28/08/2019
Migrants, naufragés, demandeurs d’asile, clandestins.
Je suis marin et donc très sensible au devoir d’assistance à des personnes ou à des bâtiments en difficulté appelant à l’aide. Les bâtiments les plus proches doivent se dérouter pour porter assistance et les moyens de sauvetage sont automatiquement mis en œuvre quelques fois au péril de la vie des sauveteurs.
Ce n’est absolument pas le cas de « migrants » qui se mettent volontairement en danger en appareillant sur des embarcations de fortune incapables de les conduire à bon port.
Il n’y a pas dans ce cas droit à assistance tant que les personnes ne sont pas en danger c’est à dire tant que les migrants ne sont pas devenus des naufragés dont la vie est immédiatement menacée.
Tout bateau est dans ce cas tenu de porter assistance aux naufragés dont ils sont proches.
Je voudrais à ce sujet faire une remarque que je n’ai lue nulle part : la route maritime allant de Suez à Gibraltar est très fréquentée par tous les bateaux se rendant en Europe occidentale ou en venant, en particulier par la Manche et la mer du Nord. Ce trafic dessert de très grands ports, Le Havre, Anvers, Amsterdam, Hambourg sans parler des ports méditerranéens, Gènes, Marseille, Barcelone. Chaque jour des dizaines de cargos et de navires à passager passent au nord de la Libye et au sud de la Sicile, or jamais au grand jamais on a appris qu’un de ces bateaux s’était dérouté ou avait récupéré des naufragés. Ceci signifie que pour les capitaines de ces bateaux les migrants qui s’exposent volontairement ne sont pas des naufragés.
Les bateaux des ONG qui vont à la recherche de migrants au large de la Libye et de la Tunisie ne sont pas là pour sauver des naufragés mais pour transférer des migrants en Europe. Dans ces conditions les états riverains n’ont aucune obligation d’accueillir ces migrants. Les ONG exercent un chantage qui a pour effet d’augmenter le flux des migrants dont le but unique est de débarquer en Europe. Quand on sauve un ou des naufragés on les débarque dans le port le plus proche qui peut être en Tunisie, en Algérie, voire en Egypte d’où ils sont reconduits vers leur pays d’origine.
C’est ce qui se passe pour les migrants tentant le traversée de la Manche, ils sont ramenés en France.
Dans le cas actuel les migrants une fois débarqués en Europe deviennent des demandeurs d’asile quel que soit leur pays d’origine et acquièrent des droits à des aides et si leur statut de demandeur d’asile ne leur est pas reconnu, ils disparaissent dans la nature et deviennent des clandestins souvent inexpulsables. Si on veut tarir ce flux il faut que tous les pays d’Europe aient la même politique de fermeté et refusent à céder au chantage des ONG, dont il serait intéressant de savoir qui les finance.
15:49 Publié dans actualites, Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : migrants, naufragés, demandeurs d'asile, clandestins, ong, o
21/08/2019
Catastrophisme
Pour le climatosceptique que je suis, qui n’arrive pas à croire que les activités humaines soient à l’origine du réchauffement climatique actuel, les articles du GIEC relèvent de la désinformation et du terrorisme intellectuel. Le but en est de culpabiliser l’homme blanc, responsable de tous les maux de la planète, les Etats Unis qui exportent produits alimentaires et énergétiques auraient besoin de 5 planètes pour maintenir leur mode de vie, le France seulement de 2,7 planètes, alors qu’on ne note aucun épuisement de ces pays qui aident, soignent et nourrissent une grande partie des populations notamment africaines.
On ne peut que sourire quand on lit dans le dernier rapport du GIEC, que « La durabilité de l’usage des sols passe aussi … par la sécurisation des droits fonciers et de l’accès aux terres, notamment pour « les femmes, les peuples autochtones et les communautés locales » , par l’implication de ces populations, y compris les personnes « pauvres et marginalisées » dans la prise de décision et la gouvernance, et par la prise en compte des pratiques et des savoirs de ces peuples ». Quand on voit la surface nécessaire à la survie des populations amazoniennes et de la Papouasie, on se dit d’une part que les populations développées ne sont pas prêtes à adopter leur mode de vie et que si elles le faisaient la planète ne pourrait nourrir que quelques millions d’habitants.
Les pays développés sont accusés d’épuiser les ressources de la terre nourricière, alors qu’il y a peu de jours Le Monde s’extasiait devant la belle moisson de blé et d’orge de cette année, en France et dans une grande partie de l’Europe qui malheureusement devraient subir une baisse des cours du blé tendre.
Ce qui est étonnant dans les rapports du GIEC est la prétention que la planète est un ensemble homogène, où on vit et mange de la même façon et l’affirmation que si j’abandonne la viande pour me nourrir de pois-chiches et de lentilles, les 500 millions de personnes vivant dans les zones en cours de désertification, notamment les populations les plus touchées de l’Asie du sud et de l’est, de la zone saharienne et du moyen orient, verraient en quoi que ce soit leur sort s’améliorer.
Le GIEC n’évoque que du bout des lèvres la vraie cause de la désertification et de l’insécurité alimentaire de certaines populations qu’est la croissance démographique. Si l’Afrique et l’Asie du sud arrivaient à limiter leur croissance démographique le problème de la « survie de la planète » serait vite résolu.
Enfin on ne peut totalement désespérer, Le Monde pour qui les prophéties du GIEC sont paroles d’évangile, a publié deux articles qui me redonnent quel qu’espoir : Le premier (Le Monde du 16 août) sous la signature de Christophe Ramaux, intitulé « Les collapsologues ravalent le politique à un mode religieux » déplore que l’écologie soit devenue une religion apocalyptique et cite Yves Cochet qui a déclaré qu’il n’y aurait qu’une « moitié survivante de l’humanité dans les années 2040 » Les collapsologues nous invitent à nous « réensauvager », à « renouer avec nos racines profondes » : Repentez vous la fin du monde est proche.
Le second intitulé : « Ecologie, climat : l’effondrement n’est pas inéluctable » (Le Monde du 17 août) ose dire que la panique de la collapsologie est tout aussi paralysante que les certitudes des climatosceptiques » Merci pour ceux ci. Les zélateurs d’un effondrement imminent, en quelques décennies ne peuvent préciser de quoi il s’agit. Quoi qu’il en soit « Nous sommes aujourd’hui confrontés au plus grand problème environnemental de l’histoire humaine : le dérèglement climatique » - C’est faux, les climats ont souvent évolués dans un sens ou dans l’autre sans compromettre la survie de l’humanité qui a su s’adapter. La conclusion de cet article détonne de l’ambiance actuelle : « Loin de tout romantisme mièvre, c’est l’expérience concrète de l’amour de la vie, la tendresse partagée entre nous et avec notre environnement – bien plus que la panique face à la fin du monde – qui invitent à agir. Seule la soif d’un monde plus humain peut nous donner l’énergie collective nécessaire à l’invention d’une sobriété heureuse et nous sortir de notre fascination morbide pour l’accumulation de nos déchets. Cet amour peut et doit être exigeant. Le temps presse » : Les bizounours sont de retour.
15:29 Publié dans actualites, Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : climatosceptique, giec, collapsologue, ecologie, climato sceptiques
11/08/2019
Ne pas discriminer les mères lesbiennes
Devant l’offensive médiatique tendant à imposer la PMA pour toutes les femmes en particulier les ménages de femmes lesbiennes, on peut s’interroger sur le nombre de femmes qui y feront appel et sur la nécessité de bouleverser la filiation telle qu’elle existe en France. En 2017, 228000 mariages ont été célébrés dont 7000 entre homosexuels des deux sexes. Si en première analyse on admet qu’il y a eu autant de mariages entre femmes qu’entre hommes, on arrive à 3500 mariages entre deux femmes. Comme il est parfaitement évident que tous les ménages de deux lesbiennes ne feront pas appel à la PMA, on constate que cette pratique n’intéressera que quelques centaines de ménages par an. On est dans le marginal, dans ces conditions il est très excessif de révolutionner les règles de filiation pour des femmes qui d’ailleurs, pourraient procréer comme tout le monde.
Le projet de loi de bioéthique prévoit pour les mariages de deux lesbiennes d’établir la filiation à l’égard de leurs enfants conçus par don de gamètes par une « déclaration anticipée de volonté » signée par le couple dès le consentement au don. Elle met ainsi en place un dispositif refusant toute hiérarchie entre la mère qui accouche et celle qui n’accouche pas. L’Etat signifie ainsi qu’aux yeux de notre droit ses deux mères sont parfaitement à égalité de statut et de droits. Il en résulte qu‘en cas de divorce l’enfant peut être confié à l’une ou l’autre mère, éventuellement celle qui n’a pas accouché et qui n’a donc aucun lien biologique avec lui. Remarquons que dans ce cas on est bien proche de la gestation pour autrui qui est interdite.
Autre disposition nouvelle, le projet de loi de bioéthique reconnaît le droit à une personne née à la suite d’un don de gamètes, à sa majorité, de connaître l’identité du donneur à qui elle doit la vie. Evidemment ça responsabilise le donneur qui jusqu’à maintenant se comportait comme un taureau charolais, ne se préoccupant pas de sa descendance. Mais que fera un donneur qui au bout de dix huit ans verra se manifester ses enfants, peut être par dizaine ? Quelle sera sa place pour chacun de ses enfants qui auront ainsi deux mères et un père ?
Les couples hétérosexuels qui font appel à un donneur pour des raisons de stérilité ne sont pas tenus de révéler à leurs enfants la particularité de leur origine.
Les organisations homosexuelles considèrent cette différence de traitement comme une mesure discriminatoire pour les mères lesbiennes « Il faut impérativement amender ce projet de loi et étendre la « déclaration anticipée de volonté » à tous les enfants conçus par don. Quel que soit le sexe de leurs parents, les enfants doivent bénéficier des mêmes garanties au regard de leur droit d’accès à leurs origines ». Ce n’est peut être pas l’avis des parents. On peut même lire cette phrase admirable « Il est temps de sortir de cet héritage d’allégeance au modèle « biologique » qui n’a fait que du mal, et de revendiquer que les familles issues de don sont des familles tout aussi dignes que les autres. »
Le modèle biologique qui n’a fait que du mal ! Il paraît que l’on discrimine les enfants de parents hétérosexuels en leur refusant une garantie d’accès à leurs origines. Les parents ont peut être le droit d’informer ou non leurs enfants. Décidément l’exception voire l’anomalie devient la norme.
Faut il vraiment bouleverser les règles de filiation pour quelques lesbiennes en mal d’enfant ?
15:28 Publié dans actualites, Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pma, lesbiennes, mariage homo, doneurs, filiation
06/08/2019
Combien de planètes?
Comme tous les ans le club de réflexion Global Footprink Network donne une date où l’humanité est sensée avoir consommé les ressources de la planète pour l’année. Cette année c’était le 29 juillet.
Comme d’habitude l’étude culpabilise les pays développés producteurs de richesses qui généralement se nourrissent eux mêmes quand ils ne nourrissent pas le reste de la planète. Il paraît pour le WWF France« qu’à l’échelle de la planète, nous avons pêché plus de poissons, abattu plus d’arbres et cultivé davantage de terres que ce que la nature peut nous offrir au cours d’une année». Qu’est ce que ça veut dire : encourage -t- on les pays qui ne produisent rien, n’exploitent pas les richesses potentielles tant agricoles que minières. Curieusement l’Afrique n’est citée nulle part et ne fait l’objet d’aucune statistique. Que veut on dire quand on déclare que nous avons pêché trop de poissons ? La pisciculture permet de développer une production de poissons dont on ne voit pas les limites. On abat trop d’arbres mais les forêts des pays développés notamment en France sont en croissance.
Les Etats unis sont accusés d’avoir besoin de 5 planètes pour maintenir leur mode de vie mais les Etats Unis sont exportateurs agricoles, pétroliers.
Depuis des décennies on nous menace de l’épuisement des ressources pétrolières, on n’arrête pas de trouver de nouveaux gisements, d’exploiter des ressources non conventionnelles pétrole et gaz de schiste.
Il est amusant de constater que les Etats unis sont les grands coupables avec 5 planètes, la France aurait besoin seulement de 2,7 planètes. Sur quelles réserves tirons nous plus que nous produisons ? Notre agriculture nourrit largement notre population et on ne voit pas qu’il y ait un problème de renouvellement des ressources, la population est stable ou en très faible croissance, et c’est le cas de tous les pays développés traités comme des prédateurs comme la Suisse, l’Allemagne ou l’Italie.
Le seul pays qui ait grâce aux yeux du Global Footprink Network est l’Inde qui n’aurait besoin que de 0,7 planète, l’Inde avec sa misère, ses enfants au travail – environ 60 millions d’enfants -, sa croissance démographique - 1,25% par an -, l’illettrisme. On prévoit que l’Inde deviendra le pays le plus peuplé du monde en 2025.
L’Afrique ne fait l’objet d’aucune statistique, sa croissance démographique est de 4% par an, sa croissance économique d’environ 2,5% par an. L’Afrique s’appauvrit par habitant qui déjà pauvre, émigre et submerge la planète.
Et comme tout cela n’est pas très convainquant on va chercher la tarte à la crème : l’émission de CO2 si bien que pour la France «Le point noir est la voiture individuelle qui compte pour 16 % des émissions totales de CO2 du pays». La bagnole toujours la bagnole cette bête noire absolue. Circulons à pied, à vélo ou en bus, et condamnons toute l’industrie automobile.
Décidément les écolos voudraient nous ramener au moyen âge où comme chacun sait le manant se gobergeait d’une poule au pot tous les dimanches.
14:35 Publié dans actualites, Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : planètes, poissons, arbres, afrique, inde, bagnole
02/08/2019
Plaidoyer pour l'énergie nucléaire
« En France on n’a pas de pétrole mais on a des idées » Dés les années 50 des gouvernants visionnaires décident de faire appel à l’énergie nucléaire pour accroitre l’indépendance énergétique de la France. A partir de 1957 on développera une filière nationale dite « graphite gaz » qui avait pour avantage de fonctionner à l’uranium naturel. Les six réacteurs de cette filière sont maintenant arrêtés.
La France choisit alors d’exploiter une licence Général Electrique de réacteurs PWR -Pressurised Water Reactor – qui nécessite de l’uranium enrichi. Celui ci sera produit par l’usine d’enrichissement de Tricastin.
58 réacteurs à eau pressurisée seront construits de 1971 à Fessenheim à 1991 à Civaux, ce réacteur étant terminé en 1997. La filière a évolué, les premiers réacteurs produisaient 900 MW, les derniers 1400 MW .
La filière PWR est la filière la plus exploitée, il y a plusieurs centaines de réacteurs PWR au monde, la France en exploitant 58 produisant 72% de l’électricité française.
Remarquons que depuis le début de leur fonctionnement, il y a près de 50 ans les réacteurs français n’ont jamais eu d’avarie mettant en jeu la sécurité des personnes.
Le seul accident important sur un PWR a eu lieu aux Etats Unis à la centrale de Three Mile Island en 1979, il a entrainé la perte du réacteur mais n’a provoqué aucune victime et une faible émission de radioactivité.
A une époque où on se préoccupe de l’émission de CO2, constatons que le nucléaire est la seule source d’électricité continue qui ne produit pas de « gaz à effet de serre ». Les filières dites renouvelables, éoliennes et panneaux solaires nécessitent des centrales à gaz pour les suppléer pendant qu’elles ne produisent pas. Une éolienne ne produit que 25% de ce qu’elle produirait si elle fonctionnait toujours à pleine puissance.
Pour des raisons inexpliquées les écologistes veulent « sortir du nucléaire ». C’est la raison pour laquelle la loi de transition énergétique a prévu de ramener à 50% la part du nucléaire dans la production française d’électricité et d’arrêter prématurément des réacteurs pouvant encore fonctionner de nombreuses années moyennant une refonte. Le site le plus emblématique est la centrale de Fessenheim sur le Rhin.
La sortie allemande du nucléaire a entrainé une augmentation de la consommation de charbon et une hausse importante du coût de l’électricité, il en sera de même en France.
Si on veut prolonger la vie des réacteurs en service, il faut leur faire subir un « grand carénage ». Le coût de ce programme est estimé à 51 milliards d’euros soit pour une prolongation de 20 ans, 2,5 milliards d’euros par an, alors que les surcouts supportés par les consommateurs pour le développement des éoliennes et des panneaux solaires a été de 3,7 milliards d’euros en 2016 pour produire 5,5% de l’électricité française.
Areva et Siemens ont développé un réacteur de 3° génération, l’EPR, tirant les leçons des accidents sur les centrales nucléaires notamment Three Mile Island et Fukushima. Ce réacteur très puissant, 1600 MW, est prévu pour résister au terrorisme, y compris la chute d’un avion commercial. Les deux premiers réacteurs en construction, Oikiluoto en Finlande mis en chantier en 2005 n’est pas encore en service ce qui provoque des surcoûts importants et le réacteur français de Flamanville souffre de nombreuses malfaçons, dans le béton, des anomalies dans la fabrication de la cuve, des soudures pas aux normes ce qui entraine là aussi surcoût et retard. Par contre deux réacteurs construits en Chine à Taishan n’ont pas rencontré de grandes difficultés et produisent maintenant. Ajoutons aussi que EDF construit deux EPR en Grande Bretagne à Hinkley Point. Les contempteurs de l’énergie nucléaire voudraient profiter de ces difficultés pour abandonner la construction de nouveaux réacteurs. En fait nous sommes restés quinze ans sans en construire et nous avons perdu notre savoir-faire. Les difficultés de construction des réacteurs finlandais et de Flamanville nous permettent de cerner les problèmes. La France a besoin d’un vrai programme industriel comme dans les années 1970 lorsque l’on a mis en œuvre le parc actuel. EDF travaille sur un projet de réacteur EPR « optimisé », plus simple et moins cher que la version actuelle.
Le GIEC lui même reconnait que les objectifs de réduction de production de CO2 ne pourront être tenus sans faire appel à l’énergie nucléaire. Les énergies dites renouvelables sont intermittentes et la construction de milliers d’éoliennes entraine de graves nuisances et défigurent des paysages qui font l’attrait de notre pays.
Il faut reconstruire de nouveaux réacteurs pour assurer notre sécurité en approvisionnement car beaucoup d’unités atteindront 60 ans en 2040
La France est le seul pays à maîtriser toute la filière nucléaire de la production du combustible à son retraitement. Avec un peu de volonté et de constance on peut regagner l’expérience acquise et continuer à produire une électricité continue et bon marché.
15:05 Publié dans actualites, Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pétrole, énergie nucléaire, fessenheim, epr, flamanville