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04/04/2014

Pari stupide au Rwanda

Taubira va se rendre au Rwanda à l’occasion du vingtième anniversaire du génocide qui fit quelques 800 000 victimes. Drôle d’idée, depuis des lustres, on cherche à faire porter à la France et surtout à l’armée française une part de responsabilité, les accusant d’avoir aidé les génocidaires Hutu.

Or ce génocide, bien réel, mais dont Hutu et Tutsi furent victimes n’a jamais été programmé mais déclenché par l’attentat ayant tué le président hutu du Rwanda, Juvénal Habyarimana, son avion étant abattu le 6 avril 1994 par deux missiles sol-air.

Tout montre et en particulier de nombreux témoignages, que cet attentat fut ordonné par le général Kagame, qui voulait prendre le pouvoir et y réussit, la général Kagame est l’actuel président du Rwanda et c’est lui qui organise la commémoration du génocide.

L’amusant est que neuf responsables proches de Kagame ont été mis en examen par l’ancien juge antiterroriste Bruguière, et que ces mises en examen ont été maintenues par son successeur le juge Trevidic, dans l’action en justice ordonnée à la suite des plaintes de l’équipage français du falcon 50 du président. Seul son statut de chef d’état a empêché de mettre Kagame en examen.

Si le TPIR, tribunal pénal international pour la Rwanda, n’a jamais enquêté sur l’attentat, c’est que les Etats-Unis, protecteur de Kagame, s’y sont toujours opposés.

Ajoutons que le Rwanda de Kagame met au pillage les provinces voisines de la RDC et que nombre de témoins de sa culpabilité dans le génocide ont été assassinés notamment en Afrique du Sud où ils s’étaient réfugiés.

Dans ces conditions voir la garde des sceaux se rendre à Kigali où au surplus elle va entendre des accusations infondées contre la France et son armée, relève du pari stupide. On peut craindre en plus des pressions du pouvoir rwandais pour que l’affaire soit enterrée et que les mis en examen bénéficient d’un non lieu.

22/11/2013

Racisme en tous genres

A tout seigneur tout honneur commençons par madame Taubira, qui naguère Guyanaise indépendantiste, garde actuellement les sceaux de la France. Elle pousse des cris d’orfraie pour quelques remarques pas très futées où on s’en prend à son physique. Faisons lui remarquer que si elle n’était ni noire ni femme elle ne serait surement pas ministre. Il faut donc qu’elle accepte les attaques inévitables inhérentes au pouvoir. Il y a des Gaulois et des Gauloises qui se sont fait attaquer dans des termes pires et qui n’ont pas protesté.

Maintenant parlons du supposé « type européen » probablement d’extrême droite qui s’en est pris à BFM et à Libération. Il s’avère finalement que c’est un maghrébin gauchiste, Abdelhakim Dekhar, déjà mêlé à une affaire de terrorisme et dont on peut s’étonner qu’il n’ait pas été suivi à sa sortie de prison ; il  n’aime pas les journalistes et s’en prend à Libération journal appartenant à Rothschild qui n’est pourtant pas spécialement de droite. Ne vous en faites pas il va rapidement être déclaré fou et irresponsable.

Venons en aux trois femmes « réduites en esclavage » pendant trente ans par un ménage en Angleterre, on nous cache soigneusement la nationalité des coupables, je suis bien prêt à parier que ce ne sont pas des sujets de sa gracieuse majesté.

Autre cas, l’affaire des 1500 tableaux découverts en Allemagne et forcément volés à des collectionneurs juifs, avez vous vu souvent précisé que le père nommé Gurlitt, auteur de la collection durant le nazisme était à moitié juif et pourtant trafiquait avec les nazis ?

Toutes ces affaires montrent que l’information qu’on nous donne est toujours, incomplète, biaisée et qu’au fond le combat d’Abdelhakim Dekhar contre les médias, n’était pas déraisonnable.