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13/12/2013

Kiev, ville d'Europe?

Il est probable que l’affaire n’intéresse pas grand monde en France, pourtant il faudrait :

Kiev, la capitale de l’Ukraine, est actuellement le théâtre de troubles, fomentés par l’opposition qui voudrait se rapprocher de l’Europe, avec l’idée évidente d’obtenir un jour l’intégration de l’Ukraine à l’Union Européenne.

Quand on voit comment fonctionne actuellement l’Europe des 28, on ne souhaite pas forcément l’admission de ce 29 ° état qui la ferait encore plus glisser vers l’est.

L’Ukraine, c’est quand même 45 millions d’habitants de langues et de cultures diverses ; ce sont en fait les habitants de l’ouest du pays ukrainophones qui souhaitent le rattachement à l’Europe, ceux du nord et du sud voyant leur avenir avec la Russie. Historiquement l’Ukraine est proche de la Russie, à laquelle elle a été rattachée plusieurs siècles.

Si on accepte l’Ukraine pourquoi pas la Biélorussie, la Géorgie, la Moldavie, l’Arménie et l’Azerbaïdjan ?

L’étonnant est que toute cette affaire a été concoctée sans que les Européens soient consultés sur leur envie de voir intégrer les Ukrainiens et de les voir accompagner le plombier polonais dans la quête de travail sous-payé en Europe de l’ouest.

L’affaire a failli aboutir à Vilnius en Lituanie les 28 et 29 novembre dernier mais au dernier moment l’Ukraine a refusé de signer l’accord avec l’Europe.

Bien entendu ce revirement est la conséquence de pressions de la Russie de Poutine qui considère que l’Ukraine fait partie de sa basse-cour et regarde l’initiative européenne comme une agression, un relent de la guerre froide, ce qu’elle est en fait. L’idée de Poutine est de créer une union eurasienne, regroupant les pays de sa zone d’influence.

Quand donc considèrerons nous en Europe que la guerre froide est finie et que nous avons tout intérêt à nous entendre avec la Russie qui possède des réserves énergétiques gigantesques et avec laquelle nous avons des intérêts et une histoire communs.
Bien entendu, la Russie n’est peut être pas une démocratie à la mode occidentale mais le demande-t-elle et y aurions nous intérêt ? Nous avons aidé à l’éviction de nombre de régimes autoritaires, en Serbie, en Libye, en Irak et maintenant en Syrie pour quel bénéfice ? L’histoire ne se fait pas avec de bons sentiments, il serait temps que la France le comprenne et revienne à une politique réaliste.

Le plus invraisemblable est qu’on puisse lier notre sort à 45 millions d’Ukrainiens sans nous consulter et sans même que nous en soyons conscients. Il est à craindre qu’il en sera de même quand il s’agira de la Turquie.

 

20/11/2013

Tant pis

Alors les bleus, ont réussi à se qualifier pour la coupe au Brésil, personnellement je le regrette. En dehors du fait qu’il va nous falloir subir une flopée de matchs qui vont encombrer les écrans, je le dis franchement je regrette que cette équipe prétende représenter la France.

D’abord on peut se demander pourquoi nuls à Kiev, ils se sont réveillés à Paris, probablement parce qu’ils auraient autrement perdu beaucoup d’argent.

De Gaulle disait : « Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne » est ce franchement l’image qu’en donne l’équipe dite « de France », cette équipe genre Bamako, où on exige de manger halal et où on ne connaît pas la Marseillaise et surement pas le latin.

Quand je vois les bonnes équipes, elles sont généralement composées de nationaux, de même couleur, luttant pour leur pays. Je me suis senti plus représenté par les Caucasiens Ukrainiens.

Je me souviens d’une photo de l’équipe des « bleuets », il y avait dix noirs et un blanc qui était d’ailleurs peut être maghrébin et à qui on avait confié le fanion.

Pourquoi limite-t-on la sélection aux cités sensibles pour recruter des analphabètes, prétentieux et mal élevés dont la seule motivation est de gagner beaucoup d’argent. Recrutons des Gourcuff, des Gaulois qui aiment leur pays.

Quand je me souviens de l’Afrique du sud, je suis inquiet.