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20/10/2021

Energie et écolos

Le cout de l’énergie ne cesse de croitre, essence, gazole, électricité, gaz, fuel domestique tout s’envole. Le gouvernement affolé craint de nouveaux gilets jaunes. Je voudrais rappeler certaines décisions à destination des écolos et qui ont fait s’envoler le cout de l’énergie :

Arrêt de la centrale de Fessenheim qui ne demandait qu’à produire au moins pendant dix ans à bas cout.

Interdiction de rechercher du pétrole et du gaz dans tout le territoire français y compris nos DOM-COM et nos ZEE.

Taxation de l ‘électricité pour financer les énergies dites renouvelables : éoliennes, panneaux solaires.

Arrêt de la construction de nouvelles centrales nucléaires en France.

Vente d’électricité nucléaire à faible prix aux autres fournisseurs d’électricité.

Achat de gaz à l’Algérie à prix fort.

Taxation aberrante des produits pétroliers.

Taxe carbone.

Tout ça pour complaire à l’Europe et faire plaisir aux écolos qui rêvent d’une France à vélo comme je l’ai connue pendant les heures les plus sombres de notre histoire.

On voit déjà des vélo-taxis version occidentale du cyclo-pousse. C’est ce qu’on appelle la progrès

 

11/03/2021

Fukushima: dix ans

Il y a dix ans un tsunami très violent entrainait la perte de trois réacteurs nucléaires à Fukushima. Cette catastrophe nécessita l’évacuation de plusieurs dizaines de milliers d’habitants, des travaux gigantesques pour reprendre le contrôle des réacteurs dont les cœurs avaient fondu, assurer leur refroidissement, diminuer la radioactivité de la zone.

Encore actuellement des centaines de tonnes d’eau radioactive, nécessaires au refroidissement des réacteurs, sont stockées journellement dans des réservoirs. Dix ans après donc, la situation n’est pas revenue à la normale. On prévoit que le démantèlement total sera achevé en 2051.
Il faut quand même remarquer que la plupart des victimes, 22500, sont imputables au tsunami et non à l’accident nucléaire.

Cet accident était prévisible, il y avait déjà eu à Fukushima plusieurs tsunamis de la même ampleur, et même annoncé par un géologue. A la construction de la centrale le risque avait été accepté pour limiter le coût de la centrale. Accepter un risque n’est pas en soi condamnable si on prévoit les moyens d’en palier les conséquences ce qui n’avait pas été fait, les réacteurs se sont trouvés sans électricité pour maintenir leur refroidissement.

L’accident de Fukushima a eu de graves conséquences pour l’avenir de l’énergie nucléaire, le plus bel exemple en est la décision allemande de renoncer à l’énergie nucléaire comptant sur le développement des énergies « renouvelables » pour assurer la production d’électricité. Ils sont loin du compte, plusieurs centrales nucléaires sont encore en service, on utilise en grande quantité le charbon souvent de mauvaise qualité. L’obstination de madame Merkel de voir terminer le gazoduc Nordstream 2, pour acheminer du gaz russe montre l’impasse dans laquelle l’Allemagne s’est fourvoyée.

Cela n’empêche pas les écolos français de prêcher la sortie du nucléaire qui depuis 40 ans fournit à la France une énergie sure, permanente et bon marché.

On peut espérer que le bon sens prévaudra et que nous entreprendrons le remplacement des plus anciennes centrales. Seulement vingt ans sans construction de réacteurs ont entrainé une perte de compétence à l’origine des énormes surcoûts et des reports de longues années de la mise en service des réacteurs finlandais et de Flamanville.

La prise en compte de l’expérience de Fukushima a nécessité un renforcement considérable des règles de sécurité augmentant les coûts de construction.

Pourtant l’énergie nucléaire qui ne produit pas de CO2 est la seule solution pour tenir les objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre. La Chine prévoit de construire plus de 100 réacteurs, la Russie et la Corée en proposent à la vente.

La France a été longtemps la référence pour l’industrie nucléaire maitrisant toute la chaine de la production d’uranium au retraitement des combustibles, il serait navrant que nous soyons obligés de faire appel à d’autres pays. Il faut que l’Etat mette en place une politique volontariste pour retrouver les compétences humaines et industrielles nécessaires et assure le financement de la construction des réacteurs assurant la satisfaction de nos besoins en électricité.

16/12/2020

Convention, piège à con

La France dispose d’un gouvernement et d’un parlement de deux chambres, il paraît que ça ne suffit pas : il faut consulter le peuple directement. Alors on invente la « convention citoyenne pour le climat » constitué de 150 citoyens tirés au sort, du tout venant pas spécialement formé, et on leur demande de faire des propositions pour « sauver la planète ». Comme ces braves gens n’y connaissent rien on les entoure d’un « Comité de gouvernance » présidé par Thierry Pech, directeur général de Terra Nova, et Laurence Tubiana, présidente directrice générale de la Fondation européenne pour le climat, négociatrice de l'accord de Paris sur le climat, deux écolos purs et durs, qui veillera à ce que les décisions aillent dans le bon sens. On ajoute un « Groupe d’appui et comité logistique », constitué d’experts pour conseiller les membres de la convention, on choisit des écolos bon-teint qui veilleront à ce que les débats ne s’écartent pas de la doxa écolo et finalement on obtient 150 propositions sensées venir de la Convention. Selon Le Monde, les experts du groupe d'appui « sont parfois allés jusqu’à orienter les débats », « pour s’assurer que les citoyens ne ratent pas un sujet », autrement dit les pauvres citoyens ont été manipulés.

Bien entendu il y a des choses auxquelles on peut souscrire comme : « Mettre en place des mentions pour inciter à moins consommer », ou « Protéger la capacité des océans à stocker du carbone » ça ne mange pas de pain.

Mais on s’en prend à l’aviation quand elle est dans le 36° dessous, en mettant en place une « une éco-contribution kilométrique », en organisant « progressivement la fin du trafic aérien sur les vols intérieurs d'ici à 2025 »

On veut contraindre propriétaires et bailleurs « à rénover de manière globale d’ici à 2040 » sans se préoccuper de savoir qui financera, et on veut pouvoir  « Faciliter les réquisitions de logements et bureaux vacants », tant pis pour les propriétaires.

Et puis il faut que nous changions nos habitudes alimentaires : « Passer à un choix végétarien quotidien dans la restauration collective publique » On en viendra au véganisme… S’ensuit une batterie de mesures ramenant l’agriculture au temps de Sully et sa poule au pot tous les dimanches. Il y a des recommandations admirables comme «Mettre en place des chèques alimentaires pour les plus démunis à utiliser dans les associations  pour le maintien d'une agriculture paysanne ou pour des produits bio »

Quand on lit tout ça on se dit que c’est l’œuvre de spécialistes adeptes de la décroissance et que les 150 malheureux pris en otage n’ont pas compris ce qu’ils signaient. Faire croire qu’ils ont voté unanimement pour toutes ces propositions en les comprenant, est bien improbable.

Et maintenant on apprend que la convention se plaint de ce que le gouvernement ne retient que 40 de ses propositions. Mais la convention c’est qui, une poignée d’activistes, les « experts » ? On ne me fera pas croire que les 150 montent au créneau ou alors c’est qu’ils ont été complètement aliénés.

Remarquons qu’une impasse totale est faite sur l’énergie nucléaire, bête noire des écolos, alors que l’on veut faire abandonner le chauffage au fuel et au charbon, ce qui augmentera le recours à l’électricité.

Le plus étonnant est que Macron veut organiser un référendum pour inscrire la préservation de l’environnement et de la biodiversité dans l’article 1 de la Constitution, ce referendum tout a fait inutile risque de se transformer en plébiscite pour ou contre Macron. La réponse n’est pas évidente et le piège risque de se refermer.

21/10/2020

En guerre

« Nous sommes en guerre », déclarait le Président, contre le virus, et rien n’a été fait pour nous préparer à la seconde vague.

« Ils ne passeront pas » déclarait le Président parlant des islamistes alors qu’il y a beau temps qu’ils sont installés en France et multiplient les actes terroristes. L’assassinat d’un professeur met tout le monde en émoi mais dans quinze jours ce sera oublié comme les cas précédents et rien ne sera entrepris pour arrêter l’invasion.

Tout ce qu’on fait en France alors que l’économie est en ruine, qu’on est en guerre contre la pandémie et le terrorisme, que les Français subissent des contraintes limitant leur liberté et se sentent de plus en plus menacés dans leur sécurité, c’est de voter des lois sous la pression du lobby écolo. « Arrêtez d’emmerder les Français disait Pompidou », maintenant on veut pénaliser les propriétaires de voiture pour le poids de leur véhicule, on veut gêner la circulation pour qu’ils se convertissent au vélo ou à la trottinette, on veut limiter les voyages en avion, interdire la consommation de viande, la chasse y compris la chasse a courre et toutes les chasses traditionnelles. On fait voter des lois pour protéger les visons, libérer les lions des cirques et les orques d’Aqualand. Certains s’en prennent même aux arbres de Noël. 150 Français incompétents, tirés au sort et manipulés exigent qu’on applique les mesures qu’ils ont votées qui nous conduiront à la décroissance et à une société Amish.

Alors qu’on commence à manquer d’électricité, et qu’on pollue les paysages qui font la beauté de la France de milliers d’éoliennes inefficaces, on stoppe sans raison la centrale de Fessenheim qui ne demandait qu’a fonctionner encore de nombreuses années.

Quant on fait la guerre on s’y consacre entièrement et on ne vote pas des lois « bioéthiques » autorisant l’infanticide.

La France vit sous la contrainte et l’insécurité et on fait n’importe quoi pour complaire à une bande de gauchistes irresponsables et ne pas contrarier une population immigrée qui veut nous imposer son mode de vie.
De tout cela il faudra se souvenir dans deux ans.

 

03/07/2020

Plus vert que moi je meurs

Depuis des mois sinon des années tous les partis de droite comme de gauche déclarent « hors de l’écologie pas de salut », eh bien les Français, au moins ceux qui ne se sont pas abstenus ont voté pour les Verts. Logique.

Malheureusement ils ne tarderont pas à s’apercevoir, qu’ils vont être emmerdés pour leur voiture qui consomme trop, leur chauffage trop polluant, leur logement qu’il faut isoler d’urgence, qu’on finira bien par leur imposer une taxe carbone, que l’électricité va augmenter. On va arrêter des centrales nucléaires qui comme Fessenheim ne demandent qu’à produire.

On va leur dire manger bio, pas de viande, pas d’emballage, pas d’huile de palme, pas de soja, pas d’engrais, pas de produits phytosanitaires, etc… Du coup tout va augmenter et on sera obligé d’importer ou de se serrer la ceinture..

On va les empêcher de prendre l’avion, d’entrer dans les villes en voiture dans l’espoir qu’ils se déplacent à vélo, à trottinette, en métro. On va remplacer les rues par des pistes cyclables.

Ils vont voir pousser de monstrueuses éoliennes tout autour de chez eux, c’est affreux et ça les rendra malade.

On va les obliger à habiter des immeubles qui occupent moins de place que la maison dont ils rêvent

On va voir proliférer les ours, les loups, et autres espèces protégées, qui ravageront les cultures et les troupeaux.

On va leur raconter n’importe quoi, comme on l’a fait aux 150.

Et comme les écolos sont gens de gauche, on va ouvrir largement les portes aux immigrés, on va faire repentance pour l’esclavage, la colonisation, les discriminations en tout genre, raciales, sexuelles.

Et pendant ce temps là on entendra rigoler les Chinois, les Indiens, les Polonais, les Allemands, les Américains qui bruleront du charbon à tout va et qui finiront par nous bouffer bio.

Pauvre France.

15:42 Publié dans actualites, Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : écolos, verts