09/11/2016
Trump, Président.
Quand on est Président d’un pays ami, on se garde de faire des déclarations au sujet d’un candidat à la présidence de ce pays le disqualifiant ou le condamnant. Pourtant François Hollande tenait devant la presse des jugements que, s’il est responsable, il doit regretter maintenant. Elu on le félicite rapidement et on cherche à travailler au mieux avec lui.
Quand on est ministre des affaires étrangères, on ne fait pas comme Ayrault une tête d’enterrement quand l’élection démocratique d’un Président d’un pays ami n’a pas donné le résultat escompté, on en prend acte et on cherche à avoir les meilleurs rapports possibles avec son gouvernement.
Nous sommes gouvernés par des amateurs sectaires incapables de s’adapter à une situation qui était pourtant envisageable et qu’il fallait envisager.
Entre parenthèses, l’intérêt que la France a porté à l’élection américaine montre à quel point nous sommes devenus des satellites des Etats Unis.
La France et l’Europe devraient voir dans cette élection une occasion de reprendre leur indépendance et de mener une politique conforme à leurs intérêts.
15:17 Publié dans actualites, Blog | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : trump, hollande, ayrault, président, etats unis