se mettent à vouloir réformer la langue. Leur écriture soi disant inclusive est en fait exclusive : quand vous dites « les Français » on comprend qu’il s’agit de tous les Français, quand on dit « Françaises et Français » comme il se fait maintenant au plus haut niveau, on divise le peuple français en deux parties qui peuvent se faire la guerre, prendre le pas l’une sur l’autre comme veulent le faire certaines excitées maintenant. Quand je vois que certaines se plaignent maintenant qu’on ait féminisé « auteur » en « auteure » plutôt qu’en « autrice » je ne peux que penser aux « précieuse ridicules ». D’ailleurs je leur suggère deux autres possibilités : « auteuse » ou « autoresse », voilà de quoi alimenter un débat dont chacun verra l’intérêt primordial.

Les mecs, il faut réagir et reconquérir une place que nous n’aurions jamais du quitter, ne laissons pas les femmes nous envahir de leurs jérémiades et de leurs lamentations, mettons les au pas.

Personnellement elles commencent à me les briser menu.

 

16/02/2014

ABCD et lavage de cerveau

Les « ABCD de l’égalité » qui prétendent établir l’égalité entre filles et garçons et pour ce faire n’hésitent pas à projeter des films ambigus prônant la normalité de l’homosexualité auraient semble-t-il eu des précédents depuis 30 ans.

Le Monde du 14 février publie l’interview d’un directeur d’école maternelle qui affirme que cela dure depuis l’élection de Mitterand en1981 sous l’impulsion de mouvements féministes. Des textes auraient été publiés régulièrement pour demander aux enseignants  « de lutter contre les stéréotypes du sexe ». Pour ce qui est de la lutte contre l’homophobie, l’impulsion est venue dans les années 1990, des associations homosexuelles comme Act Up puis des syndicats d’enseignants. Apparemment les associations de parents n’ont pas été consultées.

« Jusqu'à présent, la lutte contre les inégalités était essentiellement le fait d'initiatives individuelles d'enseignants, de chefs d'établissement ou d'inspecteurs. Le ministère semble avoir pris acte de cette situation dénoncée depuis plusieurs années par les chercheurs en éducation, les mouvements féministes, et plus récemment l'inspection Générale de l'éducation Nationale. Cette dernière a dressé, en 2013, un bilan extrêmement sévère de la situation. L'objectif des ABCD est d'engager une dynamique en créant des outils nationaux et en proposant une formation - encore insuffisante - afin d'aider les enseignants à interroger leurs pratiques à l'aune de l'exigence d'égalité des sexes. » Prétendre comme le fait le ministre et sa collègue Khmère Rose, qu’il ne s’agit que de fantasmes est donc un mensonge éhonté, il y a bien une volonté de reconditionner les enfants.

Et notre directeur d’école de continuer : « L'erreur est de croire qu'une école qui se préoccuperait uniquement du « lire-écrire-compter » est possible. Le genre est déjà là lorsque vous apprenez la règle de grammaire qui veut que les pluriels mixtes s'accordent au masculin. Et les enfants le perçoivent ! »

L’apprentissage de la grammaire est donc sexiste, heureusement qu’elle n’est plus guère enseignée.

Mais il y a un autre aspect de la question qui n’est jamais évoqué : le métier d’enseignant est quasi totalement féminisé dans le primaire : 82% et 91% en prenant le privé en compte. On peut se demander, dans ces conditions, comment il se ferait que les garçons soient mieux traités que les filles. Ces dames ont tous les moyens de redresser la situation si toutefois elle a besoin de l’être, sans procéder à des lavages de cerveau dignes d’un régime totalitaire.

Le formateur Jean-Louis Auduc qui a écrit un essai: « Sauvons les garçons! » affirme pour sa part qu’avec la féminisation des métiers d’enseignement, les garçons ne rencontrent plus de modèles masculins auxquels ils peuvent s’identifier.

Il y a là un autre aspect des choses qu’il conviendrait de prendre en compte. La féminisation vient du système de recrutement après une formation universitaire plus longue ; Or à l’université on trouve jusqu’à 70% de femmes dans les filières lettres ou langues, sciences humaines et sociales. De plus ce métier permet de concilier vie professionnelle et vie familiale.

Il conviendrait de revenir aux errements antérieurs, quand on recrutait les instituteurs par concours après le bac et qu’on les formait à ce métier difficile en deux ans dans une Ecole Normale. On pourrait là aussi exiger la parité, pour une fois au profit des hommes.

 

 

 

 

 

10/01/2013

Ecoles catholiques

Faut il que l’enseignement catholique ait renoncé à sa mission d’évangélisation pour qu’on puisse lui reprocher de défendre les positions de l’Eglise. Car enfin les parents qui mettent leurs enfants dans une école catholique le font peut être pour d’autres motifs mais ne peuvent ignorer le projet qui devrait être celui de tout établissement catholique qu’il soit sous contrat ou hors contrat : donner à leurs élèves, en plus d’un enseignement de bon niveau, la connaissance de la religion catholique et de son enseignement.

Que tous les élèves ne soient pas catholiques n’est pas une raison pour négliger toute formation religieuse.

Je pense que ce n’est pas le cas dans les écoles juives sans que ça n’étonne ou scandalise qui que ce soit.

D’autant que l’enseignement laïc ne se prive guère de défendre des thèses, qui sont loin d’être neutres, rappelons nous l’affaire du « gender » et Najat Vallaud-Belkacem féministe à tous crins, voulant lutter « contre les stéréotypes et le sexisme d’habitude »  et pour cela « agir sur les mentalités ».

Et là personne ne s’indigne.