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10/02/2015

Commémorations

 

Je m’interroge sur la signification qu’il faut accorder à différentes commémorations récentes.

D’abord la manifestation monstre à la suite des assassinats de la rédaction de Charlie Hebdo et des clients du supermarché casher et en particulier la présence d’une quarantaine de chefs d’état.

Remarquons au passage le ridicule de leur défilé, confiné qu’il fut dans une impasse et rajouté au montage à la manifestation générale.

Que signifiait la présence de ces hauts responsables étrangers ? Leur solidarité à la suite d’une agression ? Mais il n’y a aucune agression extérieure, les criminels étaient des citoyens français, nés, élevés, éduqués en France. Qu’on en soit arrivé là c’est bien de notre faute, la conséquence d’un laxisme d’abord à l’immigration, ensuite d’une éducation permissive de ces jeunes à qui on ne demandait rien et auxquels on passait beaucoup.

Ensuite, la commémoration des 70 ans de la libération des camps d’extermination, pourquoi y étions nous ? En tant que victimes au nom des Français qui y sont morts ou en tant que responsables, si on en croit les affirmations infondées sur la responsabilité de la France ?

Il paraît que le rappel incessant des persécutions des juifs avait pour objet : plus jamais ça. Dans ce cas il y a longtemps qu’on aurait du arrêter : Depuis 70 ans, il y a eu, entre autres, la révolution culturelle chinoise et ses millions de morts, le goulag communiste, le génocide khmer rouge, les massacres ethniques au Rwanda et ça continue au Proche et au Moyen orient, en Afrique sub-saharienne.

Dernière question : les Français israélites victimes des persécutions nazies sont estimés à environ 23 000, si on en croit l’Histoire de Vichy de F.G. Dreyfus, beaucoup moins que les Français morts sous les bombardements allemands puis alliés au cours des 5 années de guerre ; pour les bombardements alliés on estime à 60 000 le nombre des victimes civiles. Il faut ajouter ceux dont on ne parle jamais qui ont été victimes d’exécution sommaire et de règlements de compte à la Libération, il y en eut quelque 10 000, sans compter les 800 condamnations à mort exécutées.

Les Français ne sont pas égaux dans la mort.

 

http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com 

 

 

 

22/11/2013

Racisme en tous genres

A tout seigneur tout honneur commençons par madame Taubira, qui naguère Guyanaise indépendantiste, garde actuellement les sceaux de la France. Elle pousse des cris d’orfraie pour quelques remarques pas très futées où on s’en prend à son physique. Faisons lui remarquer que si elle n’était ni noire ni femme elle ne serait surement pas ministre. Il faut donc qu’elle accepte les attaques inévitables inhérentes au pouvoir. Il y a des Gaulois et des Gauloises qui se sont fait attaquer dans des termes pires et qui n’ont pas protesté.

Maintenant parlons du supposé « type européen » probablement d’extrême droite qui s’en est pris à BFM et à Libération. Il s’avère finalement que c’est un maghrébin gauchiste, Abdelhakim Dekhar, déjà mêlé à une affaire de terrorisme et dont on peut s’étonner qu’il n’ait pas été suivi à sa sortie de prison ; il  n’aime pas les journalistes et s’en prend à Libération journal appartenant à Rothschild qui n’est pourtant pas spécialement de droite. Ne vous en faites pas il va rapidement être déclaré fou et irresponsable.

Venons en aux trois femmes « réduites en esclavage » pendant trente ans par un ménage en Angleterre, on nous cache soigneusement la nationalité des coupables, je suis bien prêt à parier que ce ne sont pas des sujets de sa gracieuse majesté.

Autre cas, l’affaire des 1500 tableaux découverts en Allemagne et forcément volés à des collectionneurs juifs, avez vous vu souvent précisé que le père nommé Gurlitt, auteur de la collection durant le nazisme était à moitié juif et pourtant trafiquait avec les nazis ?

Toutes ces affaires montrent que l’information qu’on nous donne est toujours, incomplète, biaisée et qu’au fond le combat d’Abdelhakim Dekhar contre les médias, n’était pas déraisonnable.