07/02/2008
La vérité si je mens
le 6 février 2008
Messieurs,
A la lecture de l’article d’Elise Vincent, « Le PDG de la Société générale, prévenu discret au procès du Sentier 2 » paru dans Le Monde du 5 février, si je n’avais pas suivi l’affaire et celle du Sentier 1, j’aurais cru que Daniel Bouton était le principal suspect de cette gigantesque escroquerie portant sur des dizaines de millions d’euros.
Bien sur, vous précisez que les commerciaux et gérants de société impliqués sont « nés à Casablanca ou Tunis » et vous évoquez un « sacrificateur rituel », mais vous vous gardez bien de préciser que la quasi totalité des 151 prévenus appartiennent à la communauté juive du Sentier, que les banques israéliennes ne se sont pas contentées de « manquer de vigilance » comme les banques françaises et qu’Israël a accueilli et naturalisé les principaux coupables.
Les deux précédents articles que vous avez publiés, ne sont pas plus explicites, dans le titre il n’est question que de la société Générale et seuls les noms de deux « goyim » sont cités. Il est certain que cette affaire ne pourrait que confirmer les « stéréotypes » habituels attribués aux israélites, genre « la vérité si je mens » en beaucoup moins drôle.
Voilà un sujet de conversation que le Président pourra évoquer au prochain raout du CRIF
Considération distinguée
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