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20/05/2015

L'ambition de l'eau tiède.

Carnot a démontré que pour obtenir de l’énergie d’une machine thermique - machine à vapeur, moteur diesel par exemple - il fallait disposer d’une source chaude et d’une source froide et que la production d’énergie se faisait par transfert de chaleur de la source chaude à la source froide. Le rendement de l’opération, autrement dit la quantité de chaleur transformée en énergie mécanique, est d’autant plus élevé que l’écart de température est important.

La tendance de l’univers est le désordre, en gros une tendance à l’eau tiède, d’où on ne peut tirer d’énergie.

Tout ça pour dire que la volonté constante des socialistes d’une égalité la plus parfaite possible conduit au désordre et à la déperdition d’énergie.

En plus du rendement du à l’écart de température, intervient l’organisation de la machine, sa conception et ses pertes en fonctionnement. Comme bel exemple d’une machine thermique qui utilise des quantités monstrueuses de chaleur sans produire la moindre énergie utile mais en causant des dégâts considérables, on peut citer le cyclone qui transfère des quantités énormes de chaleur de la mer quand elle est chaude, à la haute atmosphère.

On peut lui comparer l’Education nationale, gigantesque machin d’une organisation comparable à ce que fut le régime soviétique où se perd toute volonté de progrès, toute initiative, et dont le rendement est catastrophique.

Le but ultime de l’Education nationale est d’aboutir à l’égalité, non l’égalité des chances mais l’égalité des résultats : un mauvais élève, inintelligent ou paresseux ne pouvant devenir un bon élève obtenant des résultats brillants on nivèle par le bas, on allège les programmes, on rabaisse les exigences et on donne le bacc à tout le monde.

Bien sur il faut aider ceux qui ont des handicaps de départ mais qui veulent réussir et s’en donnent les moyens, mais cela ne doit pas être au préjudice des élèves brillants et travailleurs même s’ils appartiennent à des milieux favorisés. J’ai entendu l’autre jour l’un des chantres de l’égalitarisme s’en prendre aux élèves de Saint Louis de Gonzague, étudiant le latin et le grec, et considérer que ce n’était pas une population à prendre en compte. J’ai appartenu très précisément à cette catégorie et ne comprends pas cet ostracisme, d’autant que je pense que beaucoup ne supporteraient pas la discipline des Pères Jésuites.

Le problème n’est pas de s’en prendre aux meilleurs établissements, pour essayer de les abaisser au niveau des collèges et lycée des zones sensibles où beaucoup ne réussissent pas parce qu’ils ne comprennent pas ce qu’on leur enseigne ou s’en désintéressent.

Il faut dégraisser le mammouth ou plutôt le mettre en pièces : Des collèges ou lycées où chacun pourrait trouver ce qui convient à ses compétences ou ses ambitions. Un enseignement pluriel et différencié conduisant ceux que le travail intellectuel rebute, à l’apprentissage de métiers manuels où ils s’épanouiront et seront heureux après avoir quand même acquis les connaissances minimales permettent de se débrouiller dans la vie.

L’exemple que j’ai pris pour condamner l’égalitarisme socialiste, l’éducation, s’applique également à l’économie : A vouloir faire payer les riches et à distribuer des allocations sans nombre permettant de vivre aussi bien sans travailler qu’en travaillant, on tue toute ambition, tout goût au travail. Pour motiver les hommes il faut qu’ils aient conscience qu’ils peuvent améliorer leur sort et grimper dans l’échelle sociale par l’intelligence et le travail et pour cela il est nécessaire que le système social les encourage et ne les écrase pas d’impôts ni ne les traite de nantis quand ils ont réussi.

Comme pour les machines thermiques il faut maintenir un écart de richesse et de niveau de vie à l’intérieur de la société, pour que chacun puisse espérer progresser. La politique socialiste de l’eau tiède conduit à ce qu’on voit en France, le chômage, la perte de compétitivité, la décroissance.

 

 http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com 

                                                                                 

29/10/2014

Couille molle.

 

Je suis d’une génération où on baisait la main des dames et où on leur cédait sa place dans le métro quel que soit leur âge. On leur offrait  des roses et jamais je n’aurais accepté qu’elles payent leur écot au restaurant.

C’est dire que je ne me sens pas à ma place dans le monde actuel où le féminisme triomphe sans entrainer la moindre réaction de mes congénères masculins.
Il paraît qu’une femme est un homme comme les autres et que toute différence entre les sexes provient de « stéréotypes » contre lesquels il convient de lutter.

Si bien que l’Education nationale a pris en main nos chères « têtes blondes » pour leur apprendre le « vivre ensemble », la vilenie de l’homophobie, voire les différentes façons de copuler. Personnellement j’ai été instruit dans un cadre strictement masculin, à une époque où il y avait des « écoles de filles » et des « écoles de garçons », ce qui présentait l’avantage de se consacrer à ses études sans autres idées déstabilisatrices. Moyennant quoi,  je sais lire et écrire sans plus de fautes d’orthographe que raisonnable, et même calculer mentalement.

Ceci pour dire que pour moi le féminisme est une de ces lubies basées sur une idée fausse comme malheureusement il y en a beaucoup de nos jours, non que je considère les femmes comme inférieures mais comme différentes et dignes d’égards et de prévenances qui n’ont plus cours, ce qui me paraît regrettable.

Aussi quand on me prétend que toutes les professions doivent être également accessibles aux deux sexes, j’affirme qu’un policier femelle ne rendra jamais les mêmes services qu’un policier mâle, que la place des femmes n’est pas sur les champs de bataille sauf pour soigner et ainsi de suite.

Je voyais l’autre jour une classe de préparation à un bac professionnel genre « aide à la personne » et je constatais qu’il n’y avait que des demoiselles. Cela ne m’a pas étonné ; je fais appel à une association qui procure des employées de maison, on ne m’a jamais proposé que des femmes et je ne connais pas grand monde qui fasse appel à une nounou mâle.

On me dira qu’il s’agit aussi de stéréotypes qu’il faut déconstruire et de même devrais je m’insurger à ma boulangerie où il n’y a que des hommes à la fabrication et des femmes à la vente. Personnellement je pense que c’est très bien comme ça et que chacun a ses appétences et ses compétences, et qu’il n’est nullement nécessaire d’établir la parité.

Il conviendrait par contre de lutter contre l’appropriation de certaines professions par l’un ou l’autre sexe quand ce n’est pas sans conséquence. Par exemple, que tous les enseignants du primaire soient des femmes prive les enfants d’une présence masculine nécessaire à l’équilibre de leur éducation, de même il n’est pas neutre que la justice soit maintenant colonisée par les femmes ce qui n’assure pas une justice impartiale et équitable pour certains délits.

Pour en revenir à l’éducation des enfants j’estime qu’une mère est bien plus apte à s’occuper de jeunes enfants que le père, qu’elles en ont besoin et y éprouvent du plaisir et que l’égal partage entre les parents est un non sens et une idée de socialiste. Du reste tout le monde sait que l’égal partage du congé parental entre les parents revient à diviser par deux le congé de la mère.

Le but de tout ça est de pousser les femmes vers le monde du travail alors que souvent elles préfèreraient s’occuper de leurs enfants ce qui, dans notre monde de chômage permanent, rendrait service à la société mais ferait de la peine aux sectaires qui nous gouvernent.

Maintenant, les femmes « sans profession » se sentent déconsidérées ; il est vrai que tout est fait pour déstabiliser les familles, créer des familles monoparentales, recomposées,voire homoparentales ce qui prive les mères de famille de toute garantie et les enfants de tout repère.

Mais pour en revenir à ce qui a motivé cet article, j’ai constaté récemment que les conducteurs les plus agressifs, ne supportant pas la moindre entrave à la progression de leur véhicule sont maintenant des femmes, jeunes, modèle « femme active » qui semblent considérer qu’une seconde perdue nuirait à la marche du monde. Elles n’hésitent à faire des gestes dont elles ne connaissent pas, j’espère sans en être sur, la signification, qui doivent être accompagnés, heureusement derrière leurs vitres, d’injures que je pense déplacées dans la bouche d’une femme. Elles semblent se venger du temps où on les renvoyait à leur vaisselle.

Il est vrai qu’à une époque où des entreprises proposent à leurs employées de mettre leurs ovocytes au congélateur, pour qu’elles ne perdent pas de temps à faire des enfants, on peut s’attendre à tout, même qu’à ce que ces dames en chargent d’autres de porter leurs enfants et de les mettre au monde pour ne pas être gênées pendant 9 mois.

Pour finir comment peut on admettre les déclarations ordurières de beaucoup de femmes politiques – je n’ose dire de femmes publiques - comme Martine Aubry qui estime que « Hollande est un incapable et une couille molle ». A la rigueur on pourrait comprendre ce jugement de la part de Ségolène Royale qui fut à même de juger sur pièces, mais venant de « la  maire de Lille » je trouve ça choquant.

 

 

 

http://dejudasatartuffelettresaumonde.hautetfort.com 

15/07/2014

Le défilé des Bizounours

Le défilé du 14 juillet sur les Champs Elysées fut un ramassis d’incongruités à l’image des grandes âmes et de « tout le monde il est bon, tout le monde il est gentil » : je veux bien qu’on commémore le début de la grande guerre il y a 100 ans, quoiqu’il eut été plus pertinent de le faire le 11 novembre. Mais commémorant le début de cette guerre atroce pourquoi avoir convié les belligérants des deux camps y compris les plus improbables? Il est vrai qu’on avait déjà vu la Fuehrerin Angela se pavaner le 6 juin parmi les vainqueurs de la guerre d’après sur les plages de Normandie.

On a vu défiler parmi les militaires, des policiers qui avaient du l’exiger par assimilation aux gendarmes qui eux sont des militaires. On va bientôt voir défiler, les juges, la SNCF et les enfants des écoles voire les matons. C’est du n’importe quoi.

Mais le comble fut à la clôture l’exhibition des bizounours, les embrassades multiethniques et le lâcher de pigeons dont on espère qu’ils aient su regagner leur pigeonnier avant d’être boulottés par d’autres rapaces. On aurait dit des intermittents des spectacles.

Tout ça montre à quel niveau de veulerie et de désarmement moral, la propagande soixante-huitarde et l’ Education nationale ont ramené le peuple de France. On va bientôt fusionner avec la gay-pride.

 

 

 

19/01/2014

La France terre d'islam

Le ministère de l’Education Nationale propose à l’école élémentaire des cours de langue arabe et de culture algérienne. Il diffuse un questionnaire « à retourner obligatoirement à l’école », celui que je détiens provient de l’Ecole élémentaire Gérard Philipe à Grigny dans l’Essonne, et est rédigé en français et en arabe, en voilà le texte :

 

« Madame, Monsieur,

 Votre enfant peut recevoir à l’école l’enseignement de la langue arabe et de la culture algérienne. Tout en valorisant les origines de sa famille, cet enseignement peut être un atout pour sa réussite personnelle.

 Par accord entre l’Algérie et la France, ces cours sont assurés par des enseignants algériens qualifiés. Ils font partie du travail de classe. Ils peuvent être intégrés à l’horaire scolaire ou donnés après la classe en étant cependant considérés comme de véritables activités scolaires.

 Si vous souhaitez que votre enfant commence un tel enseignement l’année prochaine, ou qu’il le continue s’il l’a déjà commencé, remplissez le formulaire joint et remettez le au directeur de l’école de votre enfant. Merci de répondre rapidement, c’est nécessaire pour organiser le cours pour la rentrée prochaine »

 

Suit la traduction en Arabe.

C’est hallucinant, il ne s’agit pas de l’enseignement d’une langue étrangère mais de maintenir l’enfant dans sa culture d’origine et d’empêcher ainsi son intégration.

Je laisse à penser ce que dira l’ « enseignant algérien qualifié » des « méfaits » de la France en Algérie.

Par la suite on peut s’attendre à voir les langues africaines, peul, bambara, swahéli… bénéficier du même privilège.

Pourtant depuis l’ordonnance de Villers-Cotterêts en 1539 sous François 1er, le français est la seule langue admise en France et l’article 2 de la Constitution précise : « La langue de la République est le français. »

On peut se demander si ce texte a été diffusé dans toutes les écoles de France et de Navarre ou réservé à celles des « quartiers sensibles » officialisant ainsi des ghettos d’où les français de souche vont se sentir encore un peu plus exclus.