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30/01/2018

La faiblesse de l'Etat

Je n’ai aucune idée sur la nécessité de construire ou non l’aéroport de Notre Dame des Landes, mais telle que l’affaire a été menée, l’Etat semble avoir cédé aux « zadistes ». Il eut fallu faire évacuer la ZAD avant de communiquer la décision prise.

Cet abandon vient après tant d’autres que l’Etat français apparaît maintenant d’une faiblesse insigne. Rappelons quelques uns des précédents : la centrale de Plogoff, le camp du Larzac, les portiques pour poids lourds de Madame Royal, l’annulation de la loi Devaquet venant après de nombreuses manifestations étudiantes, sans parler de l’instauration de zones de non-droit échappant à l’ordre républicain ou on deale quand on ne se tue pas à la kalachnikoff, de la montée du terrorisme, de l’immigration incontrôlée compromettant la sécurité. L’Etat ne sait plus se faire respecter malgré la présence de l’armée dans les rues.

On voit arriver d’autres crises où on peut craindre que l’Etat ne cède une fois de plus à des mouvements absolument pas représentatifs. On peut se demander par exemple ce qui va advenir quand sera prise la décision de réaliser le centre d’enfouissement de déchets nucléaires à Bure. L’affaire est autrement sensible que Notre dame des Landes et l’opposition a déjà commencé à s’organiser regroupant antinucléaires, écologistes, activistes de tout poil et opposants locaux. Aucune concertation n’a été possible et on voit mal l’Etat passer en force.

Le pouvoir actuel joue les matamores mais pour quels résultats ? il y a toujours autant de clandestins inexpulsés qui mettent à mal notre identité et nous ruinent en aides sociales.

C’est bien là la principale préoccupation des Français, on ne peut que craindre qu’un jour cela tourne mal.

25/01/2018

Démographie

Alors que la France était le bon exemple de l’Europe avec un taux de fécondité voisin de 2 enfants par femme, celui ci est en baisse à 1,88. Faut il s’en étonner ? Jusqu’à il y a peu la France avait une politique nataliste, elle a été démantelée ces dernières années : mise sous condition des allocations familiales alors qu’elles étaient universelles et égales pour tous, abaissement du plafond du quotient familial qui était une incitation efficace. De natalistes les allocations sont devenues sociales avec comme objectif avoué de favoriser les familles monoparentales qui ne sont pas celles qui feront des enfants.

Il ne s’agit pas bien sur d’inciter les femmes à être « mères au foyer », de rétablir comme elle existait autrefois l’ « allocation de salaire unique », mais de permettre aux parents et surtout aux mères de choisir entre une activité professionnelle et s’occuper de leurs enfants au moins à certaines périodes.

Actuellement on culpabilise les femmes qui interrompent leur vie professionnelle pour se consacrer à leurs enfants, il conviendrait d’encourager et d’aider ce choix qui profite à la collectivité.

L’individualisme forcené conduit à retarder les naissances voire y renoncer, la chute du taux de mariage, détruit la stabilité familiale, l’union prenant un caractère provisoire entrainant, familles monoparentales ou recomposées peu propres à l’épanouissement des enfants.

D’autant qu’il ne faut pas se laisser abuser par le relatif bon taux de fécondité en France, dépendant certainement beaucoup des populations immigrées. Il conviendrait dans l’intérêt général de rétablir une politique nataliste clairement assumée : allocations familiales pour tous, rétablissement du quotient familiale mais aussi facilités de garde d’enfants, crèches, indemnités, congé parental.

L’Europe comme d’ailleurs la plupart des pays développés, est en plein suicide démographique provoquant un appel d’air pour une immigration toujours plus présente entrainant perte d’identité et de culture, insécurité voire terrorisme.