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02/11/2018

Bolsonaro et les bien-pensants

Décidément l’élection Brésilienne de Jair Bolsonaro, passe mal chez les bien-pensants qui prévoient déjà le retour de la dictature militaire, ce qui serait d ‘ailleurs peut être ce qu’on peut souhaiter au Brésil rongé par la violence, la pauvreté et la corruption, à la suite de la gouvernance de gauche initiée par Lula da Silva.

Bizarrement au cours de la campagne Bolsanoro ne cessa d’être qualifié d’ « ancien militaire » voire de « capitaine parachutiste » comme s’il y avait là une tare épouvantable.

Rappelons nous Trump qui, avant son élection, fut lui constamment appelé «le milliardaire » ou « le promoteur immobilier »

Pourtant la carrière militaire du « Trump tropical » ne dura que dix sept-ans alors qu’il est parlementaire depuis quelque vingt ans.

Ce pauvre Bolsanoro est jugé raciste, paranoïaque, misogyne, homophobe, antisémite, nostalgique de la dictature, voire fasciste, le voilà habillé pour l’hiver.

Il est intéressant de voir ce que Le Monde éperdu de bonheur, écrivait après l’élection de Lula da Silva en 2003 : « un homme porteur d’un immense espoir pour son peuple mais au delà pour tous ceux d’Amérique latine et au delà, pour le sud ». Depuis Lula est en prison pour corruption, le Brésil a sombré dans la pauvreté et la violence.

A ce sujet il est instructif de voir la constance avec laquelle le « journal de référence » se trompe dans le choix des dirigeants qu’il applaudit : il y eut Mao en Chine, Pol Pot au Cambodge, Castro à Cuba, Aristide à Haïti, Allende au Chili, j’en oublie, tous ayant fait le malheur de leur pays.

Par contre Pinochet qui délivra le Chili de ce vieil ivrogne d’Allende fut la bête noire du journal pendant des décennies alors qu’il assurait l’ordre et la prospérité de son pays.

En fait les mondialistes de tout poil, a commencer par Macron, commencent à s’inquiéter du retour du nationalisme un peu partout et qualifient les nouveaux dirigeants, Trump et l’Italien Salvini, de populistes, le Hongrois Orban de souverainiste, le Polonais Kaczynski d’ultra-conservateur, toutes choses qui dans leur esprit est une condamnation.

Les bien-pensants européens condamnent Poutine, un tyran, et lui imposent des sanctions pour le déstabiliser alors que l’Europe devrait se louer d’avoir un dirigeant ayant redressé son pays, rétabli son influence et en faire leur partenaire. L’Occident a suscité les printemps arabes et déstabilisé le Moyen-Orient, pendu Saddam et assassiné Kadhafi, soutenu la guerre civile en Syrie - estimant que Bachar ne méritait pas de vivre - avec l’aide des mouvements djihadistes. Décidément les bien-pensants font de curieux choix.

20/11/2013

Tant pis

Alors les bleus, ont réussi à se qualifier pour la coupe au Brésil, personnellement je le regrette. En dehors du fait qu’il va nous falloir subir une flopée de matchs qui vont encombrer les écrans, je le dis franchement je regrette que cette équipe prétende représenter la France.

D’abord on peut se demander pourquoi nuls à Kiev, ils se sont réveillés à Paris, probablement parce qu’ils auraient autrement perdu beaucoup d’argent.

De Gaulle disait : « Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne » est ce franchement l’image qu’en donne l’équipe dite « de France », cette équipe genre Bamako, où on exige de manger halal et où on ne connaît pas la Marseillaise et surement pas le latin.

Quand je vois les bonnes équipes, elles sont généralement composées de nationaux, de même couleur, luttant pour leur pays. Je me suis senti plus représenté par les Caucasiens Ukrainiens.

Je me souviens d’une photo de l’équipe des « bleuets », il y avait dix noirs et un blanc qui était d’ailleurs peut être maghrébin et à qui on avait confié le fanion.

Pourquoi limite-t-on la sélection aux cités sensibles pour recruter des analphabètes, prétentieux et mal élevés dont la seule motivation est de gagner beaucoup d’argent. Recrutons des Gourcuff, des Gaulois qui aiment leur pays.

Quand je me souviens de l’Afrique du sud, je suis inquiet.