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03/07/2014

Des juges.

Il fut un temps pas si lointain, où les militaires ne votaient pas. Maintenant ils votent mais ne peuvent ni se syndiquer ni faire grève.

Les militaires dans leur majorité, ne souhaitent pas disposer de ces droits qu’ils voient comme l’entrée de la politique dans les armées.

L’armée est au service de la France donc de l’exécutif démocratiquement élu, elle ne veut pas se mêler du pouvoir politique au nom de la séparation des pouvoirs.

En France les juges ne sont pas élus, ils sont nommés à la suite d’un recrutement par concours, donc rien de politique.

Le principe de l’indépendance de la justice, de la séparation des pouvoirs exécutif et judiciaire, nécessite que les juges ne puissent évoquer des opinions politiques, ils sont au service de la justice quel que soit l’exécutif. Dans cet esprit ils se rapprochent des militaires.

L’appartenance à des syndicats exprimant formellement des opinions politiques, intervenant dans l’élection du président de la République, est contraire à la nécessité d’impartialité de la justice. On le voit bien quand c’est un juge qui appartient au syndicat de la magistrature qui collectivement avait pris parti pour Hollande contre Sarkozy qui instruit des affaires où celui ci est impliqué. A qui fera-t-on croire, dans ce cas, à une justice impartiale ?

 

16/07/2013

Aux coupables anonymes

On juge actuellement un chauffard ayant renversé volontairement un gendarme à Guérande. Le chauffard avait 1,62 g d’alcool dans le sang, délit pour lequel il avait déjà été condamné 4 fois. Il avait été flashé à 153km/h sur la route à 4 voies limitée à 110, il n’avait plus de permis depuis des années mais avait acheté une BMW il y a deux ans : « j’avais envie de me faire plaisir » explique-t-il au président du tribunal.

Il a trainé après l’avoir renversé, le gendarme Vincent Raineau sur 73 m sur le capot de la voiture.

Il a 33 ans, c’est un récidiviste, un danger public et sa culpabilité est avérée et reconnue. Alors pourquoi est-t-il impossible de connaître son identité ? La justice en France est publique, on me donne le nom de la victime, de l’avocat, pourquoi me celle-t-on celui du coupable ? J’ai l’habitude qu’on me cache l’identité des assassins des quartiers nord de Marseille et d’ailleurs celle de leurs victimes, mais là j’ai compris, comme tout le monde, qu’on ne voulait pas insister sur l’origine ethnique des uns et des autres. On n’en entend d’ailleurs plus jamais parler.

Mais je pense que le chauffard de Guérande est un Gaulois - à vrai dire je n’en suis pas sur - et je ne vois pas, a priori, d’explication à cet anonymat.

Je suis d’ailleurs obligé de reconnaître que Mrs Cahuzac, DSK, Sarkozy, Tapie ne bénéficient pas du même privilège, tant mieux d’ailleurs.

Autrefois on exposait les criminels au pilori, je demande le rétablissement de cette sage mesure.

 

 

 

10/03/2013

Femmes en politique.

Les femmes sont quand même bizarres quand elles s’occupent de politique et l’on commence à comprendre pourquoi on les en a longtemps jugées incapables et qu’on en est encore à les imposer par des mesures de parité. Il y a eu, souvenez vous, le crêpage de chignon entre l’actuelle et l’ex au moment de l’élection de Hollande, il y a maintenant la réflexion de NKM sur Royal qui attendrait un os à ronger de son ex.

Il faut bien dire que rares sont les hommes qui auraient emmené le débat politique dans de tels travers. Mais à l’évidence la gent féminine ne réagit pas par raison et analyse mais par passion et sentiment ou ressentiment. C’est dangereux et peut conduire à des excès regrettables.

En dehors de la politique, il est très inquiétant qu’en plus de Taubira les femmes aient conquis la justice. Se faire juger par un homme ou par une femme est loin d’être indifférent et il conviendrait d’imposer une stricte parité dans les prétoires.


 http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com