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21/10/2020

En guerre

« Nous sommes en guerre », déclarait le Président, contre le virus, et rien n’a été fait pour nous préparer à la seconde vague.

« Ils ne passeront pas » déclarait le Président parlant des islamistes alors qu’il y a beau temps qu’ils sont installés en France et multiplient les actes terroristes. L’assassinat d’un professeur met tout le monde en émoi mais dans quinze jours ce sera oublié comme les cas précédents et rien ne sera entrepris pour arrêter l’invasion.

Tout ce qu’on fait en France alors que l’économie est en ruine, qu’on est en guerre contre la pandémie et le terrorisme, que les Français subissent des contraintes limitant leur liberté et se sentent de plus en plus menacés dans leur sécurité, c’est de voter des lois sous la pression du lobby écolo. « Arrêtez d’emmerder les Français disait Pompidou », maintenant on veut pénaliser les propriétaires de voiture pour le poids de leur véhicule, on veut gêner la circulation pour qu’ils se convertissent au vélo ou à la trottinette, on veut limiter les voyages en avion, interdire la consommation de viande, la chasse y compris la chasse a courre et toutes les chasses traditionnelles. On fait voter des lois pour protéger les visons, libérer les lions des cirques et les orques d’Aqualand. Certains s’en prennent même aux arbres de Noël. 150 Français incompétents, tirés au sort et manipulés exigent qu’on applique les mesures qu’ils ont votées qui nous conduiront à la décroissance et à une société Amish.

Alors qu’on commence à manquer d’électricité, et qu’on pollue les paysages qui font la beauté de la France de milliers d’éoliennes inefficaces, on stoppe sans raison la centrale de Fessenheim qui ne demandait qu’a fonctionner encore de nombreuses années.

Quant on fait la guerre on s’y consacre entièrement et on ne vote pas des lois « bioéthiques » autorisant l’infanticide.

La France vit sous la contrainte et l’insécurité et on fait n’importe quoi pour complaire à une bande de gauchistes irresponsables et ne pas contrarier une population immigrée qui veut nous imposer son mode de vie.
De tout cela il faudra se souvenir dans deux ans.

 

03/10/2020

Diversité

Il y a quelque temps le général Dominique Arbiol a été nommé à la direction de l’Ecole de l’Air de Salon de Provence où on forme les officiers de l’Armée de l’air. Rien de bien intéressant sauf que le général Dominique Arbiol est une femme. On pourrait penser que ce général ou plutôt cette générale a été choisie en fonction de ses compétences et de son charisme, pas du tout, elle a été choisie en fonction de son sexe. De tous temps la direction de l’Ecole de l’Air revenait à un pilote, la générale Arbiol n’est pas « volant », elle a débuté comme sous officier mécanicien puis, après son admission à l’école militaire de l’air elle s’oriente dans une carrière d’officier de renseignement. Pour prendre une comparaison avec une école que je connais bien, c’est comme si on nommait à la direction de l’Ecole Navale un officier n’ayant jamais commandé à la mer voire navigué. D’ailleurs la ministre des armées ne s’en cache pas elle veut promouvoir la gente féminine parmi les officiers généraux pour atteindre un objectif de 10% en 2022, car « l’armée ne peut se priver des talents de 50% de l’humanité » Le problème est que ces dames ne se bousculent pas pour arriver aux étoiles, le gros du contingent et fourni par la Direction générale de l’Armement et le Service de santé des armées. Dans l’armée de terre il y a 2 femmes sur 169 généraux, dans la marine 1 sur 59 amiraux, dans l’armée de l’air 3 sur 72 généraux, la nomination de la générale Arbiol est donc une provocation. Le problème est que beaucoup de femmes officiers abandonnent le service pour s’occuper de leurs enfants. Quoiqu’il en soit jusqu’à maintenant on arrivait aux étoiles pour services rendus et en fonction de ses compétences, maintenant on pourra y arriver en fonction de son sexe.

Mais ce n’est pas du sexe des généraux que certains se préoccupent : Abdelkader Haroune, quand même commissionnaire de police, est à l’origine d’un projet de loi tendant à permettre à certaines catégories de la population diplômées mais sans réseau d’accéder à des postes de responsabilités. On comprend de qui il s’agit. « Ce sont toujours les mêmes qui occupent ces postes, les mêmes –masculin et blanc- sortis des mêmes moules » a constaté la vice-présidente du Sénat, MmeConway-Mouret. Nous y voilà sus au mâle blanc : « il faut en finir avec le système de l’entre-soi qui favorise les blancs dans les hiérarchies »   et « fonctionne par copinage et réseau ». Pour remédier à ce douloureux état de fait on propose de donner des points supplémentaires aux candidats à l’entrée dans les établissements prestigieux de l’enseignement supérieur et pour les concours d’entrée dans la fonction publique, aux candidats ayant obtenu leur baccalauréat au sein d’un établissement scolaire situé dans un quartier prioritaire de la politique de la ville. On propose aussi une recomposition des jurys aux épreuves, vraisemblablement en y introduisant des membres de couleur.

Décidément il ne fait pas bon d’être un Français mâle et blanc.