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18/08/2013

Poitiers, le retour

A Trappes ne jeune moukère voilée se plaint d’une agression à l’évidence inventée, au cours de laquelle deux hommes l’auraient menacée d’un couteau et arraché son voile et voilà une trentaine de femmes voilées dans la rue pour une marche contre l’islamophobie.

Egalement à Trappes des émeutes avaient suivi le contrôle d’identité d’une jeune convertie portant le voile intégral au mépris de la loi.

A Vénissieux 200 personnes rassemblées dans la mosquée des Minguettes pour protester contre un attentat qui n’a jamais eu lieu et qui n’’aurait probablement jamais eu lieu, manifestent contre l’  « islamophobie » et s’étonnent de l’absence du ministre.

Constamment, dans toute la France les musulmans protestent, maintiennent la pression et veulent imposer leurs habitudes religieuses et alimentaires.

Dans certains quartiers toutes les boucheries sont halal, à Trappes on exigeait la fermeture des restaurants pendant le ramadan, sans parler des menus spéciaux dans les cantines scolaires, des exigences médicales dans les hôpitaux

Yasmina déclare : « on ne peut plus vivre avec la peur au ventre » sait elle que de nombreux Français de souche ne s’aventurent plus depuis longtemps dans de nombreux quartiers des grandes villes, qu’on se fait rançonner dans le RER, égorger à Marseille. Que des pompiers se font caillasser quand ils viennent porter secours.

L’islamophobie, c’est vrai, elle se développe un peu partout, les Français se sentent agressés non seulement physiquement mais moralement et ne veulent pas changer leurs façons de vivre pour adopter des coutumes qui ne sont pas de chez eux.

« Désormais, on a peur de sortir. Pourquoi est-ce si difficile pour les gens de voir des femmes qui couvrent leur corps ? C'est un choix. Il faut que l'on respecte notre façon de nous habiller. " Et bien non ce n’est pas à nous de nous adapter.

Le problème est que cette pression est de plus en plus insupportable et qu’il y aura forcément une réaction soit par la loi soit un jour par des émeutes.

Il faudra malheureusement aller jusqu’à l’épreuve de force si nous voulons rester chez nous.

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